Cologne : La bonne femme à la tête de la ville donne des bracelets demandant aux bougnoules de ne pas violer

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
15 décembre 2017

Je reviens à ma marotte : la défaite du Troisième Reich est une catastrophe universelle pour le genre humain.

Breiz Atao :

La ville de Cologne a annoncé qu’elle allait distribuer des bracelets avec l’inscription « respect » pour encourager la « compréhension entre les personnes » pour les fêtes de fin d’année. Plus d’un millier d’agressions sexuelles par des migrants musulmans avaient été commises en 2015.

Breitbart (source) :

Les bracelets font partie d’une nouvelle campagne intitulée « respect » sponsorisée par la municipalité et la maire controversée Henriette Reker. Nombreux sont ceux qui ont dénoncé la campagne sur les réseaux sociaux, la comparant à ses commentaires, peu après les attaques de 2015, qui appelaient les femmes à se tenir à « un bras » des hommes.

Lors de la conférence de presse, Reker a déclaré que la campagne se focaliserait sur l’invitation à ne pas commettre d’aggression sexuelles ou de tirer des feux d’artifice sur les gens, les bâtiments ou la police. Les bracelets sont censés inviter les gens à être respectueux lorsqu’ils approchent celui qui le porte et prévenir ainsi des attaques sexuelles potentielles.

Des migrants arabes et maghrébins avaient agressé sexuellement et violé plus d’un millier de femmes allemandes à Cologne, en 2015. Une réalité qu’avaient tenté de cacher les médias et le gouvernement (lire ici).

Une fois passée la pilule des bombardements juifs de l’Allemagne, parlons du reste.

Cette Henriette Reker nous donne une leçon que tous les hommes devraient avoir gravé à l’esprit : la solidarité féminine est une fumisterie.

Personnellement, j’ai eu cent opportunités pour jauger de cette « solidarité » au quotidien.

Une femme raisonnable vous dira toujours ceci : « je préfère traîner avec des mecs ». Bien sûr, ce n’est pas une faveur : une femme foutra toujours, partout, la merde. Mais c’est au moins un point de vue honnête.

Chez les hommes, la camaraderie est naturelle. Entre nous, même si nous n’aimons pas X ou Y pour X ou Y raison, nous serons toujours prêts à coexister dans un calme relatif. Rien de tel avec les femmes.

J’ai pu voir les miracles de la solidarité féminine sur une période de six mois, étant un des trois hommes sur un groupe de 30 personnes. Les femmes font preuve d’une violence inouie entre elles. Le fiel qui coule de leur bouche semble illimité, imaginant les pires combines et ragots pour perdre leurs victimes féminines.

Inversement, elles déploient des efforts invraisemblables de séduction pour attirer les rares hommes présents à leur parti et ainsi enfoncer leurs ennemies. En dernière analyse, le pouvoir est entre nos mains et elles font tout pour se l’arroger, y compris dans leurs querelles à la con.

Dans la société, elles distillent la suspicion et la haine avec une détermination qui surprendra n’importe quel homme pour qui un tel univers est inconnu.

Nous sommes certes moins sophistiqués dans notre comportement mais infiniment plus sincères.

J’ai une conviction : si demain les hommes disparaissaient de la terre pour ne laisser que les femmes, tout s’effondrerait en 24 heures. L’inverse, en revanche, n’engendrerait pratiquement aucun bouleversement technique, juste une recrudescence des guerres en raison d’un surplus de frustration sexuelle.

Pour en revenir à Cologne, l’attitude de la maire de cette ville confirme cette vérité. Les femmes peuvent être violées à la chaîne, peu lui importe. Et peu importe à Merkel. Ces femelles sont sans coeur les unes envers les autres.

Une règle absolue : les femmes détruisent ce que l’homme crée, comme les nègres.

Ce qui lui importe, c’est que les viols se passent dans le calme et que personne ne vienne l’attrapper par les cheveux. En dernière analyse, c’est la crainte d’une atteinte physique qui gouverne le cerveau féminin.

Les femmes sont des êtres faibles et mesquins qui comptent sur la force masculine pour assurer l’ordre. A charge pour elles, grâce à leurs subterfuges, d’instrumentaliser la naïveté masculine pour leurs propres fins.

Et vous me direz :  « Et alors, nous sommes plus malins ! ».

Oui. Mais il y a un mais.

Oui.

Et elles le savent et le resavent.

Bref.

Ce qui terrorise cette Henriette Reker, c’est la violence incontrôlée des bougnoules, pas les viols. Ce qu’elle fait, c’est ce que fait toute bonne femme irresponsable par définition : se dédouaner a priori avant de laisser le bâton merdeux à ceux qui règlent les bidons.

Le mec.

« Ah mais j’avais donné des bracelets pour dire que violer ce n’est pas bien, ne venez pas me demander des comptes maintenant ».

Si un pays était gouverné par des bonnes femmes, ce pays déploierait des pancartes proclamant : « Envahir, c’est mal ».

J’en profiterai pour dire que le pacifisme ambiant est intégralement généré par cette overdose d’oestrogène.

Les bonnes femmes sont notre malheur, plus que les juifs encore. Et c’est avec une amertume non feinte que je suis contraint d’admettre que l’avantage qu’a l’islamisme sur nous tient en une chose : le bridage des gonzesses.