Captain Harlock
Démocratie Participative
10 juin 2018
Nous devons évoquer d’un sujet particulièrement problématique. Je veux parler du deux poids deux mesures qui ronge nos milieux dès lors qu’il s’agit des juifs.
Ici, à Démocratie Participative, nous avons adopté une grille de lecture très simple : nous partons du principe que nous affrontons le sémitisme dont la juiverie et l’islam sont les deux facettes d’une même médaille.
Le sémitisme est un et indivisible et il est notre ennemi
Je dois dire que les travaux d’exégèse coranique qui foisonnent dans nos milieux me fatiguent d’autant plus qu’ils trahissent une conception platonicienne du problème musulman. Vous avez ces gens qui lisent et relisent le coran pour essayer de trouver l’explication définitive du problème crouille. Comme si l’islam avait existé avant les arabes et qu’il stagnait dans l’éther de toute éternité avant de finalement se matérialiser, d’un bloc. Comme si on pouvait découpler la race et ses déterminismes ethno-culturels du système que l’on appelle l’islam.
Ces gens-là, en fait, pensent l’islam comme des Occidentaux, en termes purement rationnels, au lieu de le prendre pour ce qu’il est vraiment : le plus petit dénominateur commun de la prédation sémitique érigé en code civil.
Les gens qui s’adonnent à ce genre de trucs ont généralement le même profil : des bourgeois qui lisent trop. L’homme de bon sens n’a pas besoin de lire le coran. Il lui suffit d’interagir avec des bougnoules pour comprendre ce qu’est l’esprit collectif sémitique que l’on appelle l’islam. Une seule journée dans les quartiers nord de Marseille permet infiniment mieux de comprendre l’islam que dix ans d’études coraniques.
Cette tendance à l’intellectualisme qui prévaut chez ces bourgeois permet à des métèques de détourner l’attention de leur propre cas. Pire, de nous empoisonner.
Prenez ce bougnoule de Karim Ouchikh. Récemment, il était à Paris avec le pédé Renaud Camus pour soutenir Tommy Robinson.
Je soutiens bien sûr Robinson parce qu’il a défendu des gamines blanches violées en masse, depuis des décennies, par des animaux du Pakistan. Le problème n’est pas là.
Le problème, c’est ce qui pousse tout ce fatras d’invertis, de métèques fraîchement débarqués et autres féministes à tenter de nous convaincre que ce qui se passe est un truc exclusivement religieux.
Et dès lors que l’équation est posée en ces termes, on voit l’éternel problème rejaillir devant nos yeux.
Le #SIEL est le parti de droite populaire, identitaire et européenne qui conjugue le combat résolu pour le réarmement moral, spirituel et culturel de la France avec le refus absolu de toutes formes d’antisemitisme, de racisme ou d’ostracisme.
Le SIEL, le parti qui monte… pic.twitter.com/rEWHNrFpQH— Karim Ouchikh (@OuchikhKarim) 29 avril 2018
Tout d’abord, soyons sérieux : depuis quand un bougnoule peut prétendre à quoi que ce soit en Europe, a fortiori dans le mouvement ? Le seul fait que cette tendance génère de pareilles choses devrait être, pour chacun de nous, un signal d’alarme.
Tous ces parasites ont bien compris que toute restauration de l’ordre social sur une base autoritaire se traduirait par leur disparition. Que ce soit par l’islam ou par la résistance blanche.
Le mortier de cette coalition progressiste-islamophobe est le juif. Et les intérêts du juif sont diamétralement opposés aux intérêts de l’aryanité européenne.
L’action de cette coalition de parasites et de dégénérés consiste donc à circonvenir la réaction blanche pour qu’elle conforte son parasitisme au lieu de l’anéantir. Quoi de surprenant puisqu’il est dans la nature du parasite de tenter de systématiquement subordonner l’humanité européenne à ses propres intérêts ?
Tant que des bougnoules comme Ouchikh seront admis à parler au nom de l’Aryen, le débat sera invariablement dénaturé par des métèques de son acabit pour prévenir tout réveil raciste de la part du peuple.
Et cela sera toujours exploité par le juif. Toujours.
L’hypocrisie des « identitaires » qui rampent devant les juifs
J’en viens maintenant au fond de mon propos.
A cause de l’action hautement destructrice de ces éléments infiltrés, nous assistons à des manifestations de soutien à Tommy Robinson mais nous n’entendons strictement rien, de la part des mêmes, sur les peines de prison prononcées contre Hervé Ryssen.
Pourquoi entendons-nous parler de Tommy Robinson mais pas de Monica Schaeffer, de Ursula Haverbeck, de Alison Chabloz ?
Parce que ces gens sont liés aux juifs pour qui la préservation du système de pillage qu’est la démocratie est une question de vie ou de mort.
Ryssen a été condamné sur la base de l’action du juif Goldnadel, likoudnik illustrant caricaturalement l’opportunisme sémitique, celui-là même qui relaie dans le même temps tous les « nègres patriotes », arabes homosexuels redoutant la charia et Blanches incultes susceptibles de servir d’auxiliaires à la juiverie organisée.
Choisissez-vous le Likoud ou le patriote Ryssen ?
La réponse est évidente, quand on est soi-même un authentique patriote.
Vous pensez sérieusement que des gens qui rampent devant ces juifs et acceptent de se laisser caporaliser aux côtés d’auxiliaires nègres nous libéreront du système judéo-démocratique qui nous oppresse ?
Si oui, préparez-vous à tomber de haut.
?On apprend par l’intéressé qu’Alain #Soral, est désormais interdit de chaîne YouTube. Condamné par la justice, c’est désormais tous les réseaux sociaux (Facebook, Instagram et YouTube) qui interdisent le blogueur antisemite. pic.twitter.com/WWWcYOQD7d
— La France Libre (@lafrancelibretv) 5 juin 2018
Le juif poursuit son éternelle politique de la balance. Il ne se connaît qu’un seul intérêt : le sien.
Le juif a simplement besoin d’intimider les islamistes qui seraient tentés de vouloir le déborder. Mais à la minute où l’homme blanc relèvera la tête, vous le verrez opérer un virage en sens inverse et il aura le front de vous répondre, si vous l’interrogez sur ce brusque revirement, qu’il a toujours adopté cette position et qu’il ne comprend pas de quoi vous lui parlez.
Nous devons cesser, dans le mouvement, de nous positionner par rapport à la pourriture sémitique, hébraïque ou mahométane. Nous devons réfléchir en maîtres, pas en esclaves. Il n’y aura pas de libération tant que nous ne nous serons pas émancipés psychologiquement de cette engeance.
Ce qui suppose de ne plus tolérer les lâches qui abandonnent les nôtres à leur sort de crainte de subir les assauts de la juiverie.
C’est la seule position possible et la seule cohérente.
Inversement, il n’est plus possible d’entendre, dans nos milieux, quelque forme que ce soit de tergiversations quant à la nécessité d’éradiquer l’islam en Europe.