Chartres : un druide alpha ignoblement accusé de viol par des MILFs qui payaient pour qu’il les baise à la chaîne

Captain Harlock
Démocratie Participative
13 juillet 2019

Cette affaire me met hors de moi.

Un druide carnute de Chartres a été odieusement arrêté, placé en détention et torturé pour avoir eu trop de succès amoureux auprès de traînées hypocrites.

L’Écho Républicain :

Six femmes ont porté plainte pour viol contre un guérisseur de Chartres. « J’étais comme hypnotisée, incapable de réagir », indique l’une d’elles. Il est condamné à quarante-deux mois de prison ferme.

Grand, mince, le visage marqué par plus de deux ans de détention provisoire, Didier Paux semble mettre une évidente mauvaise volonté à s’expliquer. Les cheveux blancs tirés en arrière, noués par un catogan, il tient souvent les yeux fermés derrière ses larges lunettes. « J’ai tout dit au juge d’instruction. Je n’ai rien d’autre à ajouter, sinon que je suis innocent de ce qu’on me reproche. »

Pour lui, le débat est clos. Mais pas pour les deux femmes assises sur le banc des victimes. Elles sont les seules des six plaignantes à s’être déplacées pour le procès de celui qu’elles désignent comme leur violeur.

Ce guérisseur chartrain, à qui tout semblait réussir jusqu’alors, aurait dû être jugé par une cour d’assises. Avec l’accord des plaignantes, et pour plus de rapidité, il est jugé par le tribunal correctionnel pour agressions sexuelles aggravées.

La première plainte a été déposée le 4 mars 2017, par une femme de 52 ans. Elle souffrait d’un torticolis. L’une de ses amies lui avait conseillé Didier Paux pour résoudre son problème. « Les deux premières séances se sont bien passées », a-t-elle indiqué aux policiers, au moment de son dépôt de plainte. « À la troisième séance, il a sorti son sexe et il me l’a mis dans ma main. J’étais comme hypnotisée, incapable de réagir », a-t-elle affirmé.

Tiens, « l’amie » qui refile les bonnes adresses aux copines.

Pour un « torticolis ».

Attendez la suite, vous allez voir ce que veut dire « incapable de réagir ».

Les enquêteurs perquisitionnent le cabinet, à Chartres. Ils saisissent le fichier clients et contactent plusieurs clientes. Les langues se délient. Plusieurs évoquent des agressions sexuelles, et même des viols pour certaines, avec un point commun : elles assuraient toutes être incapables de réagir aux assauts de l’homme.

Résumons :

– Bonjour Madame Surault, c’est la police judiciaire de Chartres.

– Bonjour. Qu’arrive-t-il ?

– Vous êtes une cliente d’un certain Didier Paux ? C’est ce qu’indique le registre que nous avons saisi à son cabinet. 

– Ne dites rien à mon mari, je vous en conjure ! J’ai été violée !

C’est exactement ce qui s’est passé.

Une première traînée s’est faite griller par son mec. Du genre, par un SMS ou un soupçon. La nana se met à paniquer et jure qu’elle a été abusée.

« J’allais justement porter plainte mais j’avais honte ».

Les flics font leur job et essaient de savoir qui transitaient par l’endroit. Comme par magie, les cas de « viols » se multiplient aussi vite que les noms présents sur le registre que les flics contactent.

Le président d’audience l’interroge : « Pratiquez-vous l’hypnotisme ? » « Non, pas du tout. Je ne m’y suis jamais intéressé », répond le prévenu. Les deux plaignantes, qui se sont constituées partie civile, affirment être persuadées du contraire. L’une d’elles était atteinte d’une maladie orpheline. Le guérisseur était son dernier espoir de voir ses souffrances s’atténuer.

« Malgré ce qu’il me faisait subir, j’y suis retournée à plusieurs reprises. J’étais sûre qu’il pouvait me guérir. » La seconde évoque des rapports sexuels dès la première séance : « Je n’arrivais pas à lui résister. Il avait une emprise sur moi. »

« Je n’arrivais pas à lui résister » : oui, on appelle ça vouloir coucher avec un mec.

Quelle garce.

Dépressive à la suite de sa séparation avec son conjoint, elle dit être au fond du gouffre à cette époque : « Je me suis accrochée à lui, comme à un gourou. Pourtant, je ne suis pas du tout attirée par lui. » Elle admet être retournée voir le guérisseur « entre dix et quinze fois ».

C’est extraordinaire ces femmes violées récemment séparées qui retournent voir leur violeur « quinze fois » parce qu’elles « s’accrochent à lui ».

Ces viols ressemblent à s’y méprendre à de banales histoires de fesses.

L’homme ne nie pas les relations sexuelles avec sa cliente. « Elle a été ma maîtresse pendant deux mois », affirme-t-il, sous le regard semble-t-il compréhensif de son épouse, présente dans la salle. L’expert psychiatre, qui a examiné le prévenu, décrit « un séducteur compulsif avec une tendance à la manipulation ».

Me Laure Pavan, l’avocate de l’une des plaignantes, évoque « un dossier très particulier ». « Un mystère de la psychologie humaine », remarque, de son côté, le procureur de la République.

Ha !

Les salopes, un « grand mystère » de la psychologie humaine.

Je vais faire graver cette phrase dans un bloc de porphyre et le caler au dessus de ma cheminée.

Quelle audace pornographique, c’est hallucinant.

Une fois surprises dans leurs histoires de coucheries avec des gigolos, elles vont jusqu’à s’inventer des histoires de viol imaginaire, de peur que leurs maris ne découvrent le pot-aux-roses et ne les lourdent, moyennant réduction drastique du niveau de vie.

Pour sauver leur compte courant en commun, elles sont prêtes à faire foutre au trou le Dom Juan rémunéré au titre de pseudo séances de « guérison ».

Dans cette affaire, il n’y a pas plus de viol que de beurre en broche.

En revanche, il y a une série de MILFs qui rêvaient de se faire violer et qui se sont progressivement persuadées de l’avoir été au fur et à mesure qu’elles bobardaient à qui mieux mieux.

C’est l’occasion de parler d’un sujet d’actualité : le fantasme du viol chez les femmes.

Une majorité de femmes rêve d’être violées

Je pense que la plupart de nos lecteurs sont dûment informés de l’ampleur de ce phénomène scientifiquement très bien documenté.

Sinon, voilà une séance de rattrapage.

Psychology Today :

Une équipe de psychologues dirigée par une femme a fait des découvertes surprenantes sur l’un des aspects les plus secrets du fantasme sexuel féminin.

Alors que presque tout le monde a des fantasmes sexuels, des recherches antérieures sur le sujet ont révélé qu’entre 31 et 62 % des femmes ont des fantasmes de viol. Être excité sexuellement par un tel scénario imaginaire représente un mystère psychologique. Pourquoi fantasmer sur un acte criminel qui, en réalité, est répugnant et déchirant ?

Pour étudier cette énigme au cœur des fantasmes érotiques féminins, une équipe de chercheurs de l’Université de North Texas et de l’Université de Notre Dame a étudié 355 jeunes femmes.

Une partie de la recherche a consisté à écouter aux participants un scénario de viol fantasmé afin d’étudier à quel point ils étaient excités.

D’après l’étude, publiée dans la revue scientifique Archives of Sexual Behaviour, les participants ont reçu l’instruction de fermer les yeux tout en écoutant et d’essayer de s’imaginer comme la femme décrite dans le récit. Ce scénario s’inspire d’histoires d’amour que l’on trouve généralement dans de nombreux romans d’amour féminins, de sorte qu’il dépeint un fantasme de viol érotique, plutôt qu’une représentation littérale d’une agression réelle.

C’était le scénario : une connaissance masculine est fortement attirée par le personnage féminin. Il exprime un désir ardent de coucher avec elle, mais elle est clairement insensible. Il tente sans succès de la convaincre. Quand elle continue à refuser ouvertement, il la domine et la viole.

Le personnage féminin est résistant tout au long de l’interaction et ne donne à aucun moment son consentement. Cependant, comme l’homme est attirant et qu’il fournit une stimulation érotique, elle ressent la satisfaction du sexe forcé. Le scénario met davantage l’accent sur le recours à la coercition que sur le plaisir sexuel.

Les résultats de l’étude (qui a également exploré d’autres fantasmes sexuels et agressifs, l’estime de soi, les attitudes à l’égard du sexe et d’autres tests de personnalité) indiquent que 52 % des femmes avaient des fantasmes de rapports sexuels forcés par un homme : 32 % avaient des fantasmes d’être violées par un homme : 28 % – rapports oraux forcés par un homme : 16 % – rapports anaux forcés : 24 % – handicapés : 17% – rapports sexuels forcés par une femme : 9% – violés par une femme : 9% – rapports oraux forcés par une femme. Dans l’ensemble, 62 % ont déclaré avoir eu au moins un de ces fantasmes.

L’équipe de chercheurs dirigée par le Dr Jenny Bivona, basée à l’Université du Nord Texas, a constaté que 62% des participants ont déclaré avoir un fantasme de viol d’un type quelconque.

Oui.

Ce que les traînées disent vouloir

Ce que les traînées veulent vraiment

Six femmes sur dix fantasment de se faire violer, consciemment et inconsciemment.

Ce n’est pas 2% ni 5,2%.

C’est plus de la moitié.

Parmi les femmes qui ont déclaré avoir le fantasme de viol le plus courant,  » être dominée ou forcée par un homme à se rendre sexuellement contre ma volonté « , 40 % l’avaient au moins une fois par mois et 20 % l’avaient au moins une fois par semaine « . Les auteurs concluent que ces résultats indiquent que les fantasmes de viol jouent un rôle important dans la vie sexuelle de nombreuses femmes.

Une constatation digne d’être mentionné est que les femmes qui ont déclaré se sentir sous pression sociale moindre vis-à-vis du sexe étaient plus susceptibles d’avoir des fantasmes de viol, mais étaient aussi plus ouvertes aux fantasmes en général, plus susceptibles d’avoir des fantasmes consensuels et plus susceptibles de signaler un niveau plus élevé d’excitation aux fantasmes de viol.

Il est intéressant de noter que les femmes qui ont déclaré avoir de fréquents fantasmes de viol étaient également susceptibles de déclarer avoir des fantasmes sur le fait de  » dominer ou de forcer un homme à se rendre sexuellement contre son gré « .

Fantasmer sur le fait d’être strip-teaseuse prédispose aussi à une tendance à fantasmer sur le viol. Un autre résultat intrigant est que les femmes qui indiquent avoir des fantasmes de viol sont plus susceptibles d’avoir une estime de soi élevée.

C’est logique.

Tout d’abord parce que le viol, depuis des temps immémoriaux, est le fait de mâles conquérants ayant subjugué une tribu avec pour premier butin les plus belles femmes des vaincus.

Le viol est indissociable du principe qui gouverne l’humanité : la guerre, seule source du droit et du fait selon lesquels le plus fort s’arroge ce qui est au plus faible. Qu’il s’agisse des terres ou de ce qui se trouve dessus.

Se faire violer signifie, pour le cerveau archaïque féminin, être subjuguée par les mâles victorieux, donc les plus puissants. Ceux dont les gènes sont de la meilleure valeur.

Les femelles réagissent partout de la même façon, à toutes les époques. Mais pas toujours pour le meilleur, génétiquement parlant.

Qu’une armée blanche raciste s’empare de la France demain matin et des queues de femmes hystériques se formeront aux abords des ministères pour avoir accès aux nouveaux maîtres du pays.

Saviez-vous que des femmes se rendaient aux concerts des idoles dominantes avec des godes déjà introduits ?

Je ne rigole pas, les équipes de sécurité des concerts connaissent ce truc.

En cas de viol, c’est toujours le mâle censé être le propriétaire de la femme violée qui est le premier en faute car il a échoué à veiller convenablement sur sa propriété. Voire à exercer son droit de propriété tout court. Pour les femmes cet échec n’en est pas un : elles sont toujours disponibles pour le plus fort, peu importe son identité.

Ceci dit, cela n’enlève rien au fait que certaines femmes se mettent sciemment en danger afin d’accroître les « chances » d’être conquises par des mâles agressifs et dominateurs. Si elles parviennent à se tailler, c’est que la surveillance est relâchée donc que les hommes de ce territoire sont faibles.

Dès que vous voyez une traînée aller dans des pays hostiles remplis de mâles basanés, c’est à ce scénario que vous faites face.

En plus, en 2019, le viol a remplacé l’adultère comme nouvelle frontière du désir. Il n’y a pas si longtemps en Occident, tromper son conjoint avait des conséquences socialement et matériellement désastreuses.

Aujourd’hui, beaucoup moins.

La seule chose qui a encore des conséquences graves pour un mâle vis-à-vis d’une femme, c’est le viol. De nombreuses femmes fantasment à l’idée que des mâles soient prêts à risquer gros pour les posséder. Inconsciemment, pour elles, cela veut dire que leur valeur justifie pour le mâle transgressif une telle mise en danger.

Il n’y a rien d’étonnant à ce que le fantasme du viol soit donc parallèle à l’estime de soi.

Les boudins se font rarement violer. Sauf par des nègres.

Après avoir dit ça, vous avez compris qu’il s’agit là de FANTASMES féminins avec le codicille associé.

Elles veulent se faire violer, certes, mais à la James Bond et par des mâles 10/10 dotés d’un compte en banque à 8 chiffres.

Ou, pour certaines, par des dealers afro-maghrébins.

Mais pas par un random blanc 6/10 un soir de cuite.

Et si d’aventure c’est le cas, elles ont désormais cet ultime joker : l’accusation de viol sur Facebook.

Dans cette dystopie juive démocratique, tout est conçu pour faire perdre l’homme blanc sur tous les tableaux jusqu’à éradication totale.

Pour en revenir au druide de Chartres, il a bel et bien été victime de traînées mythomanes qui rêvaient d’être violées mais qui n’ont été que baisées en toute connaissance de cause par un type charismatique qui se faisait payer pour ses services.

Quel vil coup de poignard dans le dos.

Ces traînées sont prêtes à tout.

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