Démocratie Participative 卐 Le site le plus censuré d'Europe 卐
Captain Harlock
Démocratie Participative
26 octobre 2018
C’est une opportunité populiste de première catégorie. Nous devons très activement encourager le plus grand nombre possible de gens à s’engager dans cette confrontation contre la kleptocratie judéo-communiste le 17 novembre.
La colère monte chez les automobilistes et les professionnels du transport. Après la mise en ligne de plusieurs pétitions pour dénoncer la hausse des prix des carburants, c’est désormais l’heure des appels à manifester. Sur les réseaux sociaux, une grosse manifestation se prépare pour le samedi 17 novembre prochain. Prévu à Paris, l’événement Facebook « Blocage national contre la hausse du carburant » intéresse déjà près de 200.000 personnes. De nombreux autres événements se préparent un peu partout en France. Objectif : obtenir un geste du gouvernement.
« On veut simplement montrer notre mécontentement : on découvre une nouvelle taxe tous les jours, il faut arrêter. Nous ne sommes pas des vaches à lait », explique Virginie, l’une des automobilistes à l’origine du mouvement, à L’Express.
Rappelons que les prix des carburants, qui dépendent à près de 60% des taxes de l’Etat, ont explosé ces derniers mois. En l’espace d’un an, les tarifs à la pompe ont flambé de 23% pour le diesel et de 14% pour l’essence. Le mécontentement des automobilistes se cristallise sur les hausses de la fiscalité de 7 centimes sur le diesel et 4 centimes sur l’essence en 2018.
A compter du 1er janvier prochain viendront se greffer les nouvelles taxes, dont on saura ces jours-ci si les députés les adoptent ou pas (+6,5 centimes pour le gazole et +2,9 pour les super).
Cet état soviétique aux mains des juifs est en faillite virtuelle. Les programmes sociaux, retraites comprises, ne sont ni financées ni finançables. La coalition que nous affrontons entend coûte que coûte saigner à blanc l’homme aryen actif entre 20 et 60 ans.
Avec la menace de l’appréciation du dollar, la dette souveraine des états européens souscrites auprès des banques juives est sur le point d’exploser.
Vous allez voir tous ces boomers de la fonction publique se retourner contre leurs maîtres juifs parce que le cash promis n’est pas au rendez-vous.
La seule option à la disposition des juifs pour que cette pyramide de Ponzi n’explose pas tout de suite consiste à accroître le pillage fiscal à des niveaux jamais vus.
J’aimerais pouvoir dire que la plèbe est prête à s’insurger contre l’invasion islamique, mais c’est faux. En revanche, si vous privez le peuple de ses vacances ou que vous lui ponctionnez 100 euros de plus sur sa note de carburant, les candidats à la révolution se multiplient.
« – Ton père est une ordure, il m’avait promis des vacances au ski
– Je sais, j’avais prévu d’inviter Boubakar »
Cette pression fiscale tape sur les nerfs d’un nombre énorme de gars déjà totalement sous pression au quotidien. Par exemple, le type qui fume – malgré le fait qu’il paye ainsi les gauchistes pour héberger des migrants – devient extrêmement nerveux parce que sa nana compte littéralement ses clopes.
« Putain Eric, tu me fatigues, t’as vu combien de clopes t’as encore fumé ? Tu crois qu’on a autant d’argent à claquer dans ces conneries »
Donc, tout le monde devient de plus en plus nerveux parce que les derniers moyens de lâcher la pression dans cette dystopie juive deviennent le point de fixation du stress qu’ils sont censés évacuer.
Surtout dans cet asile juif à ciel ouvert qu’est la France où vous avez des nègres volants reçus à l’Elysée parce que quelque chose.
Et les Nazis dans tout ça ?
Ce qui fait de notre grille d’analyse la plus pertinente, c’est que nous comprenons l’interaction entre les paradigmes raciaux et sociaux. Vous avez ces économistes juifs marxistes ou libéraux qui divertissent le goy dans des débats interminables entre rabbins.
Cette démultiplication des nègres et des arabes, qui aurait été absolument incompréhensible à n’importe quel tourneur-fraiseur communiste en 1970, a été rendue possible par les énormes prêts souscrits par cette démocratie auprès des banques juives, pour se survivre.
Car la démocratie est un cancer juif qui pour exister doit ronger toujours plus ce que d’autres ont créé avant elle.
Je ne sais pas si j’ai jamais abordé cette question ici, mais la première chose qu’un gouvernement social-raciste devrait mettre en place est l’abandon de cette idée absurde de l’endettement de l’Etat auprès des banques juives. Un état doit émettre la masse monétaire dont il a besoin sur une base annuelle grâce à sa banque centrale.
Si nous n’avions pas eu cette république juive, la masse de l’endettement serait de 70% inférieure.
Quoi qu’il en soit, cette démocratie hébraïque qui repose sur l’épargne des boomers est dans une situation critique.
La plèbe n’entendra jamais rien qui soit rationnel et élaboré. En revanche, elle comprend parfaitement que le fisc est une organisation criminelle.
Mais c’est à nous de faire en sorte qu’elle comprenne qu’il s’agisse d’un pillage juif.
Nous pourrions mettre au point un visuel en noir et blanc, facile à imprimer, mettant en image ce pillage juif dont Goldman Sachs, Soros et leur larbin Macron sont les plus belles incarnations.
Ce 17 novembre doit vraiment être une occasion d’enflammer la masse contre le pillage sémitique.
Plus la mobilisation populaire sera forte, plus l’accroissement du racket étatique juif appliqué par Macron déstabilisera le gouvernement.
Et le peuple veut des coupables : notre tâche, dans les années qui viennent, consiste à fournir ces coupables.
