La rédaction
Démocratie Participative
14 août 2022
Ce Boomer hardcore est un héros.
En 2019, l’homme de 73 ans a louangé le tueur Marc Lépine dans des publications parues avant les commémorations du féminicide de masse de Polytechnique. Dans l’un de ses blogues, il invitait à célébrer « la fête de Saint-Marc-Lépine », puis encourageait les « disciples » de Marc Lépine « à polir leur carabine ». Selon l’accusé, Marc Lépine avait « redonné de la dignité aux hommes ».
Marc Lépine est indiscutablement un héros de la cause masculine.
D’origine algérienne par son père, ce qui en dit long sur la démission des hommes blancs déjà à cette époque, ce combattant de la liberté avait tout dit il y a 30 ans sur le péril féministe.
Dans d’autres publications, M. Rochefort glorifiait aussi un personnage fictif de son invention nommé Ulrich, qu’il présentait comme le fils de Dieu et un tueur de femmes. D’autres encore incluaient des montages photographiques et d’autres illustrations mettant en scène Marc Lépine, des armes et des femmes démembrées.
Les goules féministes ne sont pas des femmes.
Ce sont des succubes.
Le juge Pierre Labrie, de la Cour supérieure, s’est longuement attardé sur ces publications dans sa décision de 42 pages rendue au palais de justice de Montréal, citant des passages particulièrement violents. Il n’a pas cru le témoignage de l’accusé, qui prétendait que ces publications étaient exagérées, représentaient de la satire et de la dérision, et visaient les féministes plutôt que les femmes en général.
Si techniquement il est correct de faire la différence entre une femme et une féministe, en réalité, après un siècle de reconditionnement, toutes les femmes occidentales sont féministes par défaut.
C’est de pire en pire.
Surtout les femmes « trads », qui sont encore plus virulemment féministes que les garces de gauche.
« Le Tribunal est d’avis qu’une personne raisonnable […] conclurait que ces publications fomentent la haine », peut-on lire dans le jugement. Celles-ci « suscitent des émotions intenses et extrêmes qui sont clairement associées à la calomnie et à la détestation. Il s’agit plus que de simples encouragements ».
Vous connaissez le principe : la liberté d’expression des hommes blancs s’arrêtent là où les femmes blanches, les gens marron et les juifs en décident.
On ne peut pas gagner sur le terrain de la « liberté d’expression ». C’est un concept piégé qui consiste à faire taire l’homme blanc au nom de la « liberté », un mot qui ne veut rien dire.
Il y a la juste dictature des hommes ou l’enfer dystopique des vaginocrates.
C’est l’unique alternative sur cette terre.
Le juge a également insisté sur le caractère délibéré de l’entreprise. Selon M. Rochefort, environ 60 000 lecteurs suivaient son blogue en octobre 2019, dont beaucoup d’« incels », des célibataires involontaires au discours misogyne et souvent violent.
« M. Rochefort savait donc à qui s’adressaient ses textes », a écrit le juge Labrie. L’accusé « ne pouvait pas ignorer que, par ses déclarations, il fomentait volontairement la haine contre les femmes ».
Nous sommes dans une société occidentale structurement anti-masculine où l’homme blanc est méthodiquement évincé et discriminé, d’abord au profit des femmes blanches et des juifs, ensuite des allogènes.
La « parité » n’est exercée que pour féminiser à outrance. Tous les secteurs archi-féminisés, comme la magistrature ou l’enseignement, ne sont jamais « masculiniser » par la force de la loi.
Pour les femmes blanches, c’est l’assurance de gagner à chaque fois.
Et ces magistrats terroristes ont encore l’audace de parler de « haine contre les femmes » parce qu’un boomer s’est légitimement indigné des agissements de ces créatures.
« Ce que [le jugement] démontre, c’est qu’on est 30 ans après la tuerie de Polytechnique et qu’il est toujours d’actualité et nécessaire de pénaliser la propagande haineuse », a déclaré à la sortie de l’audience Me Roxane Laporte, procureure du Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) dans ce dossier.
Les représentations sur la sentence de M. Rochefort devraient avoir lieu le 5 octobre prochain. Fomenter volontairement la haine est passible d’un emprisonnement maximal de deux ans, mais Me Laporte n’a pas voulu s’avancer sur ce que la poursuite allait réclamer. « On va penser à la question », a-t-elle simplement répondu, soulignant qu’il s’agit d’une infraction qui « ne vise pas simplement une victime, mais vise une collectivité ».
L’avocat de la défense, Me Rodolphe Bourgeois, et son client n’ont pas souhaité faire de commentaire après la lecture du jugement.
Gloire au héros canadien Jean-Claude Rochefort !
Gloire à l’Afghanistan émancipé du péril judéo-vaginal !