Capitaine Harlock
Démocratie Participative
14 décembre 2017
Je dois dire que c’est probablement une des histoires africaines les plus extraordinaires qu’il m’ait été l’occasion de découvrir.
Une bobo infâme est allée au cameroun installer une « oeuvre d’art » pour « s’excuser » des crimes du colonialisme. Les nègres ont vu rouge.
Et l’ont foutu en l’air.
Ha !
Cette serpillière, loin de désarmer, a réagi en dénonçant grosso modo le « repli sur soi » des nègres.
Une artiste française, dont l’oeuvre censé interpeller sur la colonisation française au Cameroun a été vandalisée jeudi à Douala, a regretté la destruction de son installation, de même que les insultes à son encontre.
Face aux réactions parfois “violentes” après l‘érection de son “oeuvre”, Sylvie Blocher, dans un entretien à l’AFP, a déploré l’incident, de même que “les nombreuses critiques” dont elle a été l’objet.
“Il y a une communauté internationale de gens meurtris. Est-ce que quand on a été meurtri (comme le peuple camerounais), il faut répondre par la violence? Il faut répondre par l’accueil, par l’hospitalité”, a estimé Mme Blocher.
Le plus formidable, c’est que les nègres du crû semblent ne pas même réellement comprendre le but : pour eux, une statue de blanche est une provocation en soi.
Je me plie à mon tour à la volonté du noble peuple camerounais et salue son esprit de résistance dont hélas, chez nous, nous manquons trop.