Clermont-Ferrand : les antifas, idiots utiles du pouvoir juif, saccagent le local de Bastion Social (vidéo)

Captain Harlock
Démocratie Participative
03 octobre 2018

 

Un groupe d’antifas a saccagé le siège du Bastion Social.

Dans un style à peine ampoulé, ces derniers ont revendiqué leur action au nom de la « Cellule Antifasciste Révolutionnaire d’Auvergne ».

Ces fils de la bourgeoisie d’état, fonctionnaires et surtout profs, ont apparemment comme projet de créer une sorte de république soviétique en Auvergne. Compte tenu de la sociologie clermontoise, il y a plus de chances pour qu’une république islamique voit le jour.

Nos amis ont pris soin de signer en utilisant le générique du film « Les aventures de Rabbi Jacob » réalisé par le juif Gérard Tennenbaum dit « Oury » qui raconte l’histoire d’un patron français catholique et raciste qui finit par marier sa fille à un arabe sous l’oeil satisfait des juifs.

C’est la deuxième attaque contre un local de l’association Bastion Social après celle de Strasbourg.

Il ne faut pas s’attarder sur ce que font ces idiots utiles et plutôt remonter aux donneurs d’ordre. Il ne fait pas l’ombre d’un doute que derrière ces provocations multiples se cache le gouvernement juif qui constitue, à l’heure actuelle, un dossier pour dissoudre Bastion Social.

L’intention a été affichée très tôt par le parti juif LREM.

L’excuse habituelle est l’accusation d’usage de la violence. Mais comme on le voit, jamais aucun groupe de ces agitateurs communistes que sont les antifas n’a été dissout en dépit de l’usage revendiqué et mis en scène de la violence de rue.

Ce qui se passe, c’est que les juifs ont décidé de supprimer physiquement toute organisation nationaliste en France. Et si vous vous demandez ce qu’est une association nationaliste, la réponse est simple : toute organisation dont les juifs estiment qu’elle représente un obstacle à leur projet.

La dissolution gratuite de l’Oeuvre Française, en dehors même du cadre légal qui règle ce type de procédure, a donné le cap que les juifs comptent suivre.

Il ne fait l’ombre d’un doute que cette vague de provocations visent à obtenir une réaction qui serait ensuite massivement dénoncée par la presse juive, préalable à la dissolution.