Captain Harlock
Démocratie Participative
06 août 2018
Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il reste encore quelques éléments non infectés par le poison de la démocratie juive en Espagne.
Alors que Ceuta était prise d’assaut par des hordes de nègres sidaïques, le 2ème Tercio de la Légion étrangère espagnole « Duc d’Alba » – dont la caserne se situe dans le même secteur – s’est révolté et a exigé de Madrid d’être déployé à la frontière afin d’ouvrir le feu sur la vermine qui s’infiltrait dans le pays avec l’appui du gouvernement socialiste.
De ce qu’il ressort dans la presse espagnole, cette unité voulait marcher contre l’envahisseur nègre. Plusieurs soldats ont été arrêtés par les autorités. Les officiers de cette unité n’ont pas de mots assez durs contre la vérole socialo-marxiste qui contrôle le gouvernement central et laisse, à dessein, la vermine islamo-nègre pénétrer.
Nous savons que ce gouvernement communiste est financé par le juif Soros, ce qui explique l’accord avec Macron pour faire du pays la nouvelle porte d’entrée pour l’invasion arabo-nègre en Europe en lieu et place de l’Italie.
Nous ne sommes pas encore en 1936, mais l’Espagne est virtuellement ruinée, saignée à blanc par des décennies de pillage sémitique avec l’aide de politiciens démocrates corrompus. Sanchez, à peine premier ministre, a immédiatement évoqué l’idée de démanteler la frontière avec le Maroc.
Le nouveau ministre espagnol de l’Intérieur a assuré ce jeudi qu’il ferait « tout son possible »pour que soient retirés les barbelés des clôtures des enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla qui causent aux migrants des blessures pouvant être mortelles.
« C’est l’une de mes priorités : qu’il y ait un rapport pour qu’on puisse adopter d’autres mesures », a déclaré Fernando Grande-Marlaska à la radio Cope.
« Je ferai tout ce qui est possible pour que les barbelés des barrières de Ceuta et Melilla puissent être retirés », a ajouté le nouveau ministre du gouvernement du socialiste Pedro Sanchez.
Ce n’est bien sûr pas son idée, mais celle de la juiverie internationale.
Cette invasion orchestrée semble viser à constituer une cinquième colonne dans le pays afin d’appuyer les communistes le moment venu, au moins pour accentuer l’anarchie dans le pays si d’aventure la résistance populaire à la tyrannie financière juive devait s’amplifier.
Quoi qu’il en soit, cette réaction instinctive d’une unité d’élite comme la Légion étrangère, la même qui marcha contre les égorgeurs socialo-communistes en 1936, est un signe particulièrement positif.