Captain Harlock
Démocratie Participative
22 mai 2019
On dirait que la population locale était sceptique quant au projet catholique d’émancipation des femmes dans la région.
Membre de la communauté des Filles de Jésus, dont le berceau se trouve dans le Tarn, sœur Inès Nieves Sancho pourrait avoir été victime d’un crime ésotérique parce que blanche.
Le Vatican annonce ce mercredi qu’une religieuse franco-espagnole de 77 ans a été assassinée en Centrafrique il y a deux jours.
Selon le Vatican, sœur Inès Nieves Sancho a été retrouvée morte lundi matin dans le village de Nola, une commune située dans le diocèse de Berberati, à l’ouest du pays, où elle tenait une école de couture pour aider à l’autonomie des jeunes filles. Dans la nuit de dimanche à lundi, un ou des agresseurs se seraient introduits dans sa chambre, l’auraient ensuite conduite dans l’école où ils l’ont égorgée. Sa dépouille a été trouvée de l’autre côté du fleuve, à l’orée d’une forêt.
« Des inconnus sont entrés par le portail de derrière et l’ont entraînée dans la brousse derrière la maison pour l’égorger. Ils n’ont rien emporté du tout, on dirait qu’ils sont juste venus pour la tuer », a indiqué à l’AFP l’abbé Isaie Koffia, vicaire général du diocèse de Berberati.
C’est qui s’appelle discipliner une fouteuse de merde.
La religieuse originaire de Burgos, en Espagne, avait de la famille à Toulouse. Elle était membre de la communauté des Filles de Jésus de Massac-Séran. Installée en Centrafrique depuis 1996, elle espérait y « poursuivre sa mission malgré son âge avancé », selon Vatican news. « Lors de ses passages à Massac, Sœur Inès disait à toutes qu’il lui tardait de revenir en terre africaine. On la sentait désormais plus centrafricaine qu’européenne », témoigne, sur le site du diocèse d’Albi, Sœur Bernadette.
Ses funérailles ont été célébrées mardi matin. À la demande de sa famille, elle a été inhumée à Nola.
Pour un retour en terre africaine, c’est réussi. Cette négresse de synthèse est carrément dedans.
Hormis cette histoire d’église, je ne vois pas ce qui la distinguait d’une de ces babos amatrices de tourisme humanitaire échappée d’une fac de sociologie.
Ces nègres agissent sur ces femelles comme de la lumière sur des papillons de nuit.
Les raisons de son exécution ne sont pas connues. Selon un député local, interrogé par le site d’informations du Vatican, ce meurtre pourrait être lié à des crimes ésotériques pratiqués dans la région pour s’attirer la bonne fortune dans une région diamantifère. Selon Corbeaunews Centrafrique, des coiffeurs des préfectures de Sangha-Mbaéré et Mambéré-Kadéï auraient reçu pour mission de criminels de récolter les cheveux des blancs, pour pratiquer des rituels.
Lors de son audience publique place Saint-Pierre, ce mercredi matin, le pape François s’est exprimé sur ce décès tragique : « Je veux rappeler la mémoire d’Inès Nieves Sancho, 77 ans, éducatrice des filles pauvres depuis des dizaines d’années, tuée de manière barbare en Centrafrique précisément dans le local où elle enseignait la couture à des jeunes filles, une femme qui en plus a donné sa vie pour Jésus au service des pauvres ». Il a appelé la foule à prier en silence.
Les mâles locaux ont visiblement décidé de mettre un terme au trouble à l’ordre public que cette Blanche avait l’air de susciter à force de vouloir « autonomiser » les négrillonnes de la région.
Les sorciers ont donc décrété que les esprits des ancêtres étaient furibards et exigeaient des mesures dans les plus brefs délais où tout le secteur serait affligé de maladies et de mauvaises récoltes.
Effet garanti.
Je suis prêt à parier que cette Blanche a été avertie à plusieurs reprises de ce que les sorciers commençaient à perdre patience.
Au bout d’un moment, les spasmes ovariens finissent par déclencher des réactions disciplinaires particulièrement brutales, surtout dans ces rudes contrées.