Ce 11 novembre avait un singulier goût de pisse

La Rédaction
Démocratie Participative
13 novembre 2024

 

Hier, Barnier a posé un acte fort en souvenir des poilus.

Il y a des enthousiasmes qui laissent perplexe.

S’il ne devait rester qu’un boomer, ce serait celui-là

Ce n’est pas le drapeau européen sur lequel j’ai bloqué instinctivement.

Les souverainistes qui préfèrent les hommes, si.

Philippot était déchaîné.

Et pas que.

Pas un ne remarque l’océan de boue.

C’est le petit flonflon qui suscite les colères jalouses.

Les boomers à emojis du Frexit, c’est un calvaire dans le calvaire. Aucun de ces vioques n’a jamais envisagé ce qui se passerait concrètement si demain matin l’UE cessait d’exister.

Rien, c’est-à-dire.

Les Nègres et les Arabes seraient toujours là, tout comme leurs mosquées.

Si un drapeau a été sévèrement bousculé par la charcuterie de masse de 14-18, c’est bien le drapeau tricolore. C’est avec ça qu’on a justifié l’entreprise criminelle des démocraties – déjà – contre les états autoritaires, exception faite de la Russie que les juifs dévorèrent en temps et en heure, mais seulement une fois la viande dûment prélevée.

D’ailleurs, c’est bien à l’ombre du tricolore que les premiers Nègres et Arabes ont afflué en France. Il faudrait voir à ne pas l’oublier trop opportunément.

« Le drapeau des troupes noires qui décimeront les troupes prussiennes ». Ils ne sont jamais repartis et à présent ce ne sont pas des Allemands qu’ils déciment, mais les chattes des Françaises. Ils se paient sur la bête sous le sourire ébahi de ces cons de boomers. 

L’autisme des uns répond à celui des autres et nous, pendant ce temps, voyons la marée de boue monter imperturbablement.

Le petit peuple a docilement suivi, avec la foi patriotique du charbonnier, pour finir la gueule écrasée. Pour les 20-27 ans, 30% de tués, autant de blessés, le tout rendu fou et alcoolique (2 litres de vin par jour, souvent le double). Un charnier de près d’un million et demi de morts, 700,000 orphelins privés de père, terreau de tous les désastres traumatiques, du féminisme et du marxisme.

Aussi victorieuse que fut la France sur le papier, le pays fut fatalement frappé par la perte d’un sang déjà en voie raréfaction. Un simple coup d’oeil sur les troupes françaises permet de constater l’extraordinaire qualité raciale de la paysannerie gauloise de 1914 et, par contrecoup, la phénoménale dégénérescence biologique qui a suivi depuis cent ans sous l’effet d’une ignoble contamination immigrée.

Cruelle comparaison avec les créatures molles et difformes dont les faciès débiles et la peau à la couleur d’eau vaseuse donnent le haut-le-coeur.

Le salaire du crime fut la prolifération intense des métèques de Méditerranée, en légions. Il fallait remplacer dans le lit des Françaises les Émile, Jean ou Charles morts quelque part dans une plaine de l’Est, la moitié du visage enlevée par un obus ou une grenade. Le juif, dans cette entreprise, fit montre de ses talents de négociant, non seulement en déversant un ghetto de Pologne ou de Roumanie après l’autre dans les villes de la France dépeuplée, mais encore en important des renforts d’Arméniens, de bicoïdes ou de ritals rouges évincés par Mussolini dès 1922.

Depuis, la mécanique, froide et régulière, n’a fait qu’aller au Sud, toujours plus au Sud, pour sortir de l’histoire les descendants des types dont les noms figurent sinistrement sur les monuments des places, en acte d’accusation rétrospectif. Ils feraient tous une bien drôle de gueule s’ils sortaient de leurs tombes pour flâner dans les rues.

C’est bien à l’ombre du tricolore de Valmy que les Français se sont faits mortellement enculer. Les préventions consécutives quant au bastringue cocardier sont aussi légitimes que de bon conseil. Privilège de notre époque, ce que jamais un petit Français de 1916 n’aurait pu imaginer, nous pouvons le voir avec nos yeux : les développements postérieurs complets de la guerre hyper patriotique, préparée pendant 40 ans avec l’entêtement, la hargne et ce qu’il faut de connerie par toute une nation pour foncer vers le suicide géant.

Qui peut imaginer aujourd’hui, accoutumé qu’il est à la lie raciale ambiante, que Paris fut une ville non seulement blanche, mais française, aussi française qu’un village de la Meuse ?

On en faisait des tableaux.

Sitôt la guerre gagnée sur le papier, la France de Dreyfus retourna à sa république et à sa démocratie pourrissante. L’immense meurtre avait accouché d’un pet, à peine couvert par une tonitruante Marseillaise. La marée multicolore commença alors pour de bon. Dans les années 1920, les bicots semaient déjà la terreur dans les villes.

À Marseille, on pouvait sentir le début du cataclysme. Putes blanches et maquereaux nègres se rencontrèrent pour une farandole qui ne devait plus cesser.

Cairn :

Dans l’immédiat après-guerre, une dizaine de souteneurs noirs, vivant des activités de prostituées blanches, apparaissent clairement dans les sources comme ayant bénéficié de ce climat propice aux entreprises illicites. Ils sont désignés comme « nègres », certains semblant avoir constitué de véritables bandes ou avoir à tout le moins entretenu des liens de solidarité dans les activités illégales. Les archives de presse, très allusives, laissent souvent planer le doute. Le « nègre Laroussi Amar », blessé rue Mazagran par sa logeuse et compagne Lucie Puech, après avoir tenté de l’étrangler, est peut-être son souteneur mais rien ne le prouve . De même, « le Sénégalais Gana Guye [sic], navigateur », blessé par balles par un inconnu en fuite dans un bar de la rue Bouterie, après une discussion « avec une femme de mœurs légères », peut avoir été un simple client. L’incertitude est identique concernant le « pauvre nègre » retrouvé tué à coups de revolver rue Saint-Laurent, lui aussi après « une discussion avec une femme de mœurs légères, […] tragiquement solutionnée par un individu qui est activement recherché  ». Le recoupement avec les archives judiciaires ne laisse en revanche aucun doute sur les activités d’autres individus impliqués dans des assassinats.

Le 30 octobre 1918, la fille soumise Antoinette Sereni, née à Sartène en Corse, âgée de vingt ans, est l’enjeu d’une querelle entre proxénètes noirs. Son amant Cyprien Sodonou, embarqué comme navigateur, a confié la surveillance de sa maîtresse à son ami Bernard Niamby . Elle s’est pourtant placée successivement sous la protection de deux Martiniquais, Henri Aline puis Gilles Saint-Paul. Au retour du navigateur, une vive discussion a eu lieu, chez Sereni et en sa présence, entre l’ancien et le nouveau protecteur et leurs amis respectifs : Niamby et François Lazare du côté de Sodonou, Gilbert Urbano pour Saint-Paul. Saint-Paul a utilisé la menace pour contester le choix de son rival par la jeune femme : accompagné d’Aline, il a suivi les deux amants dans la rue. Sodonou, prêt à céder, a proposé « d’abandonner le lendemain même la femme Sereni à son rival s’il la désirait ». Mais les deux Martiniquais les ont attaqués derrière la Bourse, blessant mortellement la jeune fille et grièvement Pascal Straboni, un jeune Corse qui cheminait avec eux. Sodonou passe lui aussi en jugement parce qu’il a réussi à s’enfuir et a tenté d’abattre Aline à coups de revolver. Dans cette affaire, Sodonou est peut-être l’amant de la jeune femme et pas son souteneur. La police a sur lui de « mauvais renseignements », elle le décrit comme un individu « violent, querelleur et de moralité douteuse », mais ne porte pas d’accusation de proxénétisme. Le fait qu’il ait chargé son ami Niamby de surveiller son amante rend pourtant crédible ce soupçon. Celle-ci affirme d’ailleurs qu’elle aurait « préféré rester avec Saint-Paul » mais qu’elle a « eu peur » de Sodonou. Niamby, qui n’a pas hésité à la frapper, est blessé deux ans plus tard d’un coup de revolver par un navigateur de 25 ans : sa participation à des activités illicites semble évidente. En 1938, Sodonou, vivant avec Lucie Tedesqui, reste mal noté par la police lors de sa demande de naturalisation. S’il « a toujours navigué régulièrement en qualité de garçon et maître d’hôtel » et « tire ses ressources du produit de son travail », « sa femme exploite le bar sis 8, rue Coin de Reboul, établissement mal famé, dont la clientèle habituelle se compose de filles soumises et de souteneurs ». « Bon travailleur », Sodonou se trouve néanmoins « en relation avec de nombreux repris de justice et autres individus sans aveux ». Saint-Paul, quant à lui, est un « souteneur redouté ». Aline, qui a tué la jeune femme, a « subit [sic] plusieurs condamnations, pour souteneur, fausse monnaie et port illégal d’uniforme dans son pays natal ». Urbano, dit « Jules », est « détenu à la prison Chave pour une autre tentative de meurtre  ». Quand Sereni sort un couteau et tente de se suicider, « se sentant menacée par tous ces noirs », il la désarme et il est blessé à la main. Il attend alors la jeune femme à la sortie de son immeuble et brandit un revolver en menaçant de se venger .

Marseille, fièrement française

L’Allemagne, encore jeune démographiquement et le dos au mur, put défier les démocraties et la barbarie communiste une dernière fois, mais la France, saignée et suffocante, ne put que bouillir à petit feu dans son apéritif, ses élections, triturée par les juifs et leur marxisme.

Mais ça n’était pas assez. Avec la renaissance inattendue de l’Allemagne débarrassée des juifs, la France fût convoquée pour un dernier carnage, que dans les synagogues on aurait espéré aussi long que le premier, pour rétablir à Berlin la juiverie dans sa position dictatoriale. Déception et choc des Bernard-Henri Lévy de l’époque quand le soldat français ne fut pas aussi glorieusement voué à la mort qu’en 1914.

« La petite saloperie met crosse en l’air ! »

Les victoires théoriques avaient eu comme un effet curatif.

Pétain, effrayé par l’abîme béant, se précipita pour sauver la race française de l’anéantissement imminent. Trouver une entente avec l’Allemagne, aussi dure à avaler fut-elle pour l’homme de Verdun, et clore par tous les moyens le cycle génocidaire en train d’engloutir la France.

Qu’un tel homme s’avança à ce moment-là pour tendre la main à l’Allemagne suffit à dire la gravité de la situation de la France, mais aussi de l’abnégation et du courage individuel de Pétain que les juifs insultent depuis 80 ans sans discontinuer.

Les Français l’écoutèrent avec foi et lucidité, et d’abord les survivants du charnier de 1914.

Et pour cause, ils étaient les premiers rencardés.

Mais les juifs ne s’avouèrent pas vaincus. Pas une nation, et surtout pas la nation française, ne pouvait se défiler aussi facilement aux heures critiques.

De Gaulle, Bayard des juifs, poussa la carcasse gémissante dans un ultime effort vers le vétérinaire de Judée qui l’attendait avec sa dose létale. C’est ça, le héros des souverainistes, le Don Quichotte de Colombey assoiffé de sang français, ticket d’entrée infaillible à tous les spectacles judéo-démocratiques.

Les juifs ont une solide mémoire. La tentative d’esquive de 1940 leur laissa une vilaine impression, d’autant plus amère que les Français exprimèrent une très réelle envie de leur rentrer dans la gueule pour prix de toutes leurs souillures, une envie qui couvait depuis longtemps, mais que justement la victoire de 1918 avait contenu par l’euphorie illusoire du triomphe.

Le juif s’est vengé.

Le juif continue de se venger, à coups de millions de métèques armés de couteaux, dûment mandatés pour terroriser ce qu’il reste de la France française, la bolcheviser politiquement et racialement par ses supplétifs. Ce n’est plus les Français que le juif achemine au front par wagons entiers, mais des Nègres et des violeurs d’Orient, par air et par mer.

C’est ça, la mobilisation générale de notre temps.

Un Sedan en août 1914 nous aurait épargné un lent siècle de déploiement de ces atrocités. Les Allemands à Paris en septembre, la paix signé en octobre, et la race était sauve du carnage pour une affaire dont personne n’aurait plus compris quoi que ce soit 20 ans après.

Mille morts par jour pendant quatre ans. Si on étalait tous les cadavres français de 14-18 en une longue ligne, on pourrait faire Paris-Moscou, soit 4 mois de marche.

Jamais peuple ne sacrifia tant pour si peu.

Quelle farce de cauchemar.

L’élite raciale française engloutie, qui peut s’étonner de voir la France contemporaine peuplée pour l’essentiel de lâches, de dégénérés et de traîtres ?

À présent que nous avons le cul dans la merde et que nous mijotons dans la pisse juive jusqu’à la jugulaire, le premier devoir est de ne pas rester totalement cons de la formidable enculerie dont nous sommes les victimes.

Cela suppose de ne plus se faire chier dans le crâne à flux tendus et de ne pas répéter les insanités mortelles qui nous ont conduit dans la fosse à purin.

Non, les Français ne sont pas morts pour échapper à l’allemand LV1, ni pour la France. Ils sont morts dans le grand jeu géopolitique bancaire des démocraties juives pour laquelle la douce France de Dreyfus devait consentir à l’impôt sanglant.

Que les droitardés adeptes des charniers juifs gardent leur Nègre totémique.

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