Capitaine Harlock
Démocratie Participative
01 mars 2018
Cette affaire de Jeanne d’Arc d’Afrique Equatoriale est vraiment le moment dont nous avions besoin pour faire un audit de la situation politique et idéologique en France.
Chacun a pu voir l’ensemble des boutiquiers de la droite réactionnaire se prosterner aux pieds de la Licra et de la négraille pour célébrer la négrification heureuse de la France.
Sauf que la base sympathisante, elle, vit au quotidien dans ce marais racial puant et ne sait que trop bien qu’il sera encore plus puant dans 5 ans. Ces gamellards de la réaction ont d’autres projets : celui de se ménager la meilleure place possible dans cet état judéo-mulâtre tyrannique qui persécute la France réelle.
Ecoutez, en 2018, prétendre ne pas comprendre ce qui se passe relève, au mieux, de la déficience mentale. Ce qui suffit à disqualifier ceux qui l’affichent.
Tout le monde sait
Nous avons toutes les informations à notre disposition pour savoir ce qui se passe démographiquement et racialement, à l’échelle du monde occidental, en 2018. Nous savons pertinemment que les masses non-blanches qui nous envahissent veulent nous éradiquer.
Nous savons aussi que dès lors que la négraille devient majoritaire, l’ancien ordre blanc qui prévalait s’efface au profit d’une anarchie définitive dont plus rien ne sort si ce n’est le reflet des égouts de l’Enfer.
Nous le savons, parce que tout cela est documenté.
La France mulâtre serait un gigantesque Détroit, le fanatisme islamique en plus.
Detroit était la capitale mondiale de la production d’automobiles au début des années 40. Elle était à 91% blanche en 1940. Elle est désormais à 82% nègre. Et devinez quoi ? Elle évoluera bientôt au même niveau culturel que n’importe quel bidonville d’Afrique de l’Ouest.
Avant cette catastrophe raciale, cette ville était à l’avant-garde de la modernité aryenne.
Ce que vous voyez des images de Detroit dans les années 50, ce sont les mêmes que celles de Paris ou Londres à la même époque.
Et désormais, les transports à Paris, c’est ça.
Et la chute vertigineuse du niveau culturel ne s’explique que par un seul phénomène : le pullulement des races inférieurs rendu possible par la démocratie juive et la stupidité du misérabilisme post-chrétien manipulé par elle.
Encore et toujours, le même schéma se reproduit.
Bien sûr, Villiers ou Le Pen ne fréquentent pas le RER : ils ont des chauffeurs privés et des berlines hors de prix.
Comme nous en parlions très récemment, l’Afrique du Sud s’apprête à entrer dans la dernière phase de l’extermination de sa population blanche. Première grande bataille du même processus global contre elle.
L’Afrique du Sud était un état moderne, pur produit du génie aryen ouest-européen. Il aura suffi de 20 ans pour qu’entre les mains de cette stupide négraille, elle soit détruite.
Et ces nègres sont si stupides qu’ils n’établiront même jamais le lien entre la destruction de l’ordre mis en place par la main qui les nourrissait et leurs propres malheurs.
Les traîtres de la droite réactionnaire
Mais au moins ces nègres ont l’excuse de leur stupidité.
Le seul et unique clivage tangible est racial et c’est précisément parce que c’est le seul que toute cette bourgeoisie enjuivée évite soigneusement de s’y confronter.
Nous avons chez nous des gens qui se refusent à tirer cette conclusion alors qu’elle est là, éclatante, sur le théâtre de l’histoire et qu’elle nous a coûté des siècles d’énergie civilisatrice pour ne rien dire des sacrifices humains.
Et ces fameux épiciers de la droite réactionnaire sont ceux qui, dans les faits, choisissent délibérément de ne pas la tirer, pour pouvoir se ménager une place dans ce système putréfié.
Je vous laisse le choix entre ces trois options pour expliquer cette réalité :
- Par naiveté criminelle
- Par lâcheté
- Par intérêt
En général, les trois en même temps.
Pour nous et pour le peuple en général, leurs motivations ne font pas la moindre différence quant au résultat : la destruction de notre culture, de notre civilisation, de nos pays, de nos vies.
Les De Villiers, Le Pen et autres Wauquiez ont tout l’or nécessaire pour se ménager une zone de confort, pas le prolétariat et encore moins la partie la plus jeune du prolétariat blanc.
Je considère la droite opportuniste comme infiniment plus nuisible que la gauche judéo-immigrationniste parce que vous préférez toujours connaître la position de votre ennemi.
Nous pouvons résumer tout ce que nous vivons en un seul mot : la trahison.
« Une nation peut survivre à ses fous, et même à ses ambitieux. Mais elle ne peut pas survivre à la trahison de l’intérieur. Un ennemi aux portes est moins redoutable, car il est connu et il porte sa bannière ouvertement. Mais le traître se déplace librement parmi ceux qui sont à l’intérieur des murailles, ses murmures pervers bruissent à travers les ruelles, et on les entend dans les allées même du pouvoir. Un traître ne ressemble pas à un traître ; il parle avec une voix familière à ses victimes, et il porte leur visage et leurs arguments ; il en appelle à la bassesse qui se trouve ancrée dans le coeur des hommes. Il pourrit l’âme d’une nation, travaillant en secret, inconnu dans la nuit, sapant les piliers de la ville. Il contamine le corps politique qui ne peut plus résister. Un assassin est moins à craindre. Le traître c’est la peste ».
Cicéron
Le traître est à éliminer de nos rangs en priorité. Le traître est le pire d’entre tous.
Nous ne pouvons plus nous embarrasser de traîtres qui capitalisent sur le désespoir des nôtres pour asseoir leur position à notre détriment.
Nous n’en avons plus le temps et le coût ultime, pour nous, est notre mort collective.
Les excuses de tous ces profiteurs, d’ici à 50 ans, nous ne seront d’aucune espèce d’utilité pour nous consoler du fait que 30 ou 40 millions de nègres et de musulmans commanderont en France, réduisant les Blanches en esclavage tandis que les exactions de masse seront notre lot quotidien.
Je vous assure que vos enfants et petits enfants, en 2070, n’auront rien à foutre de ce qu’auront dit ces lâches pour ne pas avoir à lutter impitoyablement pour eux.
Le fatras d’excuses larmoyantes de culs bénis comme Villiers ne détourneront pas les lames des sous-hommes des gorges de nos enfants. Le gémissement des faibles qui redoutent la lutte à mort contre la démocratie juive et se couchent devant ses anathèmes ne sera pas plus utile pour récupérer les dizaines de milliers de nos filles kidnappées par des gangs de nègres catholiques du Congo.
Le simulacre opportuniste
Bon les gars on rentre en France, on nous a promis un siège de conseiller départemental chacun
Dites-moi quelle a été la réaction de Vardon à Miss Cacao d’Orléans sur son fier destrier ?
Exact, aucune.
Parce que le fondateur du Bloc Identitaire, créé en défiance du « patriotisme black-blanc-beur » lepéniste au début des années 2000, obéit désormais au doigt et à l’oeil du séfarade de Perpignan et de la mère maquerelle alcoolo-tabagique qui lui sert de mec. Parce que l’objectif est devenu le suivant : vivre de la politique démocratique et non pas combattre avec fanatisme l’ennemi.
Je suis parfaitement à l’aise avec le pragmatisme, mais il n’excuse aucune capitulation et encore moins de subordonner les intérêts du peuple aux siens propres.
Dites-moi en quoi, désormais, les protestations de ces identitaires contre les bougnoules seraient crédibles en quoique ce soit ?
Ils ont démontré que toute leur agitation n’était qu’un simulacre. Qu’au moindre risque, ils s’évaporaient en un instant, trop occupés à tenir leurs comptes de boutiquiers à jour et à prendre leurs ordres auprès de la réaction café-au-lait qui dirige le futur ex-FN homo-lepéniste.
Tous ces « identitaires » peuvent bien couvrir leurs comptes Twitter de méchantes vidéos de musulmans, cela n’offre aucun intérêt : ils font du merchandising. Ils sont pires que les antiracistes assumés comme Philippot qui au moins ont pour eux d’assumer leurs choix.
Méditez là-dessus : si ces spartiates digitaux disparaissent pour une polémique aussi marginale que celle de la Jeanne d’Arc nègre, que se passera-t-il quand il s’agira de résister aux assauts des hordes de bougnoules infiltrés au sein de l’état et de leurs médias financés par le Qatar ?
Le seul critère pour savoir si nous pouvons faire confiance à une organisation ou une personne est simple : la mise en danger et la prise de risque.
Et une prise de risque passée n’excusera jamais une reddition présente.
Aucun agitateur sérieux dans l’histoire ne s’est épargné les persécutions. Ni Hitler, ni Lénine, ni Gramsci, ni Hugo, ni Washington. Personne. Et sans aller chercher ces grands agitateurs de masses, chacun comprend le principe.
Si quelqu’un est fatigué et abandonne, qu’il disparaisse en silence plutôt que de chercher à soutirer une rente en feignant de continuer à lutter alors qu’il a déjà renoncé.
Je ne dis pas ici qu’il faille accumuler les provocations gratuites ou les agissements les plus tapageurs sans tenir compte de la réalité politique, mais de là à se rallier à ce que nous savons, il y a un abîme.
Prenons-nous en charge
Nous ne pouvons pas échouer.
Et au surplus, contrairement à ce que tous gens-là croient, l’avenir est au racisme. Racisme contre racisme. Parce que 50 millions de Français de souche européenne deviendront toujours plus racistes – c’est-à-dire plus conscients des réalités raciales – à mesure que le nombre de sauvages du tiers-monde augmentent et que la promiscuité devient insoutenable au quotidien.
La tendance est donc résolument de notre côté. La polarisation est de notre côté. Nous ne voulons pas rassembler des nègres à nos côtés, nous voulons résolument les rejeter et ruiner définitivement toute idée de coexistence. Nous voulons un monde européen pour les Européens et tout détruire sur ce qui se met en travers de notre route.
Ce que peuvent raconter des idiots qui pensent que la France est encore un empire multicolore pouvant se permettre d’être libéral et magnanime en « offrant sa culture » à des nègres à 65 de QI n’a aucune espèce d’importance.
La France et l’Europe jouent leur survie sur leur propre sol et les millions de sous-hommes qui se jettent à l’assaut de nos cités n’ont qu’une ambition : nous détruire, donc détruire notre culture, et se substituer à nous.
Nous ne voulons pas de cette église de scientologie juive qu’est la France abstraite assimilatrice de bamboulas. Qu’elle se dise « catholique », républicaine ou, plus obscène encore, « patriote ».
Une fois qu’on a dit cela, je pense que nous devons nous organiser là où nous sommes et développer la propagande à outrance. Nous devons être concrets, pratiques et créer des cercles informels à l’échelle d’une ville ou d’un canton et s’organiser à la faveur d’activités sociales utiles. Comme pratiquer un sport ou tout autre chose à même de renforcer cohésion, organisation et capacités défensives.
Rien ne tombera du ciel. Tout ce que nous obtiendrons, nous ne l’aurons que par notre travail et notre détermination.
Politiquement, nous devons agresser avec fanatisme le moindre représentant de la droite bourgeoise antiraciste qui prétend avoir une once d’autorité sur nous, le couvrir d’injures, le qualifier de traître et de collaborateur, d’ennemi du peuple, de chien serviteur de l’islam, de blatte rampante anti-française. Bref, nous devons être si enragés et hystériques à l’égard de leur faiblesse qu’ils nous redouteront plus encore que les fanatiques de la gauche judéo-cosmopolite.
La terreur psychologique est notre meilleure arme face aux agents double qui nous infiltrent et nous trahissent. C’est en étant redoutés que nous attirerons les masses à nous.
Nous ne mendions pas la bienveillance de l’ennemi.
Nous devons exiger et prendre.