La rédaction
Démocratie Participative
10 juin 2022
J’invite à la plus grande prudence face aux Français.
Un départ sous haute tension. Selon nos informations, dans la nuit de ce jeudi à ce vendredi, la famille qui squattait un pavillon à Ollainville, en Essonne, a été agressée en quittant les lieux. Vers minuit, alors que la gendarmerie venait de leur signifier leur mise en demeure en fin de journée, le couple et ses enfants âgés de 4 à 16 ans chargeait ses affaires dans leur voiture.
Selon une source proche du dossier, un groupe de personnes cagoulées et masquées a surgi et fait usage de gaz lacrymogène sur la famille, les agressant physiquement. L’habitacle de leur voiture puis l’intérieur de la maison ont aussi été aspergés de gaz lacrymogène. Le véhicule a été dégradé. La famille a déposé plainte auprès des gendarmes dans la foulée.
Quelle magnifique action de la part de ces justiciers masqués.
La France d’aujourd’hui est un royaume où l’injustice triomphe. Les méchants dictent leur loi, la légitimité est bafouée, la canaille prospère, le vice est célébré comme une vertu.
Les gendarmes ne voulaient pas bouger, ils l’ont dit sans détour à ces deux Français. Les bleus préfèrent harceler la Gaule chevelue pour des histoires d’excès de vitesse.
Ce n’est que lorsque Darmanin a senti le coup de communication qu’ils ont finalement décidé de quitter leurs bureaux climatisés pour faire leur boulot.
Suite à notre instruction avec @AdeMontchalin, un arrêté de mise en demeure a été pris ce jeudi par le @Prefet91 afin d’expulser la famille de squatteurs. Cette situation inacceptable va prendre fin et les véritables propriétaires vont pouvoir retrouver leur maison. https://t.co/wUVOZhdf41
— Gérald DARMANIN (@GDarmanin) June 9, 2022
En revanche, ils vont faire du zèle pour protéger les clandos du Maghreb, fort justement corrigés par des citoyens honnêtes. Vous allez me demander pourquoi, la réponse est évidente : l’action virile de réappropriation territoriale souligne à quel point les bleus ne servent plus à rien dans cette jungle raciale qu’est la France post-française.
Sur ce, le Français concerné a réagi, hélas, lui aussi, sans surprise.
« Vous me l’apprenez, réagit Laurent, contacté ce vendredi matin. Je dormais chez moi cette nuit, je découvre cette histoire. Les agresseurs ont eu tort de faire cela, ça me porte préjudice. Si j’avais vu la famille sortir, je les aurais aidés. Ces derniers jours, autour de la maison, les riverains devenaient pressants, certains klaxonnaient, criaient « virez-les ! », ça devenait tendu. Même à la sortie de l’école. Ce n’est pas faute d’avoir prévenu le père de famille… je lui proposais même de l’aider à déménager gratuitement avec mon camion. »
Pour rappel, après l’achat de cette maison en mai dernier à Ollainville (Essonne), qu’ils savaient squattée, Elodie et Laurent, le couple de propriétaires, avait entamé une longue bataille judiciaire pour évacuer cette famille. Le ministre de l’Intérieur avait demandé ce jeudi 9 juin au préfet d’accélérer la procédure.
Il ne voulait pas foutre dehors la vermine islamique qui, en plus d’envahir sa maison, envahit la France.
Sortez de mes mentions les racistes
Il voulait, à ses frais, déplacer le problème hors de ses quelques mètres carrés, pour qu’un autre Français paie l’invasion.
« Vous vous attendiez à quoi ? Je suis un Français, c’est ma nature ! C’était plus fort que moi…»
Cet autre Français aurait fait de même au détriment d’un autre Français, et ainsi de suite jusqu’à ce que la France soit islamique.
Jusqu’au bout de l’abîme, ces gens sont prêts à toutes les lâchetés. Les crouilles ne font qu’exploiter, sans grande intelligence, l’égoïsme honteux de gens qui se foutent absolument de ce qui peut se produire à plus de 500 mètres de leur domicile.
Le problème ne réside pas chez les allogènes, il réside dans cette populace pour laquelle trahir est une seconde nature.
Vous commencez à comprendre pourquoi Pol Pot avait raison ?
La grande tâche de ce siècle n’est pas de foutre les métèques dehors, mais de nettoyer la race blanche de toute cette mauvaise viande avariée, de ces bouches inutiles stupides auxquelles, comble de l’infâme, on donne le droit de voter et de s’exprimer.
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