La rédaction
Démocratie Participative
21 septembre 2023
Voilà une histoire excitante, exclusivement narrée pour vous par Democratie Participative – pas d’accent sur democratie.
Nous allons quitter l’Hexagone, et même la Belgique ou la Suisse francophone, pour nous rendre au Canada de Justin Trudeau, indiscutablement l’homme qu’Emmanuel Macron a essayé de copier sous tous les aspects depuis 7 ans.
Paradoxalement, Justin est un homme de droite. Sa seule culture est le pouvoir. Il ne se reconnaît dans aucun dogme, il n’a aucun principe supérieur autre que la loi du plus fort. Si pour être le plus fort il faut se faire photographier avec des pédés, rompre le ramadan avec des islamistes ou pieusement rendre hommage à une vache sacrée hindoue, Justin le fera.
Pour lui, c’est du pareil au même. Certains appellent ça l’opportunisme, Justin appelle ça dominer, vaincre, régner.
Le patronat anglophone du Canada veut repeupler le pays de dizaines de millions d’esclaves-consommateurs marron à bas QI ? Justin dit d’accord, moyennant un soutien financier et médiatique univoque.
Justin a ouvert les vannes de l’immigration encore plus largement que la droite affairiste de Harper qu’il a chassée du pouvoir.
Le pays est submergé par le sous-continent indien, les grands gagnants de la politique migratoire de Justin Trudeau et de ses amis politiques et patronaux.
En 2022, il a importé un million de colons du tiers-monde.
Les villes du pays sont méconnaissables, comme les villes françaises. Les Blancs se comptent sur les doigts d’une main, les masses d’indiens et de chinois saturent l’espace. Pour trouver des Blancs, il faut aller dans des quartiers réservés, mais surtout dans l’arrière-pays. Pour le reste, c’est un océan marron.
En 1970, il y avait 20 millions de Canadiens, à 95% blancs. Aujourd’hui, il y en a quasiment le double, à 70% blancs. D’ici 2045, le Canada sera un état à minorité blanche.
Avec le repeuplement général du Canada par l’Inde viennent les problèmes de l’Inde.
Les indiens sont divisés en de nombreuses sectes religieuses, notamment hindoues, islamiques, sikhs, chrétiennes, etc.. Il se trouve que le climat n’est pas au beau fixe entre les hindous et certains sikhs. Les sikhs les plus radicaux veulent un état sikh, au nord de l’Inde : le Khalistan.
Là où cela concerne le Canada indien, c’est que le gouvernement provisoire du Khalistan est de facto situé au Canada, soutenu par la massive communauté sikh dont le vote stratégique gonfle chaque année sous l’effet de l’immigration.
Avec le Canada comme base arrière, les séparatistes sikhs sont désormais considérés comme une menace stratégique par l’Inde.
Les indiens accusent aussi les services secrets pakistanais, en fait des indiens musulmans avec la bombe nucléaire, de soutenir les séparatistes sikhs pour affaiblir l’Inde et ses vaches sacrées.
Le gouvernement indien a donc décidé d’éliminer un des leaders du Khalistan libre sur place, Hardeep Singh Nijjar
C’est une affaire qui pourrait envenimer les relations entre Ottawa et New Delhi. Le Canada a expulsé, lundi, un haut diplomate indien, estimant qu’il existe des « éléments crédibles » laissant penser que l’Inde est responsable de l’assassinat d’un leader sikh dans l’ouest canadien en juin, des accusations dénoncées comme « absurdes » par New Dehli.
L’Inde a annoncé avoir ordonné à un diplomate canadien de haut rang de quitter le pays, mardi 19 septembre, quelques heures après l’expulsion par Ottawa d’un diplomate indien, à la suite du meurtre d’un leader sikh, près de Vancouver.
La décision de New Delhi reflète son « inquiétude croissante face à l’ingérence des diplomates canadiens dans nos affaires internes et leur implication dans des activités anti-indiennes« , a expliqué le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.
Le haut-commissaire du Canada en Inde a été convoqué et informé, mardi, de la décision du gouvernement indien d’expulser le haut diplomate canadien en poste en Inde, ajoute le communiqué. « Le diplomate concerné a été prié de quitter l’Inde dans les cinq prochains jours », a précisé le ministère.
Dans une allocution de dernière minute, lundi, devant le Parlement, après avoir convoqué l’opposition, le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, a souligné la présence d' »éléments crédibles selon lesquels il existerait un lien possible entre les agents du gouvernement de l’Inde et le meurtre de Hardeep Singh Nijjar, citoyen canadien« .
Le côté sirop d’érable chez Hardeep Singh Nijjar est flou.
Le Premier ministre canadien a estimé dans une allocution de dernière minute, après avoir convoqué l’opposition en urgence, qu’il existait des « éléments crédibles selon lesquels il existerait un lien possible entre les agents du gouvernement de l’Inde et le meurtre de Hardeep Singh Nijjar, citoyen canadien ».
« L’implication de tout gouvernement étranger dans le meurtre d’un citoyen canadien sur le sol canadien constitue une violation inacceptable de notre souveraineté », a-t-il poursuivi. Justin Trudeau a demandé « avec la plus grande fermeté » au gouvernement indien de coopérer pour éclaircir cette affaire.
Un diplomate indien de haut rang, chef de l’agence de renseignement indienne au Canada (RAW), a été expulsé du pays, a par ailleurs annoncé le ministère canadien des Affaires étrangères.
« Les allégations d’implication du gouvernement indien dans tout acte de violence au Canada sont absurdes », a réagi, mardi, le ministère indien des Affaires étrangères dans un communiqué, ajoutant : « Nous sommes un État démocratique avec un engagement fort en faveur de l’État de droit ».
Militant pour la création d’un État sikh connu sous le nom de Khalistan, Hardeep Singh Nijjar était recherché par les autorités indiennes pour des faits présumés de terrorisme et de conspiration en vue de commettre un meurtre. Des accusations qu’il niait, selon l’Organisation mondiale des Sikhs du Canada, structure à but non lucratif qui affirme défendre les intérêts des sikhs canadiens.
Les relations entre les deux pays se sont tendues ces derniers mois depuis l’assassinat du dirigeant sikh et les manifestations qui ont suivi au Canada. Ottawa a notamment suspendu récemment les négociations en vue d’un accord de libre-échange avec l’Inde.
New Delhi accuse le gouvernement canadien de fermer les yeux sur les activités de nationalistes sikhs radicaux qui prônent la création d’un État sikh indépendant dans le nord de l’Inde.
Le Premier ministre indien, Narendra Modi, a exprimé ses « vives inquiétudes quant à la poursuite des activités anti-indiennes des éléments extrémistes au Canada » lors de sa rencontre avec Justin Trudeau, à l’occasion du dernier rassemblement du G20 en Inde, début septembre.
Le Canada est le pays qui compte le plus grand nombre de sikhs en dehors de leur État d’origine, le Pendjab, en Inde.
Justin a réagi, car il y a en effet beaucoup de sikhs dans son pays et Justin souhaite qu’ils continuent de voter pour lui.
Les hindous, dit-il, sont des assassins et des bandits.
Il n’y a pas que lui.
Jagmeet Singh, le leader du NDP, un parti de gauche encore plus radical que le parti de Trudeau, a parlé à son peuple depuis le parlement canadien.
Comme vous le voyez, ces gens ne perdent plus de temps à parler anglais. Singh parle avec le coeur à sa nation, dans sa langue.
Il y a 50 ans, quand l’immigration non-blanche a été vendue aux goyim occidentaux, les médias disaient que les immigrés allaient devenir comme eux.
Un demi-siècle plus tard, les immigrés non-blancs contrôlent de nombreux territoires, ils dictent leurs volontés aux gouvernements et ils importent leurs guerres ethniques et religieuses ancestrales.
Ils sont également tous ultra-nationalistes, bien loin de suivre la gauche blanche dans son idéal sans-frontiériste.
Hors de question d’entendre un mot de travers à propos de leurs pays, de leurs frontières, de leurs moeurs, de leur religion, sinon le sang coule.
Comparativement, la France est très calme. Nous avons bien des émeutes raciales à grande échelle, des menées islamistes permanentes, des attaques contre les Blancs chaque jour, mais il est entendu que c’est un non sujet, puisque les Blancs rampent et souffrent en silence et que tout le monde rigole d’eux, à commencer par les autres Blancs.
Ce que je veux dire, c’est que nous n’avons pas de violentes confrontations entre factions allogènes à propos d’une embrouille importée de chez eux. Sauf à Dijon, entre tchétchènes et maghrébins, mais c’était localisé, sans dimension politique. Pourtant le potentiel existe, c’est l’occasion qui manque.
Quoi qu’il en soit, le Canada de Trudeau est désormais considéré par l’Inde comme un état terroriste. Le porte-parole du ministère des Affaires Étrangères de l’Inde l’a constaté.
Ce sera encore plus intéressant quand l’Inde et la Chine se feront la guerre par le Pakistan interposé, trois dynamiques communautés surreprésentées au Canada de Justin Trudeau.
Mais au moins, le Canada a débarqué en Normandie pour chasser les Nazis d’Allemagne !
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