La rédaction
Démocratie Participative
03 juin 2022
Très grosse surprise actuellement dans les médias : importer 12 millions de musulmans en France aurait une influence sur la société française.
Je ne sais pas exactement si c’est le cas, il faudrait faire de très nombreuses études, si possible par des sociologues d’ultra gauche (c’est pareil). En tout cas, ils disent que oui.
Le nouveau ministre de l’Education nationale accompagne ce jeudi le président de la République à Marseille. Outre la crise des recrutements, aiguë, Pap Ndiaye pourrait rapidement être confronté à la question lancinante des atteintes à la laïcité.
Des abayas et kamis ont fait leur apparition ces derniers mois aux portes de plusieurs lycées. Les élèves, garçons ou filles, revendiquent le port de ces tenues islamiques – longues robes amples, parfois assorties d’une capuche, ou tuniques masculines tombant jusqu’aux pieds, souvent portées par les musulmans adeptes d’un wahhabisme rigoriste – qu’ils qualifient de « culturelles ». Des établissements mettent leur veto, d’autres hésitent sur l’attitude à adopter. Plusieurs académies, à des degrés divers, sont concernées.
La France est un pays musulman, mais encore trop de colons (les Blancs donc) ne connaissent pas la culture de leur pays d’accueil.
Voilà une abaya.
Et voilà un kamis.
Faites un effort.
Cette boomeuse blanche le confirme : c’est une fixette coloniale de sales Blancs qui croient que la France est leur pays.
Pour cette ancienne directrice d’école, la question des tenues islamiques est une « fixette coloniale » pic.twitter.com/qouoeGDTb0
— BFMTV (@BFMTV) June 2, 2022
Réveillez-vous.
Le phénomène a récemment pris de l’ampleur, laissant penser qu’il s’agit, si ce n’est d’une opération concertée, du moins d’un prosélytisme affirmé. Des « défis » sont même apparus sur les réseaux sociaux, incitant les jeunes à tester leur lycée. Selon les informations de l’Opinion, les renseignements territoriaux ont alerté le ministère de l’Intérieur, comme les rectorats l’ont fait pour l’Education nationale. Le dossier va vite être soumis à Pap Ndiaye et pourrait servir d’examen de passage au nouveau ministre quant à sa fermeté sur les atteintes à la laïcité.
A Grenoble, deux jeunes filles ont été rappelées à l’ordre mi-mai. La direction du lycée Mounier a ensuite envoyé aux parents d’élèves un mail, cité par le Dauphiné libéré, rappelant que « les tenues non adaptées (claquettes, les tenues de plage ainsi que les tuniques longues considérées comme un signe ostentatoire religieux) ne sont pas acceptées ». Dès le lendemain, les abayas étaient plus nombreuses à l’entrée, puis une pétition « contre les discriminations faites aux lycéennes » mise en ligne sur le site change.org. Ces incidents ont eu lieu la semaine où la majorité d’Eric Piolle (EELV) votait l’autorisation du burkini dans les piscines municipales.
«Hausse significative». Dans l’Aisne, des familles ont eu la surprise de voir des garçons en kamis le jour de la fête de l’Aïd ; d’autres, dans l’Oise, dénoncent une « épidémie» de port du voile. Les régions de Bordeaux, Clermont-Ferrand, la banlieue francilienne comme Paris intra muros sont aussi concernées. Parfois, les élèves retirent leur voile-capuche à l’entrée pour mieux le rabattre dans la cour ou dans les couloirs, tandis que les surveillants s’évertuent à faire respecter le règlement. Quand quelques lycéennes se voient priées de rentrer chez elles, c’est parfois un groupe de 10 ou 15 qui se présente le lendemain. Dans la capitale, « une hausse significative du port de tenues vestimentaires ostensiblement religieuses » a été constatée « depuis quelques semaines », indique le rectorat à l’Opinion.
Encore une fois, à La Mecque, fais comme les musulmans.
Si vivre en France dérange les infidèles que sont les sales gwers, la porte est ouverte.
Interrogée, l’Education nationale refuse de communiquer tout chiffre, ce qui n’empêche pas ses directions de l’enseignement scolaire et des affaires juridiques d’être saisies. « Cette recrudescence est une réalité. Le Conseil des sages de la laïcité réfléchit à la manière d’y répondre », indique Alain Seksig, secrétaire général de cette instance mise en place par Jean-Michel Blanquer. Le vade-mecum rédigé par le Conseil rappelle d’ailleurs que, s’appuyant sur la loi de 2004 sur les signes religieux ostensibles, le Conseil d’Etat a interdit en 2007 « les signes et tenues dont le port ne manifeste une appartenance religieuse qu’en raison du comportement de l’élève ». Une jurisprudence qui s’appliquerait aux abayas ou kamis.
« Le conseil des sages de la laïcité »
Qu’est-ce que c’est que ce truc ? De vieux juifs qui se rassemblent pour palabrer sur fonds publics comme ils le font d’ordinaire autour du talmud ?
Et ils vont dire quoi aux jeunes moudjahidines ? Qu’ils seront collés ?
«Cavaliers de la fierté». Les débats peuvent être infinis sur la signification d’une tenue, l’attitude d’un élève, son degré de prosélytisme. A Grenoble, les élèves ont dénoncé une « stigmatisation » quand la référente laïcité tentait, elle, d’expliquer que ce n’était pas l’abaya qui était en cause mais la manière de la porter et, surtout, le refus de l’enlever. Le dossier est suivi avec d’autant plus d’attention qu’en 2011, une « affaire de longues robes » à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), avait provoqué une polémique. Quelques lycéennes drapées dans des tenues sombres avaient fait des émules au lycée Auguste-Blanqui, aussitôt soutenues par deux groupuscules fondamentalistes, Forsane Alizza ( « Les Cavaliers de la fierté ») et le Collectif cheikh Yassine (CCY), dissous administrativement depuis.
Le second avait été créé en 2004 par Abdelhakim Sefrioui. L’homme avait, plus tard, été identifié par la proviseure du lycée Blanqui comme « l’oncle » venu défendre avec véhémence les élèves en cause. En 2019, après un cours sur la laïcité et la présentation de caricatures de Mahomet dans un collège des Yvelines, Abdelhakim Sefrioui faisait un scandale auprès de la direction. L’enseignant visé s’appelait Samuel Paty. Soupçonné d’avoir participé à l’engrenage mortel ayant conduit à l’attentat, l’islamiste est aujourd’hui incarcéré, mis en examen pour complicité d’assassinat.
Évidemment, la France s’islamise démographiquement, donc elle s’islamise culturellement.
C’est logique, je veux dire. Mais cette évidence vient à peine d’être découverte, après 60 ans d’immigration afro-islamique.
Toutefois, je nourris des soupçons. Je ne crois pas que les mahométans soient plus prosélytes qu’avant, ou moins. J’ai le sentiment qu’il s’agit d’un piège politico-médiatique orchestré par la racaille judéo-laïcarde qui contrôle certaines structures de l’Éducation Nationale, associations de parents d’élèves, syndicats, etc., autant de purs et durs de l’athéisme maçonnique instrumentalisés par les juifs.
Il leur suffit de dire qu’ils « constatent » des troubles pour mettre la pression à leur véritable cible : Pap Ndiaye, le wokiste de Boko Haram.
Ils veulent le bloquer d’entrée de jeu pour empêcher que le laïcardisme juif ne soit rétamé par l’islam dans les écoles de France et de Navarre.
Cela pourrait marcher avec un pauvre Blanc, même de gauche. Avec un racisé, les chances sont nulles. Contrairement aux Blancs, les racisés sont ultra nationalistes et totalement déterminés à établir leur suprématie sur la France.
Leur soif de revanche raciale est illimitée, tout particulièrement lorsqu’ils sont musulmans. Autrement dit, contrairement aux mollusques blancs qui rampent devant leurs femmes, les allogènes veulent le pouvoir et dominer.
Ndiaye va louvoyer, faire mine d’écouter de vieux Blancs séniles en montrant ses plus belles dents blanches avec ses grosses narines rigolotes, et patiemment placer ses officiers afro-maghrébins partout. Macron le sait et le soutiendra à 300%, tout en lui recommandant de donner le change avec des phrases apaisantes et des symboles pour couillons. Poser une plaque Jules Ferry sur un collège peuplé de cafres, quelque chose du genre.
Je maintiens ma confiance dans Ndiaye et sa capacité à poser les bases de la guerre raciale généralisée.