Captain Harlock
Démocratie Participative
04 octobre 2020
Voilà un cas d’école de perfidie juive. Il est à archiver pour la postérité.
Cela fait des années que la sorcière juive Elisabeth Lévy empoisonne l’opposition blanche à l’immigration en France en prétendant s’opposer à l’islamisme. On retrouve cette vieille empoisonneuse dans tous les médias, au même titre qu’un Gilles-William Goldnadel ou qu’un Eric Zemmour.
C’est une règle en France : seuls les juifs sont autorisés par les médias juifs à critiquer les effets de l’invasion musulmane organisée par les juifs. Aucun goy ne peut même rêver d’avoir la position médiatique d’un Zemmour, d’un Goldnadel ou d’une Lévy pour évoquer les ravages de l’immigration.
Elisabeth Lévy au sujet de la syndicaliste de l’UNEF en hijab à l’Assemblée nationale : « tout le monde aurait dû se lever […] ça fait 30 ans que ça dure cette histoire […] l’islamisation progresse » pic.twitter.com/k4plvFQOgV
— Alex (@AlexLeroy90) September 17, 2020
La naïveté illimitée des goyim faisant le reste, nombre de gens en viennent à faire confiance à ces juifs. Faire confiance aux juifs se termine toujours très mal pour un goy.
Dans la guerre d’éradication menée par les musulmans contre l’Arménie chrétienne, aux marches du monde européen, le peuple élu dévoile sa véritable nature. Armant les troupes islamiques d’Erdogan, le quartier général de la juiverie internationale vient de donner des mots d’ordre stricts sur la question à tous les membres du Kahal.
Le journal Causeur d’Elisabeth Lévy ne manque pas à l’appel.
Dans un article particulièrement vindicatif, un agitateur juif dénué de scrupules dénommé Gil Mihaely appelle fiévreusement la droite française à prendre fait et cause pour la diplomatie israélienne en soutenant l’écrasement des Arméniens par les musulmans.
Causeur :
Cet embrasement soudain et inquiétant survient après une longue série de signes de l’exaspération de l’Azerbaïdjan. L’ancienne république soviétique turcophone est dans l’impasse, le processus de paix supposé régler par voie diplomatique un conflit déclenché par l’écroulement de l’URSS s’étant enlisé. La France, co-présidente du Groupe de Minsk – une organisation européenne chargée d’encourager la recherche d’une résolution pacifique négociée entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan – a ainsi été sollicitée de nombreuses fois par Bakou dans un effort de raviver l’option diplomatique. Hikmet Hajiyev, le conseiller diplomatique du président azerbaïdjanais Ilham Aliyev, en a discuté avec ses interlocuteurs français lors de sa visite à Paris en début d’année. L’invitation adressée au président Macron de se rendre à Bakou est restée aussi sans réponse.
Certes, la France n’est pas responsable du pourrissement de la situation, mais la position de Paris est un exemple de l’approche inattentive aux attentes de l’Azerbaïdjan des autres pays du groupe de Minsk, et de la communauté internationale en général. À Bakou les diplomates sont las des réactions du genre « vous avez raison mais il faut être patient ». L’Azerbaïdjan ne dispose pas d’une diaspora capable, à l’instar de l’Arménie, de mobiliser les médias et la classe politique des différents pays clé.
Plutôt que de chercher qui a tiré le premier dimanche matin, ne confondons pas une solidarité légitime avec les victimes et les rescapés du génocide arménien perpétré par la Turquie (qui soutient l’Azerbaïdjan contre l’Arménie) avec un conflit territorial post-soviétique vieux de trente ans et qui n’a rien avoir avec l’immense tragédie de 1915. Le dénouement pacifique du conflit qui démarre ne mettra en aucune manière péril l’État-nation arménien, son indépendance et sa prospérité. Il faut également se débarrasser de nos préjugés contre les « tatars musulmans » ennemis héréditaires des Chrétiens dans le Caucase. Ce qui a été fait en Azerbaïdjan depuis son indépendance en 1992 est la démonstration du contraire, à commencer par les excellentes relations avec le voisin du Nord, la Géorgie.
47 ans après la guerre de Kippour, ce qui se passe au Caucase de Sud y ressemble étrangement. Une impasse diplomatique pousse un des belligérants à prendre les armes non pas pour anéantir son ennemi mais pour l’obliger à négocier une paix juste et le transformer en allié. Dommage qu’autant d’israéliens et d’Égyptiens sont morts pour permettre aux deux ennemis de faire la paix, quelques années après. Retenons cette leçon si chèrement apprise. La source de la plaie purulente du Caucase du Sud est une injustice reconnue par la quasi-intégralité des États de la planète. C’est donc à cette injustice qu’il faut s’adresser avant que le poison ne se répande ailleurs.
La pseudo « injustice » que dépeint le juif menteur Gil Mihaely n’est rien d’autre que le refus des Chrétiens arméniens du Haut-Karabagh d’être éradiqués par les soldats turcs et les milices djihadistes qu’Erdogan achemine sur place pour y faire le djihad contre le plus vieil état chrétien de l’histoire.
Regardez un peu le faciès de fouine de cette bouche menteuse que Marion Auque dit « Maréchal », fille d’un informateur du Mossad, invite dans son école fantomatique pour enseigner aux goyim stupides la légitimité des buts de la guerre raciale juive contre les nations.
Première conférence de l’année @ISSEP_Lyon : nous avons le plaisir de recevoir Gil Mihaely, Docteur en Histoire, qui viendra nous parler des alliances israéliennes. Inscrivez-vous! https://t.co/81r0ZGZO3L
— Marion Maréchal (@MarionMarechal) September 19, 2019
Je me demande si Marion Auque-Maréchal ex-Le Pen, apparemment intéressée « par les alliances israéliennes », osera s’aventurer aussi loin que sa marraine Elisabeth Lévy en soutenant l’assaut judéo-islamique contre l’Arménie chrétienne.
Je partage avec vous cet excellent article d’@ELevyCauseur. Volontairement provocateur et insolent, cet article permet de regarder avec lucidité la nouvelle ère sociale dans laquelle nous sommes entrés. ➡️ https://t.co/XMNAHO5V4p
— Marion Maréchal (@MarionMarechal) September 30, 2020
Cette traînée fera sûrement preuve de prudence pour ne pas se griller auprès des gogos catholiques qu’elle tente de circonvenir pour le compte de la juiverie.
L’audace des juifs va si loin que ces gens qui passent leur temps à exiger du monde entier un soutien inconditionnel à Israël au nom de cette histoire d’Holocauste s’emportent violemment contre ceux qui soutiendraient les Arméniens contre l’expansionnisme turc en évoquant le génocide arménien de 1915.
Vous avez sous les yeux la véritable nature du juif, lui qui prétend faire de ce qu’il appelle la « shoah » l’alpha et l’omega de l’histoire universelle. Ces juifs qui hurlent « plus jamais ça » pour les besoins de leur propagande en nous matraquant quotidiennement avec leur pseudo « holocauste » appellent cyniquement les pays où vit une importante diaspora arménienne à laisser ce peuple se faire dévorer vif par les turcs qui les ont exterminé.
Pourquoi ? Parce que le juif ne connaît qu’un principe : l’or.
Et aussi, la soif de sang d’enfants chrétiens. L’odeur de ce sang rend frénétique le juif. Comme un requin, il ne se répond plus s’il perçoit ne serait-ce qu’une goutte de ce sang. Son visage de tyran sanguinaire sémitique se dévoile instantanément.
Je suis certain que si l’Allemagne était à nouveau dirigée par un gouvernement national-socialiste, la juiverie trouverait naturel que les Allemands soutiennent la Palestine en lui vendant des armes. Nous verrions certainement le juif Mihaely expliquer dans les colonnes de Causeur qu’il ne faut pas « tout confondre » en parlant de génocide à tort et à travers. N’écoutant que sa grandeur d’âme, le juif Mihaely appellerait sûrement à faire « respecter le droit international » qu’Israël viole systématiquement depuis 75 ans…
Beaucoup trop de gens dans nos rangs idéalisent le juif. Le juif est beaucoup plus matérialiste et bien plus dénué de scrupules que ce que nombre d’antisémites croient. Le juif n’est pas plus idéologue que philosophe, c’est une hyène avide. Le roi des charognards. C’est la raison pour laquelle on ne parle pas avec le juif, pas plus qu’on écoute stupidement les mensonges que les juifs répandent dans leurs journaux. Le juif ne peut pas être convaincu d’être autre chose qu’un juif.
On combat le juif pour le forcer à sortir de l’ombre et avouer sa race.
Nous ne devons faire aucune concession à la droite juive qui tente de faire passer la peste hébraïque en contrebande dans nos rangs. Tolérer ces gens parmi nous, c’est se condamner tôt ou tard à se faire poignarder dans le dos.