Chez Hanouna, appel unanime à interdire le blasphème et lapider les infidèles

Captain Harlock
Démocratie Participative
31 Janvier 2020

Hier soir, le rabbin Hanouna tirait les marrons du feu à propos de l’affaire Mila.

Il a convié toute une série de métèques pour disserter sur le sort de cette nana LGBT et, par extension, sur celui des Français de souche amenés à vivre dans la nouvelle France islamique.

Lors de cette émission, des négresses des îles volubiles ont par exemple pu décréter que manquer d’égard à l’endroit de la Secte du Bédouin était certes encore « légal » mais pas « moral ».

Sous l’oeil approbateur de cette larve de Naulleau.

Je ne sais pas exactement pourquoi une négresse analphabète peut dicter notre mode de vie à la télévision, si ce n’est parce que les juifs lui en donnent la possibilité.

Il y avait aussi un genre d’autiste dont le job consiste à polir le noeud des mahométans. Un certain Christophe Frot. Au bout d’une minute, j’ai compris que le type abusait lourdement des stupéfiants et qu’il mettait des lunettes noires pour cacher sa défonce.

La juiverie médiatique connaissant son affaire, il s’agit d’empêcher toute réaction de défense raciale face à l’invasion. Aussi, « l’opposant » à l’islamisme était évidemment un bougnoule : la couleuvre perfide Sifaoui.

Et puis encore un rat favorable à la lapidation des infidèles.

Le seul fait que des crouilles puissent déblatérer à égalité de temps – plus en fait – à la télévision face à quelques rares « pro-Mila » démontre à quel point la République laïcarde fait une indigestion de bougnoules.

Globalement, on assiste au ralliement général au principe de l’interdiction du blasphème. De facto mais pas encore de jure.

Il suffit d’attendre que la démographie française poursuive sa route et dans 20 ans les infidèles seront emprisonnés puis exécutés s’ils blasphèment. Et probablement s’ils ne font pas ramadan.

Au de l’ambiance sur le plateau, l’espérance de vie de Mila en France s’est drastiquement réduite.