CHARIA BLANCHE TOUT DE SUITE : Kévin a été planté dans un guet-apens organisé par la traînée et son ex-métèque

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 juin 2018

Voilà un cas d’école de manipulation d’un mâle béta par une traînée.

Valeurs Actuelles :

La petite copine du jeune Kevin, 17 ans, mortellement poignardé une vingtaine de fois à Mourmelon-le-Grand dans la Marne, n’aurait pas supporté qu’il la quitte.

Selon des informations de France 3 Grand Est, Kevin serait tombé dans un piège fomenté par sa petite amie après qu’il lui a dit vouloir se séparer d’elle. Très amoureuse, elle n’aurait pas supporté cette éventualité et aurait manipulé le principal suspect en accusant Kevin d’agressions, voire de viol sur sa personne. Celui-ci, ancien petit ami de la jeune fille selon Le Parisien, se serait exécuté.

Les deux adolescents sont passés à l’acte samedi 2 juin dans l’après-midi, dans un parc du centre-ville de Mourmelon-le-Grand, une bourgade de 5 000 habitants située entre Reims (Marne) et Châlons-en-Champagne. Entendu par les enquêteurs depuis le lundi 4 juin, l’agresseur présumé, âgé de 17 ans (comme la jeune fille et Kévin) est passé aux aveux ce mercredi 6 juin.

Que le mâle béta en question soit un métèque ajoute du contraste à ce tableau.

Ce qui garantit la supériorité de l’homme sur la femme, plus encore que la rationalité, c’est la force physique. Les femmes redoutent toujours la force physique des hommes qui constitue pour elles une menace latente. Les femmes doivent constamment manoeuvrer pour dissuader l’homme de recourir à sa supériorité physique pour imposer ses choix.

L’hypergamie des femmes est hautement destructrice

Pour circonvenir les hommes et les amener à satisfaire leurs désirs plutôt que les leurs, les femmes utilisent la séduction, c’est-à-dire un accès potentiel au sexe. Pour renforcer leur propre valeur relative et donc leur capacité à intéresser des partenaires, elles suscitent volontiers la compétition entre les mâles qui voient en elles un moyen d’affirmer un statut vis-à-vis des autres hommes.

Les femmes ne considèrent avec intérêt qu’environ 20% des hommes. Elles cherchent donc à déterminer lesquels appartiennent à ces 20%.

Les femmes sont particulièrement excitées à l’idée de voir des hommes s’affronter pour elles car c’est le moyen le plus simple et direct pour mesurer lequel des compétiteurs est le plus fort physiquement et psychologiquement tout en sachant que cette force n’est pas utilisée contre elles mais pour elles.

Dans une société patriarcale où la femme est la propriété de l’homme, ces rapports hautement destructeurs socialement sont jugulés par l’institution du mariage, la sujétion de la femme à l’homme au plan légal qui reste à ce titre une éternelle enfant. Dans une société où les femmes sont libérées de la tutelle de l’homme – autrement dit, une société dans laquelle le marché sexuel est dérégulé – l’hypergamie féminine est totalement débridée.

Des masses énormes d’hommes sont laissés sur le carreau.

C’est pourquoi il a été démontré que les sociétés polygames – où les femmes sont la propriété d’un nombre plus réduit d’hommes – sont très exposées aux guerres civiles, en raison de la privation d’option reproductive pour de nombreux jeunes mâles. Ce qui explique notamment l’ultra-violence islamique et la compensation de ces perdants sexuels avec un paradis imaginaire où les attendraient 72 vierges.

Il a été tout aussi démontré que les femmes de moins de 50 ans sont nettement plus xénophiles que les hommes du même âge : pour elles, l’envahisseur est une option sexuelle nouvelle qui renforce la compétition entre les mâles et accroît la valeur sexuelle relative des femmes, en plus d’intensifier le darwinisme racial.

Les femmes de moins de 50 ans redoutent moins une invasion car elles peuvent se ménager une porte de sortie reproductive avec les vainqueurs. Ce n’est pas surprenant si, passé 50 ans, elles rejoignent brutalement les hommes dans leur tendance xénophobe : elles savent qu’elles seront éliminées comme les hommes de leur race.

Pour restaurer l’ordre social : la CHARIA BLANCHE

L’homme, contrairement à l’idée véhiculée généralement, est le grand perdant de la légalisation de l’hypergamie féminine entraînée par l’abolition du patriarcat, la démocratisation du divorce, la féminisation du monde du travail.

Elle génère des hommes frustrés sexuellement en énormes quantités qui sont prêts à se plier à tous les caprices des femmes pour mendier du sexe. Ce que les traînées ne font jamais, sachant pertinemment que des hommes qui cèdent de la sorte sont, par définition, des perdants sexuels.

La seule option face au cynisme sexuel de ces femelles libérées sexuellement par les juifs, à tous les niveaux, est simple : la CHARIA BLANCHE.

Et le premier principe de la CHARIA BLANCHE est celui-ci : la femme est la propriété légale de l’homme. Elle ne peut rien posséder en propre, ni voter. C’est l’homme qui assume ces responsabilités, à vie.