Chine : les médias juifs dénoncent le « génocide » des musulmans que constituent le Planning Familial et l’importation de migrants !

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 Juillet 2020

 

Ceci n’est pas une tribune de l’association anti-avortement SOS Tout Petits ni de la frange la plus radicale de la Manif Pour Tous.

C’est bien le journal de gauche Libération.

Ce média d’extrême-gauche contrôlé par le milliardaire juif Patrick Drahi nous avait habitué à autre chose. En France.

Il semble que la géographie et la religion permettent d’avoir un avis radicalement différent sur une même question.

Apparemment, toute tentative gouvernementale visant à réguler les naissances musulmanes dans la province chinoise du Xinjiang constituerait un génocide.

C’est une approche nouvelle à gauche pour qualifier le planning familial.

Libération :

En 2018, 80 % des stérilets posés en Chine le sont au Xinjiang, qui ne représente que 1,8 % de la population. En 2019, un canton planifie la stérilisation, en un an, de 34 % des femmes en âge de procréer. La même année, quatre préfectures rendent obligatoire un test de grossesse tous les quinze jours, et un autre canton décide que les femmes qui refusent d’interrompre une «grossesse illégale» seront envoyées en camps

Ces faits, s’ils étaient avérés, sont volontairement décontextualisés. Outre l’infiltration djihadiste que supervise la CIA dans cette province et qui a déclenché une réaction défensive de la part de la Chine, c’est omettre cyniquement que la Chine s’est imposée à elle-même une politique de contrôle des naissances autoritaire pendant des décennies. De stérilisations forcées donc. La fameuse politique de « l’enfant unique » que personne n’a jamais dénoncé à gauche, pour autant que je m’en souvienne. Au contraire, c’était une politique généralement saluée en France comme progressiste car elle soulageait la Chine du fardeau de la surpopulation et du sous-développement. Ce n’est donc pas comme si les femmes chinoises étaient encouragées à faire 6 ou 7 enfants par l’Etat pendant qu’il mène cette campagne volontariste de régulation des naissances ouïghoures dans le Xinjiang.

Si les Chinois ont entrepris cette campagne, c’est qu’ils ont constaté que ces ouïghours musulmans étaient visiblement encouragés depuis l’extérieur à faire des bordées d’enfants dans le but de déstabiliser cette grande province. Aucun état ne peut laisser des influences étrangères malignes essayer de semer le chaos dans une portion aussi large de son territoire, à plus forte raison par des islamistes.

Cette surnatalité musulmane était d’autant plus dangereuse que, comme je le disais plus haut, les femmes chinoises quant à elles étaient contraintes de faire un enfant par femme voire deux, au maximum. J’imagine qu’avant la flambée d’attaques djihadistes dans cette région, les bureaucrates de Pékin se fichaient pas mal de savoir combien de rejetons produisait cette peuplade lointaine. Mais avec les atrocités commises par ces animaux, tout a changé.

Car ce sont des animaux qui ne cachent pas leur intention d’importer le djihad en Chine.

Qui pourrait tolérer la formation d’une insurrection générale semblable à celle-là ?

Compte tenu de notre propre incapacité à juguler l’infiltration islamiste en France ou en Occident, je ne crois pas que les démocraties puissent sérieusement être consultées sur la meilleure façon d’écraser le djihadisme. Nous n’avons aucune crédibilité sur le sujet. Aucune. Depuis des années, des gens se font régulièrement tuer à coups de couteau dans nos rues par des musulmans hurlant « Allak Akbar » et la seule réaction des autorités et des médias consiste à dénoncer l’islamophobie. En fait, nous en sommes au stade où une gamine est condamnée à mort par les musulmans si elle doute des bienfaits de la religion du Bédouin.

Ce n’est pas une formule gagnante. Il se trouve que les Chinois recherchent une formule gagnante.

Les médias juifs, comme chez nous, ne veulent pas qu’ils trouvent une formule gagnante face à l’islam.

En 28 pages, le chercheur allemand Adrian Zenz démontre à partir des données chinoises que l’Etat-Parti est engagé dans une campagne d’entrave aux naissances d’un groupe ethnique (1). Soit l’un des cinq critères de génocide comme défini par la convention pour la prévention et la répression du crime de génocide des Nations unies de 1948.

Région de l’ouest de la Chine, le Xinjiang concentre quelque 25 millions d’habitants, pour moitié issus de minorités ethniques musulmanes. Or, depuis 2016, la courbe de naissances dans les cantons à majorité ouïghoure a chuté de manière vertigineuse, tandis que les cantons à majorité han (ethnie majoritaire en Chine) connaissaient des taux de croissance jusqu’à huit fois supérieurs.

Le sinologue avait été le premier à apporter les preuves de l’enfermement extrajudiciaire d’au moins 1,5 million de Ouïghours dans des camps de rééducation depuis avril 2017 sous prétexte de lutter contre «l’extrémisme», le «séparatisme» et le «terrorisme». Après avoir nié l’existence des camps, Pékin les a présentés en octobre 2018 comme des «centres de formation professionnelle», à grand renfort de propagande et de mises en scène similaires à celles organisées par les nazis à Dachau en 1934.

La suppression des naissances, pilotée au plus haut niveau à Pékin, a pour but de réduire le nombre de Ouïghours, qui «affaiblissent l’identité nationale et l’identification à la « nation-race chinoise »». Elle a été précédée par l’envoi massif de migrants hans alléchés par des logements et des terres gratuits. «Après avoir échoué à siniser la région de manière pacifique, et avoir constaté la déconstruction par les intellectuels de l’idéologie communiste de lutte des classes, le pouvoir, obsédé par un effondrement possible du régime, utilise des méthodes fascistes telles que la persécution, voire l’élimination, des ethnies minoritaires», analyse un historien chinois, sous couvert d’anonymat.

Les contraceptions, stérilisations et avortements forcés sont menés en parallèle du lavage de cerveau des enfants envoyés dans des pensionnats ultrasécurisés, de la séparation des familles et de la campagne «Devenir famille», où des centaines de milliers de fonctionnaires hans sont envoyés chez les Ouïghours pour les faire manger du porc, boire de l’alcool et dormir dans le lit des femmes seules. «Les politiques violentes qui visent les femmes et les enfants de manière si spécifique me semblent extrêmement préoccupantes dans la mesure où tous les génocides visent la rupture de la filiation», affirme l’historienne Hélène Dumas, chargée de recherches au CNRS.

Goy, il n’y a pas de lavage de cerveau des enfants blancs en Occident. C’est seulement chez ces sales chinois qui refusent d’ouvrir leur pays aux philanthropes internationaux.

Cette description de Libération me paraît curieusement familière mais ce n’est pas les Nazis qu’elle me rappelle ni le fascisme. Ce concept de génocide par « entrave aux naissances » et importation de « migrants » par l’Etat-Parti correspond à s’y méprendre ce que font les autorités occidentales, 365 jours par an, quand il s’agit de restructuration démographique autoritaire.

En fait, l’Etat-Parti occidental concentre tous ses efforts à cette politique. Les moyens qu’il consacre à cette politique au niveau médiatique sont considérables.

D’ailleurs, l’Etat-Parti interdit toute critique du contrôle des naissances blanches grâce au fameux « délit d’entrave à l’IVG ».

Il sature également l’espace géographique, médiatique et scolaire avec un dispositif spécial dont le but est d’enrayer la natalité blanche.

La différence avec la Chine, c’est que ce décrivent les médias de l’Etat-Parti occidental comme une politique génocidaire dans le cas chinois est considéré comme logique et légitime vis-à-vis des autochtones blancs en Occident. Si l’Etat-Parti occidental déploie une grande stratégie de dénatalité blanche, il en va tout autrement lorsqu’il s’agit d’encourager la natalité musulmane en France. Les dispositifs sociaux d’encouragement gouvernementaux pour les musulmans sont très généreux. On ne peut pas dire que la CAF soit regardante sur la question.

Ce que les médias et organisations de l’Etat-Parti occidental dénoncent avec virulence dans le Xinjiang, c’est le « Grand Remplacement » des ouïghours musulmans par le biais de la dénatalité d’état et le repeuplement de leur pays par des populations chinoises importées. Une théorie conspirationniste d’extrême-droite que l’Etat-Parti occidental appelle la « hanification ».

C’est pourtant la politique que célèbre tous les jours l’Etat-Parti en Occident. En France, les autorités organisent très régulièrement des cérémonies pour ritualiser l’installation de populations afro-musulmanes que l’Etat-Parti importe autoritairement dans les régions où les Blancs doivent devenir minoritaires.

L’Etat-Parti pilote cette politique au plus haut niveau.

L’Etat-Parti organise même des cérémonies pour féliciter les mères musulmanes qui contribuent à la surnatalité des migrants tandis que les autochtones blancs voient leur natalité dénoncée médiatiquement et réprimée par le dispositif gouvernemental « d’entrave aux naissances » décrit plus haut, pour reprendre l’expression de Libération.

La différence avec la Chine, c’est que la politique décrite est marginale et tournée contre une agression extérieure objective là où il semble que ceux qui contrôlent ces médias en Occident, à l’image de Libération, mènent une politique génocidaire contre la totalité des autochtones blancs au profit des étrangers.

La conclusion logique face à cet état de fait est que ces médias comme l’Etat-Parti sont contrôlés par des intérêts étrangers dont l’idéologie a pour principal pilier le génocide des populations blanches. Mais quelle peut bien être l’identité de ces intérêts étrangers à la tête de l’Etat-Parti occidental ?

Ce génocide existe… en Occident

La pilule abortive a été légalisée par le juif Lucien Neuwirth en 1967 sous la présidence De Gaulle. L’avortement a quant à lui été légalisé par la juive Simone Veil sous une autre présidence gaulliste, celle de Giscard. Ces criminels sont d’ailleurs célébrés par l’Etat-Parti juif.

A cette politique de dénatalité blanche d’état s’additionne, depuis le siècle dernier, une agressive campagne juive de repeuplement de la France par des migrants importés du monde musulman comme j’en ai parlé récemment. Les mêmes juifs qui veulent empêcher toute rébellion des autochtones face à ces « critères du génocide » en utilisant la répression de l’Etat-Parti contre ceux qui s’opposent à la venue de migrants venus les remplacer, notamment grâce à la loi Taieb-Avia.

Par un vice et un culot proprement sataniques, les juifs qui perpètrent ce génocide à la tête de l’Etat-Parti occidental tentent actuellement de détourner l’attention des Blancs en train d’être génocidés en accusant la Chine de ce qu’ils commettent eux-mêmes actuellement sous nos yeux.

L’instruction de ce dossier doit commencer. Les juifs devront répondre devant un tribunal international de leurs crimes. C’est inévitable.

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