Clémentine, la pute de KOH LANTA, demande qu’on lui paye ses vacances chez les basanés après avoir rencontré des clandos du Soudan

Captain Harlock
Démocratie Participative
18 août 2018

On a franchi un nouveau cap dans l’obscénité.

Les traînées ne font désormais plus aucun effort pour cacher le fait qu’elles sont de grosses putes. Elles demandent carrément le blé des gogos pour partir en vacances.

Le Parisien :

Comme l’ancienne Miss météo de Canal + Solweig Rediger-Lizlow, Clémentine de « Koh-Lanta » a appelé aux dons sur les réseaux sociaux. Si l’ancienne Miss météo du « Grand Journal » demandait de l’aide pour payer ses dettes, Clémentine souhaite un coup de pouce afin de financer son futur tour du monde « sportif, humanitaire, éco-responsable et un peu fou…» a-t-elle expliqué sur sa page Ulule.

Voilà l’annonce de ce truc.

« Paye-moi mon billet, cap ou pas cap ? ».

La vache.

Ceci dit, cela n’a rien d’étonnant.

Avant, les types passaient à la caisse en ayant au moins une rétribution en nature. Maintenant, en baratinant sur le thème de la « femme libérée » qui n’est plus la propriété de l’homme blanc, ces traînées revendiquent fièrement le fait de ne plus remplir aucune obligation minimale tout en se comportant comme des sangsues.

Il était fatale que la sémitisation mentale des femmes via le féminisme se termine en parasitisme pur.

Et vous avez d’authentiques gogos qui suivent.

Une dure journée m’attend, mais je vais pouvoir permettre à Clémentine de vivre sa vie

Vous avez entendu cette gonzesse tabagique parler dans sa vidéo ? Elle parle comme un demi-mec. On dirait un plaquiste.

Evidemment, elle utilise deux ou trois éléments de langage pour justifier son racket. « Eco-responsable ».

Putain, pour claquer des dizaines de milliers d’euros en zonant à la plage avec deux ou trois activités entre.

Mais le meilleur est encore à venir. En fait, cette poufiasse a eu envie de voir des basanés en croisant des migrants.

L’idée de ce voyage baptisé « 4 ou pas cap » est née « d’une rencontre, avec un groupe de demandeurs d’asile Soudanais et Erythréens hébergés dans le village d’enfance » de Clémentine et son frère Benjamin explique la page de financement participatif. Des réfugiés avec lesquels « les jeunes du village décident (…) de pratiquer des activités sportives et ludiques pour occuper leurs journées et participer à leur intégration ».

Résultat, Clémentine, son frère et deux amies ont l’idée de « partir créer ces moments de rencontre autour du sport aux quatre coins du monde, avec les populations locales ».

« Laurent,je dois faire ce voyage. Je vais découvrir des cultures très différentes, ce sera un vrai enrichissement, loin de la société de consommation et du patriarcat. Je te donne mon Paypal. »

« Je veux découvrir la sagesse millénaire des hommes colorés »

Cette martingale.

Le groupe a lancé cette cagnotte pour recueillir 10 000 euros sur les 80 000 qui leur seront nécessaires afin de mener à bien ce projet. Le principe ? Pour chaque don, un défi sera réalisé.

« L’objectif sera de réaliser un maximum de défis tout autour du monde. Des défis sportifs (…) comme (…) la réalisation d’un trail sur la muraille de Chine, ou l’ascension d’un sommet d’au moins 6000 m en Amérique du Sud. Des défis humanitaires (…) avec la collecte et la distribution de matériel sportif ou scolaire à des enfants défavorisés. Des défis ‘écolos’ (…) comme le nettoyage de plages, ou la non-utilisation d’emballages sur certaines périodes. Et enfin des défis ‘fous’, comme manger un piment ou sauter nus dans la neige » peut-on lire sur le site de crowdfunding. Une aventure qui sera filmée.

Ce niveau de parasitisme atteint des sommets d’impunité stratosphérique.

Mais cela n’arriverait pas sans la passivité des hommes face à de telles pétasses.