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Capitaine Harlock
Démocratie Participative
23 mars 2018
Les révélations sur l’espionnage de dizaines de millions – probablement des milliards – d’utilisateurs de Facebook ne font vraiment que commencer.
Nous sommes en train de parler d’un truc qui pourrait détruire cette structure de contrôle juive. Comme moi, vous voulez voir ce truc réduits en cendres.
De facto, comme YouTube, Facebook est une entreprise juive dont l’objectif avoué est de contrôler le monde. D’ailleurs, on voit bien que ce juif Zuckerberg se coordonne avec les tyrannies juives occidentales pour faire taire toute résistance patriotique sur ce réseau.
C’est ce qui arrive quand les juifs parviennent à créer une structure de pouvoir monopolistique : la dictature judéo-communiste la plus bestiale.
Vous avez encore eu récemment Khan le Sadique au Texas pour exiger la censure systématique des Blancs par Facebook, Google, etc. Et il l’a obtenu en 24 heures contre « Britain First » et sa page de 2 millions d’abonnés.
Laissez-moi vous dire que ce voyage du Grand Moghol de Londres été scénarisé de A à Z. Khan est allé là-bas en étroite coordination avec les juifs et chacun a fait sa part. Le kebab a fait semblant de s’indigner et Facebook a fait semblant de réagir tardivement, en mode « ah ouai, ouai, on a merdé, on va réparer ça ».
Et donc vous avez ce scandale qui éclate, avec 50 millions d’infos personnelles données à une boîte appelée Cambridge Analytica. Et vous avez ce juif Zuckerberg qui dit, en substance, « ouai, ça arrive goy ».
Sauf que nous n’en sommes qu’au début.
Des hackers israéliens auraient donné des informations provenant d’emails piratés de deux leaders politiques à Cambridge Analytica, le cabinet d’analyse politique au centre d’un scandale massif impliquant des données de Facebook.
Ces emails livrés à Cambridge Analytica impliquaient le président nigérian, Muhammadu Buhari, et le nouveau Premier ministre de Saint-Christophe-et-Niévès, Timothy Harris, et concernaient les élections respectives des deux pays, a rapporté le Guardian, citant plusieurs ex-employés de la société.
La direction de la société aurait encouragé l’utilisation de ces données, offertes par ces pirates israéliens, avec Alexander Nix, l’ex-DG limogé de la société ainsi que d’autres dirigeants, donnant les directives aux employés sur la manière d’exploiter ces informations.
Un milliardaire nigérian aurait versé 2 millions de livres sterling (environ 2,2 millions d’euros) à Cambridge Analytica en 2015 pour soutenir la campagne de réélection de Goodluck Jonathan, président du Nigéria, d’après l’enquête.
« C’était le genre de campagne qui faisait notre gagne-pain », a rapporté l’un des ex-employés, au Guardian. « On était employés par un milliardaire qui paniquait à l’idée de changer de gouvernement, et qui était prêt à mettre le prix pour s’assurer que cela n’arrive pas ».
Les juifs espionnent tout le monde et revendent les informations à des gens qui les revendent ensuite à des goyim, si cela colle avec leurs objectifs et qu’ils peuvent en tirer un gros paquet de blé.
Donc Cambridge Analytica n’est qu’un intermédiaire parmi de nombreux autres. La vraie question, ce sont ces juifs qui espionnent tout le monde, au niveau planétaire, pour ensuite négocier des opérations de déstabilisation moyennant finances.
Soit ces juifs utilisent des agents israéliens soit ils passent par Facebook.
L’ancien personnel de Cambridge Analytica a dit au Guardian qu’il avait rencontré des agents en cybersécurité israéliens dans leurs bureaux basés à Londres, au début de l’année 2015.
D’après les dires du personnel, les hackers auraient apporté une clé USB qui contenait des emails personnels, incluant des informations privées, dont des données médicales, concernant le président nigérian Muhammadu Buhari, président du mouvement de l’opposition, à l’époque.
L’équipe était affolée par les informations présentées lors de la rencontre, indique l’article, ce qui les aurait forcé à refuser d’utiliser ces données piratées pour leur campagne.
La même équipe de cybersécurité israélienne aurait été engagée plus tôt en 2015, et aurait obtenu des informations privées sur le politicien christophien Timothy Harris, qui plus tard sera élu Premier ministre.
Dans une autre affaire, SCL Group, la maison-mère de Cambridge Analytica, a utilisé 1 million de livres sterling (environ 1,1 millions d’euros) de pots-de-vin pour aider le parti des travailleurs de Saint-Christophe-et-Niévès, qui était leur client en 2010, à remporter l’élection.
SCL Group a nié avoir utilisé des données volées de la part des individus mentionnés dans le rapport du Guardian.
Les chefs de Cambridge Analytica, qui ont aidé l’équipe de campagne de Donald Trump lors de la présidentielle américaine de 2016, ont été filmés en train de se vanter d’avoir aidé Trump à remporter l’élection.
Facebook a récemment suspendu Cambridge Analytica pour ne pas avoir détruit les données privées récoltées auprès des 50 millions d’utilisateurs pour prédire les comportements individuels des électeurs américains.
Ok, ici, Cambridge Analytica est une boîte qui est une cliente des juifs. Cette boîte a ensuite vendu ses services à Trump. Mais Cambridge Analytica n’espionne pas à proprement parler : elle paye pour avoir des données d’espionnage, tantôt au Mossad, tantôt directement à Facebook. Ce qui revient au même.
Mais ça, c’est ce n’est qu’une boîte, il y en a d’autres, beaucoup d’autres qui ont fait pareil. Et elles ont très probablement travaillé pour le camp d’en face aussi.
Quoiqu’il en soit, en se faisant découvrir, Cambridge Analytica a fait tomber le juif Zuckerberg qui dit en substance qu’il n’a rien vu, que c’est triste, qu’il faut passer à autre chose.
Mais évidemment, Facebook va être poursuivi en justice aux USA au titre d’une Class Action de masse, avec des millions de gens qui vont demander de l’argent.
Dis au revoir à ton paradis juif, sale juif
Ce sale youtre démoniaque, en violant la vie privée de 50 millions d’utilisateurs, leur devrait, au terme de la loi US, 40,000 dollars par tête.
50 millions multipliés par 40,000, ça fait 2,000 milliards de dollars.
Ouaip : Facebook est ruiné. Même s’il ne prenne que 100 milliards d’amende, ils sont finis.
La différence entre l’Europe et les USA, ce sont les organisations de consommateurs qui disposent d’énormes fonds pour faire précisément ça : dévorer des entreprises. Ils ont des cabinets d’avocats spécialisés, des relais médiatiques, etc. Il ne suffit pas de payer deux ou trois ministres et quelques dizaines de députés et de juges pour s’en sortir.
Et tout le monde hait Facebook et ses juifs qui militent pour l’invasion des métèques. Comme en France où la modération de cette plateforme est réalisée depuis le Maroc.
L’heure de la revanche a sonné.
