Capitaine Harlock
Démocratie Participative
08 mars 2018
Il nous manque
Quand un pays est à peu près préservé, en ce début de 21ème siècle, un besoin inédit de le faire envahir de nègres surgit de nulle part. Du moins, de prime abord.
C’est une certaine « Julie Fontaine » dont la passion pour les métèques ne fait pas l’ombre d’un doute, qui nous en fait part dans un article pour « Radio France International » sobrement intitulé, « Chili: polémiques racistes autour de la présence de migrants haïtiens ».
RFI :
Près de 100 000 Haïtiens ont émigré au Chili l’an dernier, soit deux fois plus qu’en 2016. Une immigration récente, qui s’explique par la bonne santé économique du pays, son faible taux de chômage, et le fait qu’aucun visa préalable n’est demandé aux Haïtiens à leur arrivée dans le pays. Pourtant, plus de 160 Haïtiens se sont vu refuser leur entrée au Chili ces derniers jours et ont été renvoyés vers Port-au-Prince. Il arrive parfois que des migrants soient refoulés mais c’est la première fois qu’un groupe aussi important de personnes se voit refuser l’entrée au Chili depuis le début de l’immigration haïtienne vers ce pays.
Vendredi dernier un avion est donc reparti avec la majorité des voyageurs qui venaient d’atterrir à Santiago. Mais d’autres passagers ont attendu 4 jours entiers, et même davantage pour certains, avant d’être embarqués dans un vol de retour vers Haïti mardi 6 mars. La principale compagnie concernée, Latin American Wings, a expliqué qu’elle n’avait pas eu de vol disponible plus tôt pour leur éviter une si longue attente.
Des associations ont dénoncé cette situation, et en premier lieu les conditions dans lesquelles ont été retenus les passagers haïtiens à Santiago. Et elles ont été entendues par l’Institut chilien des droits de l’homme, un organisme public indépendant qui a rendu visite à une soixantaine de passagers ce mardi. L’institut confirme que ces citoyens haïtiens ont dû dormir à même le sol, sans couvertures, sans pouvoir se doucher ni avoir accès à leurs bagages et à leur passeport. Les avocats de l’organisme affirment aussi qu’on ne leur a pas donné suffisamment de nourriture, et très peu d’informations sur leur situation. La plupart ne parlaient pas espagnol et ne savaient pas pourquoi ils avaient été refoulés ni quand ils allaient repartir vers Haïti. Pour l’Institut chilien des droits de l’homme, ces personnes ont été retenues dans des conditions contraires à la dignité et au respect des droits humains.
Vous aurez relevé la parti pris des marxistes de RFI : ce sont les autochtones qui doivent s’expliquer de leur refus d’accueillir cette basse humanité et non pas aux nègres de justifier de leur présence.
Le nègre est le véritable dieu vivant de l’Occident judéo-communiste. Vous ne pouvez tout simplement rien lui faire sans voir une véritable (((campagne mondiale))) se déclencher. Pas même expulser moins de 200 nègres hirsutes fraîchement débarqués de leur île infernale.
Les associations accusent aussi la police d’avoir agi de manière discriminatoire en refusant à ces citoyens haïtiens d’entrer au Chili car ni la loi migratoire ni son décret d’application ne précisent qu’il serait obligatoire d’avoir une réservation d’hôtel pour pouvoir entrer au pays en tant que touriste, ce que souhaitaient ces voyageurs haïtiens. Pour le Service jésuite aux migrants, l’une des principales associations de défense des droits des immigrés au Chili, la police a donc eu une attitude discriminatoire envers les Haïtiens, d’autant plus que ce document est rarement demandé aux touristes par la police. La loi exige simplement de présenter son passeport et prouver qu’on a les moyens de séjourner sur place.
Les réactions xénophobes se sont multipliées ces derniers mois. Cela s’est produit encore il y a quelques jours après la diffusion d’une vidéo où l’on voyait des citoyens haïtiens descendre d’un charter à l’aéroport de Santiago.
Les Haïtiens ne sont pas les seuls migrants à s’installer au Chili en ce moment : le pays connait depuis trois ou quatre ans une immigration d’une ampleur inédite, notamment en provenance du Venezuela. Mais c’est vers les premiers que se portent la plupart des réactions négatives.
Ces ordures de Chiliens ne semblent pas goûter la présence de ces nègres haïtiens qui sont pourtant des gens parfaitement décents.
C’est absurde, mais cette folie est tenace.
Au reste, nous voyons une nouvelle fois les terroristes communistes du clergé post-catholique se déchaîner pour négrifier à outrance ce pays de peuplement globalement européen, même s’il faut nuancer.
Le communisme racial et la négrification totale de la planète qui en est l’expression sont la plus pure forme du nihilisme dominant. Et cette curaille judéo-bolchevique ne loupe pas une occasion d’attiser les flammes.