Le Libre Panzer
Démocratie Participative
19 février 2019
« Hé ! Qu’est-ce que tu fais, rabbi ? »
C’est vraiment le (((HASARD))) !
CNews :
Le cimetière juif de Quatzenheim, dans le Bas-Rhin a été profané dans la nuit de lundi à mardi, a indiqué la mairie.
Près de quatre-vingt sépultures ont été dégradées, a indiqué la préfecture du Bas-Rhin, qui a condamné «cet acte antisémite odieux» et exprimé «son soutien le plus total à la communauté juive qui a une nouvelle fois été prise pour cible».
Sylvain Waserman, ancien maire de la commune durant 10 ans, a également réagi pour CNEWS.
«C’est une profonde tristesse que je ressens en découvrant que cette nuit les tombes du cimetière juif de Quatzenheim, qui est là depuis 1795, ont été profanées et recouvertes de croix gammées. Une profonde tristesse, mais beaucoup de colère aussi. Les mots que l’on pose sur ces actes haineux, minables et pitoyables sont essentiels mais ne sont pas suffisants.
J’ai été maire de ce magnifique village pendant 10 ans. La première action de notre équipe municipale en 2008 avait été de lancer un projet sur la mémoire, où nous avons recueilli des centaines d’heures d’enregistrement audio des anciens du village. Beaucoup d’entre eux me disaient combien l’entente entre juifs et protestants, les deux religions principales du village ont de tout temps été respectueuses et harmonieuses malgré les drames de l’Histoire.
Je serai à 19h ce soir avec le Bureau de l’Assemblée nationale, à la place de la République, pour la marche contre l’antisémitisme. Je suis peiné d’avoir, ce matin, une raison de plus encore de m’y rendre. Il y a décidément des choses que le temps qui passe, n’efface pas.
Rappelons les mémoires du national-socialiste Julius Streicher sur cette question qui est loin d’être nouvelle.
Dans son testament politique écrit en 1946, cet héroïque martyr des juifs écrit :
Dans les années 1880, un mouvement antisémite avait commencé à se lever en Allemagne dont on parlait beaucoup. Afin de le salir dans le regard du public, trois juifs mirent le feu à une synagogue et une certaine presse accusa les méchants antisémites de la profanation. Mais c’était se tirer une balle dans le pied. Les juifs furent identifiés comme les coupables et reçurent des peines sévères.
Parce que du côté juif on savait à quel point le public réagissait vivement aux crimes commis contre la religion, les profanations de cimetières furent inventées et rapportées continuellement. Rarement une semaine ne se passait durant laquelle des pierres tombales renversées n’étaient évoquées et les « types à la Swastika » suspectés d’être les coupables. Les « types à la Swastika » étaient des cibles faciles pour la police à cette époque et, compte tenu de sa soif de servir les juifs, elle aurait du savoir comment trouver les « Nazis » si l’on avait pu les convaincre de culpabilité. Ici, aussi, il n’était pas trop difficile de comprendre où les « profanateurs de cimetières » étaient à chercher et trouver.
Un travailleur social-démocrate d’une ville de Franconie – guidé par sa conscience – rapporta à un dignitaire du NSDAP après 1933 que les « profanations de cimetières », dont la presse rouge accusait les Nationaux-Socialistes, avaient été menées sur ordre des juifs. On cherchait alors par des méthodes aussi basses à salir le mouvement national-socialiste grandissant dans cette période de lutte par le biais d’une délicate publicité.
Les juifs n’ont aucun scrupule.