Captain Harlock
Démocratie Participative
25 novembre 2019
Une étude américaine révèle dans le détail ce que nous savions déjà à savoir que les Blancs de gauche sont atteints d’une pathologie exceptionnelle : la haine de leur propre groupe racial.
Inversement, les noirs sont ceux qui aiment le plus leur race.
C’est une information cruciale car la gauche blanche n’exprime que rarement sa haine explicite de la race blanche. Elle passe toujours par des chemins détournés, à commencer par la lutte contre « le racisme », « les discriminations », etc., bref, la préférence étrangère et la xénophilie.
Mais c’est bel et bien son principal moteur psychologique : une pulsion suicidaire et meurtrière contre les Blancs en tant que tels.
Ce qui vaut pour la gauche blanche américaine vaut évidemment pour son homologue française. Surtout médiatique grâce aux juifs.
Comme la plupart des théories grotesques dans le genre , l’histoire des statues grecques racistes est apparue dans les facs américaines. A débarqué quelques mois plus tard en Europe via Arte. https://t.co/9Ds2wVkxTb
— Pierre Sautarel (@FrDesouche) November 20, 2019
Nous ne soulignons pas assez à quel point les gauchistes blancs sont des malades mentaux qui ont une très faible estime d’eux-mêmes.
Mais surtout qui ont une estime encore plus faible des Blancs qui ne partagent pas leur haine pathologique de soi.
Ce qu’ils appellent « les fachos » et « les racistes ».
Un autre élément intéressant est l’absence totale chez les Blancs d’un sens de l’intérêt commun, contrairement à tous les autres groupes raciaux.
Interrogés sur la future mise en minorité des Blancs aux Etats-Unis, les Blancs répondent très majoritairement qu’ils s’en foutent. A droite par exemple, ils sont 56% à s’en battre les reins.
Les Blancs de gauche en revanche estiment majoritairement (53%) que cela va « renforcer le pays ».
C’est conforme à la logique gauchiste : plus les Blancs disparaissent, mieux c’est.
Du moins, c’est leur croyance profonde.
C’est ce que j’ai toujours pensé : les non-Blancs, aussi nombreux soient-ils, ne sont pas un problème insurmontable en pratique. Le problème, c’est le bordel que sèment dans les cervelles blanches les néo-communistes et les juifs déguisés en Blancs.