La rédaction
Démocratie Participative
28 avril 2023
Marie Gentric est la Madame traînée de BFMTV. En cette qualité, elle mène la guerre vaginale contre l’homme blanc et ses droits de propriété légitime sur le corps féminin grâce à une amplification infinie des shit tests du moment.
Le dernier de ces shit tests est de laisser ses tétons apparents et d’accuser les hommes qui les voient de « sexualiser » les garces.
Beaucoup de femmes laissent tomber le soutien-gorge… mais restent mal à l’aise à l’idée que l’on puisse discerner leurs tétons. Pour 20% des Français, apercevoir le téton est une circonstance atténuante pour l’agresseur en cas d’agression sexuelle @BFMTV pic.twitter.com/LzGWCwdggO
— Marie Gentric (@MarieGentric) April 28, 2023
Ces sorcières veulent vous donc montrer leurs seins tout en vous culpabilisant de les voir.
D’ailleurs ils emploient de véritables sorcières, qui sont rousses avec des ongles noirs comme chacun sait.
« C’était un enfer, j’avais l’impression que je n’existais plus, que le travail que je faisais n’existait pas, que tout était centré que sur ces deux choses… les gens ne vous regardent pas dans les yeux ! »
Avec ses shit tests, une femme essaie d’imposer son paradigme hypergame à un homme en le testant sur ses limites d’acceptation. Une femme n’arrête jamais de tester, c’est un processus psychologique permanent.
L’attitude qui consiste à montrer ou mettre en valeur les parties du corps féminin liés à la sexualité et à la séduction physique tout en accusant les hommes d’y réagir est apparemment contradictoire, mais c’est cohérent.
Les femmes ne se plaignent pas d’être « sexualisées ». Elles savent pertinemment que leur apparence est primordiale dans le mécanisme de sélection des partenaires sexuels. Elles savent qu’une belle paire de seins maximalise les chances de trouver un homme de valeur, tout comme avoir des jambes longues ou de belles fesses. Si elles passent autant de temps dans la salle de bain ou dans les magasins de fringues, ce n’est pas pour tuer le temps même si c’est un mécanisme largement automatisé chez les femmes.
Les femmes se plaignent d’être sexualisées par les mauvais mecs, c’est-à-dire tous ceux qui ne correspondent pas à leurs critères de sélection. Cette traînée veut imposer son cadre hypergame aux hommes en faisant taire ceux d’entre eux qui ne sont pas concernés par sa stratégie d’appât. Banaliser cet hameçonnage est le moyen d’y parvenir en inversant l’accusation : ce n’est pas la femme qui appâte la responsable de la dynamique sexuelle, c’est l’homme qui y cède – s’il ne passe pas la barre de sélection.
Ce dont se plaint plus spécifiquement cette garce, c’est de ne pas pouvoir hameçonner sans passer pour une allumeuse – donc une pute aisément accessible, ce qui est universellement dépréciatif sur le marché sexuel. Elle veut pousser à fond son hypergamie sans être rappelée à l’ordre par les hommes qui voudraient la limiter, quitte à la déprécier si elle persiste à signaler qu’elle est disponible sexuellement en exhibant ses tétons (ou n’importe quoi d’autre).
Évidemment si un 10/10 regarde ses seins, cette sorcière ne s’en plaindra pas. Ce qu’elle exige, c’est que les mâles qui ne l’intéressent pas la laisse multiplier autant d’approches que possible en direction des autres mecs qui l’intéressent, surtout sur son lieu de travail ou elle peut évaluer facilement les mâles dominants socialement sans se faire cataloguer ultérieurement de pute dans les discussions entre mecs – le plus sûr moyen de perdre les opportunités sexuelles.
Le projet consiste à rééduquer les hommes pour qu’ils acceptent les nouvelles règles du jeu hypergame fixées par les féministes.
Les putes.
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