« Cinq ans de présidence Macron, ce sera autour de 2 millions de migrants supplémentaires, soit plus de deux fois la ville de Marseille » : les sbires de Sarkozy ressortent la carte de l’immigration contre Macron

Captain Harlock
Démocratie Participative
07 mars 2021

 

Sarkozy est nerveux. Sa récente condamnation compromet son projet de quatrième campagne présidentielle, d’autant qu’un autre procès approche.

Du coup, ses sbires sortent du bois pour exciter la droite réactionnaire contre Macron.

Entreprendre.fr :

Il n’est pas anodin de voir l’ancien hôte de Beauvau se montrer aussi critique sur un sujet aussi sensible pour l’opinion que l’est la politique en matière d‘immigration

Ecoutons-le, ses propos, dans une interview donnée au Figaro, sont accablants pour le successeur de François Hollande :

« Cinq ans de présidence Macron, ce sera autour de 2 millions de migrants supplémentaires, soit plus de deux fois la ville de Marseille. Les discours abondants sur la maîtrise des fluxs sont totalement démentis par la réalité et les chiffres de 2020 ( 302 204 entrées régulières contre 415 826 en 2019) sont en trompe-l’œil. Cette baisse est due à l‘effet Covid et j‘affirme que nous subirons un fort rebond dès la sortie de la crise…Par ailleurs, rien n‘est fait pour restreindre le regroupement familial qui concerne 72 245 personnes. Rien n‘est fait non plus pour supprimer l‘acquisition automatique de la nationalité française par mariage -25 200 en 2019- dont on connaît les dérives. Rien n‘est engagé pour reconduire les déboutés au droit d‘asile dont la Cour des Comptes évalue à 5% seulement la réalité des expulsions. Au total, jamais il n’y a eu autant d’immigrés dans notre pays, à ce jour entre 6 et 7,5 millions. L‘Etat a perdu le contrôle de l‘immigration.“

En taillant en pièces la politique migratoire d ‘Emmanuel Macron, on Imagine mal le bras droit de Nicolas Sarkozy avoir agi seul sans s‘être concerté au préalable avec son son fidèle mentor et ami. En ce sens, on peut aisément interpréter cette déclaration de guerre comme une vraie rupture entre les deux présidents. Un fait essentiel dans la perspective des prochaines présidentielles d’autant que Brice Hortefeux se montre plutôt favorable à l’organisation de primaires tout en laissant ouvert les scénarios.

Entre 2007 et 2012, Sarkozy et Hortefeux importaient 200,000 parasites raciaux par an, soit un million de sous-hommes en moins d’un quinquennat.

Pour une raison que Hortefeux ne nous explique pas, nous devrions nous réjouir de nous faire envahir par un million d’afro-musulmans plutôt que deux tous les 5 ans.

Sarkozy était le champion de la discrimination négative contre les Blancs. Il expliquait à la moindre occasion ses grands projets pour abattre la race blanche en France, laissant transpirer ses obsessions cosmopolites héréditaires.

En réalité, ce type redoute d’autres condamnations. Du coup, il joue la carte Berlusconi : squatter un créneau électoral pour le négocier avec le gouvernement en échange d’un blanchiment complet par la « justice ».

Cette génération de parasites entend nous hanter jusqu’à ses 80 ans. Ces Boomers de droite n’ont pas compris que le clivage droite/gauche est mort et que Sarkozy est fini depuis une décennie.

Même une buse finie comme François Hollande a réussi à le battre en 2012, c’est dire.

Entre Macron et Marine Le Pen, il n’y a aucun espace. Mais ça n’empêche pas Sarkozy d’agiter son parti de cloportes pour protéger ses arrières en instrumentalisant la réaction.

Depuis sa condamnation, on ne compte plus les enfumeurs qui baissent le masque pour rager devant l’échec du énième retour du nain puant de Salonique. Les bourgeois enjuivés de Valeurs Actuelles pleurent depuis des jours.

Nous devrions remercier Macron de nous avoir définitivement débarrassés du concept même de droite en pulvérisant le parti gaulliste. Il a durablement rallié les opportunistes de la droite juive en leur distribuant ministères et faveurs diverses. Il n’y a que ceux qui n’ont pas bénéficié de ses largesses qui ragent d’avoir misé sur le mauvais cheval.

Le « populisme » de Sarkozy était un populisme bien particulier : un populisme marqué du sceau de la c’houtzpah. Il ne s’agissait pas de flatter les petits Blancs déclassés mais, bien au contraire, de flatter les afro-maghrébins pour les agiter contre les élites blanches un peu trop rigides face aux ambitions du juif.

Dans son bouquin « La cause du peuple », Patrick Buisson nous en donne un aperçu (page 186) : « hé bien ils vont voir ce qu’ils vont voir… Je vais faire de la promotion sociale à outrance, non pas sur des critères ethniques, mais sociaux. Cela revient au même  il y’a beaucoup de bronzés parmi les défavorisés. Je veux retrouver ma posture de campagne qui était antiélitiste et même populiste, je veux les faire rentrer dans les écoles, les administrations, les assemblées ».

Sans parler du désormais fameux « sang pourri des Français » de la « première dame », Carla Bruni.

Buisson racontait en effet : « habituée à être le centre du motif, l’épouse du président crut devoir enrichir sa contribution au débat : si les Français en général manifestaient une déplorable et fâcheuse tendance à l’entre-soi et au repliement frileux, c’était le huis clos de l’endogamie qu’il fallait, d’après elle, incriminer, ce « vieux sang pourri » qui ne se renouvelait pas et, pis encore, refusait de se renouveler. La régénération viendrait de l’apport de sang neuf des populations immigrées, évidence dont il ne fallait pas douter et que l’on devait acclimater, à toute force, dans la tête du retardé global qu’était le prolétaire hexagonal. » 

Il fallait toute la stupidité réactionnaire pour laisser se hisser à sa tête un métèque d’ascendance hébraïque, parfait vendeur de tapis, qui n’a jamais fait mystère de la seule idée constante à laquelle il soit resté fidèle : pulvériser la race blanche en France.

Il fallait toute l’audace d’un juif pour oser utiliser le sentiment anti-immigration afin de maximaliser l’invasion.

Mais Sarkozy ne serait jamais arrivé à rien s’il n’avait pas eu en face de lui la réserve inépuisable des demeurés de droite, si réticents à soutenir la moindre initiative sincèrement indigène et si prompts à se mettre inconditionnellement au service du premier épicier levantin venu.

Cette droite n’a jamais eu l’intention de sauver quoi que ce soit. En réalité, elle a toujours eu honte d’avoir trop de sang français, complexant devant le youtre glorieux, cherchant à justifier sa présence dans les rares travées du pouvoir où elle était tolérée en s’excusant d’avoir les pieds crottés d’ADN gaulois. S’il y a bien quelque chose que la droite a fait avec honnêteté à cet égard, c’est de dégueuler sur les électeurs du Front National pendant 40 ans. Le bourgeois de droite éprouvait un très réel dégoût pour ce prolétaire blanc si petitement soucieux de ne pas finir submergé par l’Afrique alors que lui, notable parfaitement intégré dans l’ordre juif, n’avait que de grands idéaux juifs plein la tête : Résistance en chrysanthèmes, portefeuilles, répulsion toute sincère devant le racisme de survie du bas peuple.

La gauche et les juifs n’ont pas assez triqué cette bourgeoisie réactionnaire. Les yids auraient dû forcer jusqu’au dernier encarté des Républicains d’avaler en public 19 bites circoncises en lisant du Primo Levi.

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