La rédaction
Démocratie Participative
01 septembre 2022
Sandrine Rousseau est apparue en majesté sur le plateau de Boloss TV.
C’est l’homme dépourvu de corps Barthès qui l’interrogeait sur son hypothétique manque d’humour. Sandrine a récusé cette accusation, déclarant qu’il fallait rire sans déplaire aux gens dont on rit et que cette « transformation » fémo-bolchevique aurait lieu.
« C’est du cyber-harcèlement… On peut très bien rire sans être humiliant… »
Sandrine Rousseau réagit au “compte Twitter parodique” « Sardine Ruisseau »#Quotidien pic.twitter.com/COUW1uVPs8
— Quotidien (@Qofficiel) August 31, 2022
« Dans la rue, les gens m’arrêtent quasi non-stop pour me dire à quel point ma parole est précieuse à leurs yeux, (…) et que je porte enfin des mots qu’ils n’avaient jamais entendus. » pic.twitter.com/OevqZiK6R6
— Sardine Ruisseau 🐟 🇸🇪 (parodie) (@sandruisseau) August 31, 2022
Sandrine marque un point.
En démocratie, il est interdit de rire des juifs, des noirs, des femmes obèses, des handicapés, des fiottes déguisées en femmes, etc..
Le moindre écart se termine par une descente de police et un procès politique.
Elle réclame le même traitement au nom de la lutte contre le « harcèlement » et la « discrimination ». Autrement dit, elle veut bénéficier de l’impunité légale déjà offerte à tout ce qui n’est pas un homme blanc hétérosexuel.
Je ne vois pas comment lui refuser, en théorie.
Si elle arrive à mobiliser suffisamment de femmes blanches ménopausées, elle pourrait obtenir ce bouclier légal et persécuter tous les Nazis qui font des barbecues.
Ce site est exclusivement financé par ses lecteurs, pensez à le soutenir avec quelques shekels SVP
Monero :
88kr9DrDeJbF4axJvVATB8K9iAtfDnvQCAdmriw3ddHAjgimfePFKkF76j3MdzRFm67RrFMUHM48pZm98zjjKRZAB4AHPkw