La Rédaction
Démocratie Participative
10 septembre 2024
La droite affairiste revient avec un grigri inutile pour endormir les goyim.
Bientôt le retour d’un ministère de l’Immigration ? Michel Barnier y réfléchit, a appris franceinfo de sources concordantes lundi 9 septembre. Le nouveau Premier ministre poursuit ses consultations et discussions en vue de former un gouvernement. Il a déjeuné avec Emmanuel Macron avant de recevoir les représentants du groupe Liot dans l’après-midi. Parmi les pistes envisagées : le retour d’un ministère de l’Immigration. Un précédent ministère de « l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Développement solidaire » avait été créé en 2007 sous le gouvernement Fillon, lors de la présidence de Nicolas Sarkozy. Il avait été dirigé par Brice Hortefeux puis Éric Besson, avant d’être supprimé en 2010. Le retour d’un ministère de l’Immigration serait un sérieux signal politique, presque un coup de tonnerre.
Le sketch recommence.
Ce ministère créé par le quart de juif Sarközy sur proposition de Patrick Buisson était exactement ça : un ministère pour l’immigration.
Durant sa brève existence, ce machin n’a fait qu’une chose : organiser de pseudo débats dans des préfectures pour expliquer aux quelques invités – tous de gauche – que la France avait pour vocation d’importer le tiers-monde et de « l’assimiler ».
Le cirque recommence.
Le concept est simple.
À défaut de faire quelque chose, il faut créer un machin avec le mot « immigration » dedans pour que la gauche politico-médiatique hurle au racisme et donne ainsi l’impression que le gouvernement fait quelque chose contre l’immigration.
Cette saturation de l’espace médiatique par les cris de la gauche suffit théoriquement à convaincre l’opinion que le gouvernement fait effectivement quelque chose.
Et ça marche, les masses étant d’une crédulité quasi illimitée.
Selon les informations de franceinfo, des préfets qui sont ou ont été en poste dans des départements confrontés aux questions migratoires sont même approchés. Le processus de recrutement et la réflexion sont donc enclenchés pour trouver un ministre, mais aussi un directeur de cabinet et des conseillers. « Il faut des profils de haut niveau, qui connaissent les services de l’État et le terrain », applaudit un député Les Républicains. En réalité, c’est toute la droite qui – en coulisses – pousse l’idée du retour d’un ministère de l’Immigration. « Ce serait un message fort », se réjouit un soutien de Michel Barnier, pour qui une telle décision s’inscrirait dans « l’ADN politique » du nouveau Premier ministre.
« Droite » veut dire ici « Les Républicains », le gang de Sarközy.
Dès 2021, lors de la primaire Les Républicains, lorsqu’il briguait la candidature à l’élection présidentielle de 2022, Michel Barnier plaidait pour un moratoire sur l’immigration. Vendredi soir sur TF1, il a aussi promis des « mesures concrètes » notamment pour renforcer les frontières qui restent selon lui « des passoires ». Sollicité par franceinfo lundi, Matignon n’a jamais démenti, assurant que si rien n’est acté, les discussions et les consultations se poursuivent.
À l’AFP (Agence France presse) lundi soir, après les révélations de franceinfo, son entourage fait savoir que le Premier ministre « réfléchit aux moyens les plus efficaces pour obtenir des résultats », tout en se méfiant « des effets d’annonce », ce qui n’est pas un démenti ferme. Il faut dire que le sujet est explosif, symboliquement très fort, moins d’un an après le vote de la loi immigration. « Ça rappelle Hortefeux, Besson et les années Sarkozy », s’étrangle un député du camp d’Emmanuel Macron. Pour un autre, cela reviendrait à donner « trop de place à Marine Le Pen et ses idées dans le débat politique ». « Un épouvantail, capable de faire exploser le groupe » selon un troisième.
Invité de franceinfo lundi, le ministre démissionnaire de l’Industrie Roland Lescure était formel, « si c’est pour ressusciter le ministère de l’Identité nationale, très peu pour moi« . En revanche, « si c’est pour mettre en place des réflexions et des discussions apaisées, pourquoi pas ». Une réaction qui montre l’ampleur de la tâche pour Michel Barnier. Le Premier ministre se rend mardi soir à la rentrée parlementaire des députés macronistes « Ensemble pour la République », avec en tête l’idée qu’il a un choix crucial à faire au moment de composer son gouvernement : tenter une ouverture sur la gauche ou comme le suggère un de ses amis, assumer d’être pleinement un Premier ministre de droite.
Ce sera une copie.
Ce machin dira à quel point l’immigration est une chance pour la France, mais qu’il faut quand même expulser deux ou trois imams qui, d’ailleurs, « n’ont rien à voir avec le véritable islam ».
C’est tellement fatiguant.
CNews, qui hélas n’est toujours pas interdite, vend à fond le projet et a déjà le nom du candidat : Manuel Valls.
« Quand le RN fait 11 millions de voix , il faut adresser un signal clair, un ministère de l’immigration peut en être un » dit un ancien ministre de l’intérieur qui ajoute « Si c’est le cas , je conseillerai qq 1 d’expérimenté »
Comme qui ? M Valls ? Discret ces derniers jours https://t.co/KebxnVF750— Gauthier Le Bret (@GauthierBret) September 10, 2024
Valls n’est pas le candidat de CNews pour ses compétences, mais parce que c’est un serviteur aveugle de Tel Aviv.
Rappelons que Valls est le concepteur de la « politique de peuplement » qui consiste à ventiler l’immigration non blanche sur tout le territoire français afin de rendre la vie des Blancs parfaitement insupportable.
Vous vous souvenez comment, en juin 2023, des petites communes ont été le théâtre d’émeutes raciales inédites ?
C’est le résultat de la politique de Valls qui a disséminé la vermine immigrée partout lorsqu’il était premier ministre.
Le Point :
Les politiques publiques menées « depuis 30 ans » n’ont pas permis d’éviter « la relégation, le regroupement ethnique, religieux » ni permis « la mixité des populations », a fait valoir le locataire de Matignon. « Je ne supporte pas, comme républicain, de voir cet enfermement, cette relégation dans un certain nombre de ces quartiers (…), que dans des écoles on ne trouve que des élèves issus de familles pauvres, souvent monoparentales, issues uniquement de l’immigration, des mêmes cultures et de la même religion« , a-t-il poursuivi.
Que désigne cette « politique du peuplement » ? Dans le langage des sociologues et des experts de la politique de la ville, il s’agit des mesures prises pour imposer la « mixité sociale » dans un quartier ou une commune, notamment dans les procédures d’attribution des logements sociaux. « L’idée, c’est de casser ces logiques de ségrégation sociale, et donc de renforcer la mixité sociale« , d’aller « plus loin » que la seule politique du logement a tenté d’expliciter l’entourage du Premier ministre.
Cette politique était sa réponse à l’attentat du Bataclan, lui-même le résultat du soutien de Hollande aux djihadistes en Syrie.
Et n’oublions pas la circulaire Valls, énorme pompe aspirante.
Remercions CNews pour ce lobbying audacieux qui, à défaut de satisfaire les Blancs, répondra aux exigences des juifs, les seuls qui intéressent cette chaîne juive.
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