Captain Harlock
Démocratie Participative
10 septembre 2020
Si vous comptez prendre des vacances dans les prochaines semaines ou les prochains mois et que vous recherchez une destination, je vous recommande la partie civilisée de l’île de Chypre, en Méditerranée.
C’est la partie sans blattes turques, vous ne pourrez pas vous tromper.
Chypre bloque l’adoption par l’UE de nouvelles sanctions contre le Bélarus, en réclamant que des mesures comparables soient d’abord prises contre la Turquie dans la crise en Méditerranée orientale, a-t-on appris mercredi de sources européennes.
Les ministres européens des Affaires étrangères avaient donné en août leur feu vert pour sanctionner les responsables de la répression au Bélarus du mouvement de contestation contre le président Alexandre Loukachenko. Le Conseil de l’UE a établi une liste de noms contre lesquels des interdictions d’entrée et des gels de comptes doivent être imposés. Selon des sources diplomatiques, la liste contient actuellement une quarantaine de noms.
Mais selon ces sources, Chypre a signifié, lors d’une réunion mercredi, qu’il ne pouvait pas encore donner son accord à des sanctions contre le Bélarus, ce qui bloque l’adoption de telles mesures requérant l’unanimité. Cette opposition est liée à la demande de ce pays de voir l’UE adopter des sanctions contre de nouvelles personnalités pour leur rôle dans les forages exploratoires turcs.Actuellement, seules deux personnes sont frappées de sanctions. Mais un certain nombre de pays sont réservés sur la liste proposée par Chypre, a-t-on indiqué de source diplomatique.
La Grèce et Chypre sont en première ligne face à la Turquie, qui revendique le droit d’exploiter des gisements d’hydrocarbures dans une zone maritime qu’Athènes estime relever de sa souveraineté. Le déploiement le 10 août d’un navire de prospection sismique turc dans des eaux revendiquées par Athènes a mené à une escalade des tensions.
Les sanctions seront discutées lors de la prochaine réunion des ministres européens des Affaires étrangères le 21 septembre. Les relations avec la Turquie seront également au menu du sommet européen prévu trois jours plus tard, les 24 et 25 septembre.
Que des sanctions européennes visent la Russie depuis 2014 mais pas la Turquie islamiste qui multiplie les menaces d’agression militaire contre l’Europe, téléguide des attentats djihadistes chez nous et supervise l’invasion du continent par des millions de migrants musulmans constitue en soi un scandale diplomatique sans précédent.
C’est pourtant ce qu’il se passe, sous nos yeux.
D’après la clique bruxelloise, nous sommes censés nous sentir menacés par la Biélorussie et ses 10 millions d’habitants tout en ignorant les menaces quotidienne l’empire ottoman d’Erdogan qui appelle depuis des années ses millions de sujets établis en Europe à nous submerger et nous combattre.
C’est surréel.
Mais c’est aussi parfaitement conforme à ce que sont vraiment ces démocraties financières. Derrière leurs prêches dominicaux à propos des droits de l’homme, se cachent des affairistes inféodés à la banque juive dépourvus de scrupules. Aucune compromission ne les effraie. Ils s’allient donc tout naturellement à l’égorgeur Erdogan tout en nous persécutant au nom de leurs « valeurs démocratiques » qui ne sont rien d’autre que leur pourcentage annuel.
Chypre a fort heureusement remis les priorités en ordre : avant de divaguer sur une pseudo menace biélorusse, la première tâche de la diplomatie européenne doit consister à contenir le péril islamo-turc. En paralysant l’UE sur cette question, Chypre oblige tous les acteurs à clarifier leurs positions vis-à-vis de la menace turco-djihadiste.
Comme leurs maîtres juifs, ces escrocs détestent la lumière du jour. Sans la pénombre, ils sont comme privés d’oxygène et sont réduits à l’impuissance.
Pour des raisons que j’ai déjà exposées ces derniers temps, Macron cherche à devenir le protecteur des états de l’Europe du Sud pour contre-balance au sein de l’UE l’influence allemande en Europe de l’Est qui n’est elle-même que le véhicule de Washington.
Il est actuellement en Corse pour former une ligue européenne anti-turque.
#Méditerranée : pour Emmanuel Macron, la Turquie « n’est plus un partenaire »
👉 Avant un sommet des pays du sud de l’Union européenne, Emmanuel Macron s’est exprimé sur la situation en Méditerranée, notamment sur les actuelles tensions gréco-turques.https://t.co/YEa0MNXRHx pic.twitter.com/4JZ0ALo3M0
— La Croix (@LaCroix) September 10, 2020
L’idée de Macron est de détruire l’Otan de l’intérieur en exacerbant ses contradictions internes pour proposer une « armée européenne » sous contrôle stratégique français, grâce à l’arme nucléaire.
C’est au moins un point sur lequel je suis d’accord avec Macron : plus tôt l’Otan disparaîtra, mieux ça vaudra pour tout le monde. C’est une étape indispensable à la destruction du système démocratique. Bien entendu, Macron ne veut pas détruire la démocratie, il pense que la république française avec son arsenal nucléaire peut servir de garant alternatif en lieu et place des USA. La seule chose qui se produira, c’est que la France finira écrasée sous le poids des forces qu’elle libère.
Peu importe, il arrive que le Diable porte Pierre.
Plus les tensions seront fortes avec le démon islamo-asiate d’Anatolie, plus le stress sera important à l’intérieur des démocraties multiculturelles à forte population musulmane. Tout ce qui peut contribuer à détruire la démocratie est à exploiter à outrance.
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