Captain Harlock
Démocratie Participative
01 Février 2020
Le Pakistan est sorti de l’UE : OUF !
Ces rosbeefs halals sont enfin dehors.
C’est la meilleure nouvelle de l’année.
La première conséquence, c’est que cette île pakistanaise trustée par la finance juive, avec ses clowns en costumes comme Farage et ses princes mariées à des négresses, ne saturera plus les médias de ses convulsions dérisoires.
Je ne supportais plus de voir Farage se mettre en scène en train de criser sur l’immigration polonaise tout en célébrant l’importation de pakies et d’hindous.
Farage conjure le péril blanc en provenance d’Europe continentale
A présent, ces Anglais vont pouvoir s’enterrer sous des flots de métèques de leur « empire » dans l’indifférence générale du continent.
Ils n’auront plus d’excuses bidon à brandir pour ne pas assumer le fait de vouloir se transformer en banlieue d’Islamabad.
Ce truc anti-UE n’explique rien
Je n’ai jamais adhéré à l’obsession anti-UE.
C’est un artifice commode pour se voiler la face sur les causes véritables de nos problèmes. Une manière de dévier le débat et de ne pas admettre que nous sommes les principaux responsables de notre situation.
Les USA et le Canada ne sont pas dans l’UE et traversent la même crise raciale que l’Europe de l’Ouest.
Orbàn est dans l’UE et a fermé ses frontières avec succès tandis que les bouffeurs de veau à la gelée à la menthe, désormais hors de l’UE, vont au contraire ouvrir les leurs davantage, si c’est seulement possible.
La Norvège n’est pas dans l’UE et sa capitale est déjà submergée de créatures du tiers-monde.
Ils donnent même des cours aux sous-hommes qu’ils importent d’Afghanistan pour ne pas violer de Blanches.
Ils font ça seuls, comme des grands.
L’obsession anti-UE est une lubie que l’on peut retourner comme on veut. La Pologne est dans l’UE et est une nation blanche. Est-ce à dire que la Pologne menace la France ? J’ai plutôt le sentiment que c’est la République française qui menace à terme le socle biologique polonais.
A ce jeu-là, nous pourrions découvrir d’ici quelques années des demandes de plus en plus pressantes de la part des états d’Europe centrale et orientale pour exclure la France afro-musulmane de l’UE.
Tout ce qui est vérolé au niveau de l’UE provient des sociétés démocratiques d’Europe de l’Ouest. Si tous les états de l’UE étaient à l’image de la Pologne ou de la Hongrie, l’UE serait à l’image de la Pologne ou de la Hongrie. Mais comme les états les plus puissants économiquement sont également ceux qui avancent le plus rapidement sur la voie de la dégénérescence raciale, ce sont eux qui exercent le plus d’influence toxique sur l’Union Européenne.
L’UE peut être dissoute demain, cela ne changera rien. La France sera tout aussi islamo-négrifiée que la Grande-Bretagne est pakistanisée.
Ces deux états n’ont pas attendu l’avènement de l’UE pour commencer à mettre en place l’immigration de masse.
Le discours d’Enoch Powell date de 1968. La Grande-Bretagne n’avait pas encore adhérer à la CEE, l’ancêtre de l’UE.
Le Brexit ne fera pas sortir un seul de ces nègres du sous-continent indien de Grande-Bretagne.
Pas un seul.
En l’état, l’Angleterre sera officiellement à majorité non-blanche en 2060. Que cela se produise dans ou en dehors de l’UE est sans intérêt.
L’intérêt de cette histoire de Brexit, c’est qu’après 25 ans d’activisme sur le sujet, aucun miracle ne sera au rendez-vous. Londres sera toujours une ville où les Blancs sont une minorité et des millions de mahométans paraderont dans les rues du pays au rythme de leurs célébrations religieuses.
Cette douche froide aura pour effet de dégonfler la baudruche de la solution « miracle ». Sauf à aborder de front la question raciale comme celle, centrale, de la question juive et de son système qu’est la démocratie cosmopolite, rien ne bougera.
Vous avez des gens qui viennent ensuite divaguer sur le PIB.
« Ah, mais la Grande-Bretagne s’en sort beaucoup mieux que le reste de l’UE ! »
Vivre sur une île froide et pluvieuse cerné de pak pak avec 1% de croissance du PIB de plus que le pays voisin ne serait pas de nature à me rendre la proximité de la pouillerie du tiers-monde plus supportable.
Cette histoire de croissance du PIB est un argument de banquier juif.
Au quotidien, pour le prolétariat, l’enfer ethnique reste le même. Si vous me proposez de vivre dans une France intégralement blanche avec un PIB divisé par deux, je n’hésiterais pas une seule seconde.
En Grande-Bretagne, les lois antiblanches seront toujours plus draconiennes et les continentaux constateront que l’UE n’y est pour rien mais qu’il s’agit d’un mal autrement plus profond qu’un bureau situé à une adresse bruxelloise.
Les anti-UE, qui construisent leur vision du monde sur cette opposition exclusive, finissent toujours par dire qu’ils préfèrent leurs nègres des îles et leurs compatriotes musulmans qu’un Blanc de Belgique, de Hollande ou d’Autriche au motif qu’une frontière dessinée il y a un siècle dit que ce sont des étrangers. Peu importe le temps que ça prend, ça finit toujours là.
Sur le sujet, n’importe quelle victoire de l’Équipe de France me conforte dans cette opinion.
C’est vraiment la forme la plus absurde de nationalisme qui puisse exister. Une caricature de chauvinisme de cadastre.
L’invasion du tiers-monde a rendu le stato-nationalisme obsolète. Il avait déjà prouvé sa toxicité en 1914 quand l’Europe s’est anéantie pour le compte des juifs de Londres et de New York.
Un énorme pet pour rien
Donc, entre hier et aujourd’hui, en Grande-Bretagne, rien n’a changé. Le temps y est toujours aussi pourri, la bouffe aussi dégueulasse, les femmes aussi vulgaires et grosses. La seule chose qui a changé, ces dernières 24 heures, c’est que le service d’immigration britannique a tamponné quelques centaines de visas supplémentaires pour des nègres du Nigeria et des crasseux du Pakistan.
Sur le continent, en revanche, nous sommes enfin débarrassés des plus grands avocats de l’adhésion de la Turquie à l’Union Européenne.
Et de Farage avec ses nègres au curry.
Donc, au global, c’est effectivement une bonne nouvelle.
Mais pas pour les raisons qu’on peut lire ici ou là.