Captain Harlock
Démocratie Participative
14 décembre 2018
Les choses se solidifient progressivement. La presse juive n’a pas réussi à diaboliser les Gilets Jaunes suite à cette histoire de djihadiste surprise à Strasbourg.
Et maintenant, outre la rébellion fiscale de masse, le thème du référendum d’initiative citoyenne s’est imposé comme la principale revendication. Pour une démocratie réellement participative.
Le Monde :
Ils aiment les symboles. Ainsi avaient-ils donné rendez-vous devant la salle du Jeu de paume, à Versailles, où les députés du tiers état firent le serment, le 20 juin 1789, de ne pas se séparer tant qu’une nouvelle Constitution donnant plus de pouvoir au peuple n’aurait été adoptée.
Ce jeudi 13 décembre, à deux jours d’un nouveau samedi de manifestation nationale des « gilets jaunes », des figures du mouvement ont fait devant la presse le serment « de ne pas se séparer avant d’avoir obtenu la présentation au peuple français par référendum du référendum d’initiative citoyenne, du recul des privilèges de l’Etat et de la baisse des prélèvements obligatoires ».
Ils ont demandé que soit soumis à référendum un texte proposant de modifier la Constitution reposant sur quatre points :
- donner au peuple le droit de déclencher un référendum en vue de modifier la Constitution et interdire toute modification de la Constitution ;
- donner au peuple le droit de rédiger ou abroger une loi sur le sujet qu’il choisit ;
- donner au peuple le droit de demander un référendum sur toutes les lois votées par le Parlement ;
- obliger le président de la République à présenter tous les traités, accords et pactes internationaux au référendum avant ratification.
« On veut que les gens puissent décider en Assemblée, débattre des sujets et pas qu’une fois tous les cinq ans, en laissant ensuite les élus faire ceux qu’ils veulent », a résumé Karim, « gilet jaune » de 36 ans.
Ce maghrébin a raison.
Cette république judéo-financière est entre les mains d’une coalition de partis et de médias juifs disposant de la totalité des pouvoirs.
Nous savons tous que les élections ne servent strictement à rien. Elles sont préparées en amont par la finance internationale qui présélectionne ses candidats, à l’instar de Macron en 2016.
L’ex-FN peut faire 20% aux élections, la gauche radicale en fait autant, annulant ainsi ces deux votes au profit du système en place.
Et nous savons parfaitement que ni l’ex-FN ni cette gauche mélenchoniste ne sont révolutionnaires.
La première étape consistant à neutraliser ces partis juifs, cette constitution juive écrite par le petit-fils de rabbin Debré est fondamentale.
Il suffit de regarder l’opinion, notamment sur l’immigration : 80% de la population y est opposée. Un seul référendum pourrait détruire tout le discours juif dominant sur la nécessité de repeupler la France de nègres et de musulmans.
La peine de mort, le port d’arme, l’abolition de la censure juive sur les réseaux sociaux, sortir de l’UE, tout cela pourrait être mis à l’ordre du jour.
Je veux pouvoir voter
Pour le système, ce serait une catastrophe.
Bien sûr, les médias juifs continueraient de déverser leur propagande cosmopolite mais, au vu de l’état de l’opinion publique, leur capacité à entraîner les masses est déjà sérieusement réduite.
Avec ce référendum comme revendication, nous pouvons attirer facilement à nous des dizaines de millions de Français pour mener une attaque frontale contre cette république juive et exiger sa capitulation.
Il va sans dire que le système prendrait des contre-mesures – comme la multiplication des djihadistes surprise et l’état d’urgence – mais elles déstabiliseraient encore davantage le pays.
Cette mesure, sans être une solution en elle-même, affaiblirait considérablement la capacité d’action politique de cet état sémitisé en nous donnant des moyens contre-offensifs massifs.
Pour une démocratie participative nazie.
Nous pouvons d’ailleurs dire que nous sommes parmi les pionniers de cette idée : permettre aux Démocrates de participer plutôt que de laisser les seuls juifs dicter leur loi.
Au reste, Hitler gouvernait par plébiscite. Un leader plébéien qui n’aurait pas de plèbe derrière lui ne serait qu’un despote soutenu par les quelques 20% de bourgeois séniles de ce pays comme ceux que nous connaissons actuellement.
Ce type de référendum, utilisé par nous par la suite, pourrait devenir notre meilleure arme contre les juifs et leurs divers auxiliaires, métèques en tête.
De toute façon, tout vaut mieux que le statu quo actuel.