Captain Harlock
Démocratie Participative
15 mai 2018
Les putes à migrants
Cette femme est comblée.
Moins d’un mois après la cérémonie, il frappe son épouse. « Une conception moyenâgeuse du couple », résume le procureur.
« J’étais très en colère », se défend le Chartrain de 42 ans, dans le box des comparutions immédiates du tribunal de Chartres : « Elle était partie pendant quatre jours. Et elle m’a menti ».
Mais il nie avoir frappé la femme qu’il a épousée un peu moins d’un mois auparavant : « Elle marque facilement. Elle a dû tomber toute seule ».
Pourtant, le soir du 6 mai, elle appelle au secours depuis sont balcon. Les voisins téléphonent à la police. À leur arrivée, l’homme leur ouvre la porte : « Tout va bien. Ne vous inquiétez pas ».
Mais elle est en pleurs dans l’appartement, et elle supplie les policiers d’entrer. Elle a des traces de coups au bras et sur le visage. Elle assure que son mari l’a frappée. D’ailleurs, l’homme semble éméché. Lorsqu’il s’aperçoit que la situation se gâte pour lui, il descend les escaliers quatre à quatre. Les policiers l’interpellent dans le hall.
Placé en garde à vue, il refuse de se soumettre à la vérification de son état alcoolique. Devant les juges, il explique qu’il connaît celle qui est devenue son épouse, depuis 2016 : « Cette femme, elle fout le bordel dans ma vie ».
« Dans ces conditions, pourquoi l’avez-vous épousée ? », interroge le juge. La réponse se trouve peut-être dans la situation administrative du prévenu. Il est arrivé en France en 2014 et il est en situation irrégulière. Il vivote de petits boulots au noir.
Pour une raison inexplicable, cette pute à migrant a voulu en appeler au patriarcat blanc pour la tirer de son idylle.
La législation devrait explicitement prévoir l’impossibilité de poursuites pour toute femelle blanche maquée avec un métèque, notamment musulman, au nom du respect de la charia.
C’est le minimum.