C’est officiel : les Français ont maintenant besoin des nègres pour faire de la cuisine française

Captain Harlock
Démocratie Participative
08 août 2018

 

Vous l’avez nécessairement remarqué : les médias juifs ont lancé une offensive en faveur des migrants clandestins. Les juifs nous assurent en effet que les Français ne sont plus foutus de cuisiner et doivent donc recruter des gens disposant de l’expertise nécessaire : les nègres.

Cela tombe sous le sens.

Le peuple croit bien sûr tout ce qui est écrit. Il ne s’interroge jamais sur ses affirmations péremptoires qui, en quelques heures, saturent soudainement toutes les ondes et les journaux de France et de Navarre.

Cette histoire est absurde en elle-même. Il y a des millions de chômeurs en France dont une énorme part de métèques. Visiblement, la bourgeoisie enjuivée qui veut ouvrir encore davantage les frontières n’a jamais réussi à en faire quoique ce soit.

Mais comme par magie, on nous assure que ceux qui ne sont pas encore là seront différents.

Quand la presse juive agite cette histoire de restaurants, c’est pour légitimer les flots énormes de nègres qui se bousculent aux frontières italiennes et bientôt espagnoles.

 Ces juifs dépeignent en un tournemain des millions de Bocuse, de Ducasse ou de Robuchon se languissant dans l’attente de pouvoir commencer à ouvrir des restaurants trois étoiles.

Cette presse juive trouve bien sûr des patrons prêts à toutes les bassesses pour remplir leurs caisses.

France Info :

J’ai coutume de dire que, quand bien même ce serait rentable pour une entreprise – et c’est là une hypothèse volontairement fausse puisqu’elle ignore le coût racial, sécuritaire, culturel et économique à court, moyen et long terme d’une telle politique – cette entreprise ne devrait à aucun prix y recourir.

Plus encore : quand bien même l’économie d’un état devait en souffrir, cette interdiction devrait être absolue. Si nous devions avoir le niveau de développement économique du Cambodge comme prix à payer pour nous préserver de l’empoisonnement biologique qu’est le sang nègre, l’hésitation ne serait même pas permise.

Mais nous n’avons même pas besoin d’envisager de telles extrémités : c’est précisément l’inverse. Plus nous nous protégeons de cette pollution raciale, mieux l’économie se porte.

Contrairement à ce que proclament les cervelles hébraïques ou sémitisées, les nations ne sont pas de simples plateformes de services où le capital peut dicter, pour des questions de profits égoïstes, la négrification ou l’islamisation du pays concerné dont l’impact sera payé par les générations ultérieures.

L’économie d’une nation ne tient qu’en une chose : le potentiel génétique de son peuple. Seul un esprit hébraïque peut raisonner en termes de profits mensuels et appeler à détruire ce potentiel pour quelques bénéfices avant de trouver une nouvelle victime à saigner à blanc.

La politique économique aryenne place l’économie au service de la communauté là où la politique économique sémitique place l’économie au service de la spéculation de court-terme juive.

Quiconque subordonne les intérêts de la communauté raciale à l’économie est soit un juif, soit un enjuivé.