Captain Harlock
Démocratie Participative
11 juillet 2019
Ce juif de France Info ne vous veut pas du bien
Le journaliste juif Benoît Zagdoun, officiant à France Info, a tenu à remettre la synagogue au milieu du village suite à la parution dans la publication Population & Sociétés d’une étude confirmant la fécondité apocalyptique des femmes marron qui viennent coloniser la France sous la supervision du gouvernement juif d’occupation.
C’est qu’il s’agit de faire taire ces sales Blancs qui refusent de disparaître en silence pour la gloire de Yahvé.
Une publication de l’Institut national d’études démographiques (Ined) confirme que les « immigrées » font plus d’enfants que les « natives ». Mais ces mères étant minoritaires dans la population nationale, ces naissances pèsent peu sur la fécondité française.
C’est l’un des arguments favoris des partisans du « grand remplacement », popularisé par l’écrivain d’extrême droite Renaud Camus. Selon les défenseurs de cette théorie aux relents racistes, xénophobes et complotistes, les populations immigrées, non blanches et majoritairement musulmanes supplanteraient peu à peu les populations européennes, blanches et chrétiennes, en faisant plus d’enfants.
Fais-moi confiance, goy.
N’écoute pas ces complotistes nazis.
Il n’y a pas plus d’immigrés en France en 2019 que dans les années 30.
C’est du conspirationnisme hitlérien de bas étage.
Goy, accepte d’être raisonnable. Je ne pense qu’à ton bien.
Une étude, parue dans le numéro de juillet-août de la revue Population & Sociétés, éditée par l’Institut national d’études démographiques (Ined), aborde d’un point de vue factuel et scientifique cette question ô combien polémique : « La France a la plus forte fécondité d’Europe. Est-ce dû aux immigrées ? » En préambule, les auteurs préviennent : « Laissons de côté les aspects idéologiques pour nous limiter aux faits. »
L’Ined est connu pour ne s’occuper que des faits.
Selon l’INED, Nicolas serait l’un des #prénoms les plus donnés aux petits-enfants d’immigrés du Maghreb (MàJ : Le chercheur proche des indigènes ?) https://t.co/Q3OmPkWwaZ pic.twitter.com/gMTYkymx97
— Fdesouche (@F_Desouche) 10 avril 2019
Cet institut marxiste est neutre politiquement.
Lorsqu’à la demande du militant communiste Hervé Le Bras, il a détruit la carrière professionnelle d’une démographe comme Michèle Tribalat, c’était uniquement en raison de sa remise en cause anti-scientifique de la lutte des classes.
Ce rappel réalisé, venons-en donc aux faits.
L’étude de l’Ined compare les naissances provenant d’une mère « immigrée » – c’est-à-dire née étrangère à l’étranger et résidant en France, même si elle acquiert la nationalité française après son arrivée, selon la définition retenue par l’ONU – ou « native », autrement dit née française.
Oui.
Mais non.
Je ne suis pas démographe mais quand des juifs essaient de me vendre un pantalon à une jambe pour le prix d’un pantalon à deux jambes, je vois qu’il n’a qu’une jambe.
Quand nous, racistes, parlons de démographie en France, le statut technique « d’immigré » n’a aucune espèce d’importance de notre point de vue d’autochtones :
- Un mulâtre d’Outre-Mer établi en France n’est pas un « immigré »
- Un Allemand installé en France est un « immigré »
- Un algérien de troisième génération né en France n’est pas un « immigré »
- Meyer Habib n’est pas un « immigré »
Techniquement, Domota est un Français comme vouzémoi.
Sauf que ce gros nègre indolent n’est qu’une sangsue africaine vivant aux crochets des contribuables blancs de métropole.
Ce terme d’immigré est cyniquement manipulé par les médias juifs et les marxistes de l’Ined pour faire passer en contrebande des quantités phénoménales de nègres, d’arabes ou de tziganes grâce à la savonnette à vilain qu’est la « nationalité française ».
Voici la juste définition d’un immigré :
- individu de race non-blanche résidant en France, légalement ou non, disposant de la citoyenneté française ou non.
Pour comprendre la réalité, vous devez d’abord vous débarrasser des illusions qu’utilisent les prestidigitateurs juifs pour semer la confusion dans les cervelles aryennes.
Tant que l’on cherche à comprendre la démographie en utilisant des catégories administratives périmées comme la « nationalité » légale, on ne peut démêler le vrai du faux.
L’étalon-or de la compréhension de la réalité humaine d’un pays est la race, pas des paperasses tamponnées par des biques ménopausées de sous-préfecture. Fussent-elles « républicaines ».
Le passeport délivré par une république juive à des groupes tribaux de l’Hindu Kush, du Mali ou de l’Atlas n’est pas un critère pertinent pour parler démographie donc de race.
Test : si vous ne voyez pas des Français, vous êtes littéralement nazi
En 2019, quand on parle de démographie, en France et en Europe, on parle in fine de la question raciale.
C’est aussi vrai pour cet hypocrite juif de Zagdoun que pour nous.
Le discours de Zagdoun est implicitement motivé racialement, ce juif voulant affaiblir la conscience raciale des Blancs dans l’intérêt de sa tribu illégitimement au pouvoir en France.
Notre discours est explicitement motivé racialement puisque nous promouvons les intérêts de la race blanche en France. Des Blancs racialement conscients de leurs intérêts adopteront une attitude politique dictée par la défense de leurs intérêts raciaux.
Une telle politique de préservation biologique heurtera toujours de front la politique raciale juive qui entend piller un pays aussi longtemps que possible en affaiblissant le parti autochtone.
Ces juifs menteurs passent donc leur temps à essayer d’escamoter la conscience tribale blanche tout en défendant férocement la leur. C’est exactement l’esprit de ce papier mensonger du juif perfide Zagdoun.
Les immigrées font en moyenne 2,6 enfants, soit 0,8 de plus que les « natives ». Mais elles ne représentent que 12% des femmes en âge d’avoir des enfants. Et leurs bébés que 18,8 % des naissances. Elles ne font donc progresser le taux de fécondité français que de 0,1 point, à 1,9. pic.twitter.com/QtB00bkCNq
— Benoît Zagdoun (@BenoitZagdoun) 10 juillet 2019
Pour en revenir à cette étude biaisée de l’Ined en raison de la définition volontairement truquée qu’elle donne à la définition de ce qu’est un immigré, elle révèle malgré tout quelques chiffres importants.
En 2009, les enfants nés d’une mère immigrée représentaient 16% des naissances, contre 84% pour ceux nés d’une mère native, selon les statistiques de l’Insee, reproduites dans la publication. En 2017, selon des données provisoires, les bébés de mamans immigrées totalisaient 18,8% des naissances et ceux de natives 81,2%. En huit ans, la part des nouveau-nés issus de mères immigrées a donc augmenté de 2,8 points. « La contribution des immigrées à la natalité de la France progresse donc et mérite d’être soulignée », estiment les auteurs de l’étude.
Lol.
Zagdoun…
Comme si on ne voyait pas ton gros nez de poï en train d’empoisonner François…
Clarifions.
Entre 2009 et 2017, c’est-à-dire sur une période de 8 ans, le nombre de rejetons engendrés par des immigrées de fraîche date a progressé de près de 3% du total des naissances enregistrées annuellement, passant donc de 16% à presque 19%.
La part des naissances d’immigrés très récents augmente donc, en moyenne, de 1% tous les ans.
Nous devrons nous situer, d’ici à 2020, autour de 20% du total des naissances en France pour les seuls immigrés récents.
C’est 1 naissance sur 5
Ce qui est déjà en soi absolument énorme.
C’est ce qu’indiquait déjà l’évolution du dépistage de la drépanocytose : une augmentation moyenne de 1% par an des nouveaux-nés dépistés.
Et c’est là que tout se joue : connaître le nombre de naissances non-blanches, qu’elles correspondent au statut technique « d’origine immigrée » ou non.
En 2020, nous serons à environ 42% de naissances non-blanches en France.
Aussi, quand le juif Zagdoun essaie de me pigeonner avec son pilpoul rabbinique au sujet du terme « immigrés », il peut aller se rhabiller.
En plus des immigrés qui arrivent annuellement en nombre toujours plus important, nous sommes d’ores et déjà à la troisième génération d’immigrés non-blancs en France.
Le démographe Gourévitch en a parlé.
Jean-Paul Gourévitch : « Il y a en France 11% d’immigrés, c’est à dire 7,3 millions de personnes et en plus entre 12 et 14% de descendants directs d’immigrés, soit au total entre 14 et 16 millions de pers d’origine étrangère, 4 fois plus qu’il y a 20 ans ! » #Immigration #quotas pic.twitter.com/xrZCkfWVZE
— Marc Herstalle (@herstalle) 18 juin 2019
Il en compte environ 15 millions.
En fait, Zagdoun et les autres médias juifs font dévier le débat autour de la « fécondité » des femmes immigrées, c’est-à-dire le nombre d’enfants qu’elles ont par tête.
En 2017, les femmes immigrées avaient en moyenne 2,6 enfants, contre 1,8 pour les natives, soit 0,8 enfant de plus, toujours selon les données de l’Insee obtenues grâce au recensement de la population. Mais en 2014, ces chiffres étaient respectivement de 2,8 et 1,9. La fécondité a donc reculé chez les femmes immigrées comme chez les femmes natives.
« La fécondité des immigrées varie selon le pays de naissance », précise l’étude. Les immigrées originaires du Maghreb ont le taux de fécondité le plus élevé, avec environ 3,5 enfants par femme. Celles nées en Afrique subsaharienne ont 2,9 enfants en moyenne. Quant aux immigrées européennes, elles ont en moyenne environ 2 enfants.
« Ces niveaux de fécondité ne reflètent pas nécessairement ceux des pays d’origine », observe l’étude. Les immigrées européennes ont une fécondité supérieure à celle de leur nation d’origine. A l’inverse, les immigrées venues d’Afrique subsaharienne ont une fécondité bien inférieure à celle de leur pays natal. En outre, quand les filles d’immigrées nées en France deviennent femmes, elles ont une fécondité similaire à celle des natives, constate l’étude de l’Ined.
Sauf que, comme je l’ai dit, les fameuses femmes « natives » du rabbin Zagdoun sont à 20% afro-maghrébines ou turques.
Ce qui nous donne nos 42% de naissances allogènes cumulées en 2020.
En outre, pas besoin d’être grand clerc pour voir toutes ces négresses avec leurs bordées de négrillons former de véritables villages dans les salles d’attente de la CAF.
Hollande était d’ailleurs un négrificateur particulièrement opiniâtre, de l’avis général.
Il a fait passer Chirac pour un suprémaciste blanc par contraste.
Zagdoun se déchaîne ensuite à la faveur d’un enculage de mouches juives qui mériterait de faire son entrée dans la Torah.
En 2017, la France affichait le taux de fécondité le plus élevé de l’Union européenne, avec 1,9 enfant par femme, loin devant la moyenne de l’UE (1,6) et tout près du seuil de renouvellement des générations (2,1). Les immigrées faisaient certes 2,6 enfants en moyenne, contre 1,8 pour les natives, mais elles ne représentaient que 12% des femmes en âge d’avoir des enfants. Ce « surcroît » de fécondité de 0,8 enfant ne concernait donc qu’une minorité. D’après les calculs de l’Ined, il a augmenté de 0,1 enfant le taux de fécondité national, le faisant passer de 1,8 à 1,9 enfant par femme. Un chiffre très marginal, donc.
« Pour que les immigrées contribuent fortement au taux de fécondité et pas seulement aux naissances, il faut à la fois qu’elles représentent une fraction importante des mères et que leur fécondité soit très supérieure à la moyenne », soulignent les auteurs de l’étude.
Comme ils le rappellent, cette idée « très répandue » que la fécondité de la France est « gonflée » par l’immigration « traduit souvent la hantise d’un rapport de force numérique entre les natifs de France et les immigrés, qui mettrait en péril l’identité nationale ».
Conclusions de leur publication : « L’immigration contribue fortement aux naissances mais faiblement au taux de fécondité. » « Si la France est aux premiers rangs des taux de fécondité en Europe, cela ne vient donc pas tant de l’immigration que d’une fécondité élevée des natives », écrivent-ils. « Immigration ou pas, la fécondité de la France reste l’une des plus élevées d’Europe. »
Blablabla, « le rabbin en conclut que », blablabla…
Conclusions des Nazis
Sauf que le taux de fécondité « élevé » des « natives » de Zagdoun est le fait de moukères et de négresses « françaises » qui représentent déjà 20% du total des naissances en France.
En 2017 seules 69 % des naissances comptaient 2 parents nés en France. Et observez la cadence avec laquelle ce taux diminue d’année en année.
De ce constat, une question : jusqu’à quel taux le droit du sol aura-t-il encore ne serait-ce qu’un sens ? 60 % ? 50 % ? Un tiers ? pic.twitter.com/O3YcrAyZ0b
— Matthieu (@MYvelines) 10 juillet 2019
Autrement dit, enlevez les allogènes de toutes les couleurs et de tous les horizons et le nombre de naissances autochtones s’élèvera à 58% en 2020.
Sur les 758,000 enfants nés en 2018, plus ou moins 440,000 sont de race blanche.
Maintenant, des chiffres pour vous donner le vertige.
La prochaine génération (2040) n’engendrera qu’environ 240,000 nouveaux-nés. La génération suivante, en 2060-2070 – n’engendrera plus que 130,000 enfants.
« Dans une étude réalisée pour l’Ined par le Professeur Saül Dollarenberg, les noirs albinos sont bien des Blancs »
En 2100, il n’y aura plus que 500,000 naissances blanches en une décennie entière. C’est-à-dire à peine plus que le nombre de naissances blanches en France pour la seule année 2018.
Donc
Même sans immigration allogène d’aucune sorte, nous serions toujours menacés de disparition pure et simple à l’échelle de trois générations, faute d’enfants, parce que chaque nouvelle génération est actuellement divisée par deux.
Si vous ajoutez à cela l’immigration du tiers-monde et sa natalité infernale sponsorisée par la CAF, l’Ined et la presse juive, le phénomène de siège démographique prend des allures apocalyptiques.
Si assaisonnez le tout d’une bonne louche d’islam et de djihadisme, ce tableau dantesque est complet.
Alors que nous sommes en pleine phase critique, mesurez bien l’activité proprement démoniaque de ces plumitifs juifs qui s’emploient cyniquement à endormir les Blancs pour s’assurer de leur disparition physique.
Le juif Zagdoun est à l’image de toute cette juiverie politico-médiatique globale qui conspire activement en faveur de notre éradication grâce aux médias et gouvernements qu’ils contrôlent.
La situation n’est pas « grave ». Elle est gravissime et se terminera, si rien n’est fait, par un génocide au ralenti d’ampleur semi-continentale.
Chaque décennie sera dix fois pire que la précédente.
D’ici 2050, la France sera déjà un Liban en convulsions.
Songez maintenant à ces « élections », à ces partis démocratiques et à leur caractère dérisoire au vu des bouleversements raciaux actuels. Le suffrage universel ne peut d’ores et déjà plus rien dans les villes grandes et moyennes de France pour inverser la situation localement.
Ce sera bientôt le cas au plan « national ».
La démocratie est en réalité le dernier clou dans notre cercueil. Tant que nous laisserons la banque juive jouer une faction bourgeoise contre une autre, nous nous embourberons biologiquement dans les sables mouvants de l’immigration, de la submersion raciale et de l’islamisation.
Seul un mouvement révolutionnaire radical pourra sauver l’Europe.