Captain Harlock
Démocratie Participative
12 novembre 2019
Miracle républicain !
Enceinte de six mois, Jorina Spéville-Hortense est hospitalisée depuis une dizaine de jours à la maternité de l’hôpital de Calais. La jeune femme, âgée de 30 ans, présente une grossesse à « très haut risque » qui nécessite une prise en charge spécifique et un suivi accru.
Son état de santé lui impose un repos strict. Elle doit rester couchée jusqu’au terme de sa grossesse, prévu le 24 février. Il en va de la vie de son premier enfant. Seulement, la future maman avait prévu d’unir sa destinée à Stéphane Bekaert, son compagnon et père du futur bébé, ce samedi 9 novembre, à la mairie de Calais. Hors de question pour les amoureux d’annuler leurs vœux de consentement. « J’ai fêté mes 50 ans hier (vendredi, ndlr). À 50 ans, c’est une nouvelle vie qui s’ouvre devant soi et je tenais à ce qu’elle débute par mon mariage avec Jorina », explique le Calaisien, ému à quelques minutes de la cérémonie.
Elle se déroule dans la chambre de la future mariée, décorée par les aides-soignantes du service, qui ont volontiers, pour la matinée, joué les organisatrices de mariage. Une première pour elles. « Pendant qu’elle se faisait maquiller et coiffer dans la salle de bain, nous avons placé les fauteuils, les tables, accroché des guirlandes, des colliers de fleurs aux couleurs des îles, la patiente étant originaire de l’Île Maurice », raconte Aline Leroy, auxiliaire de puériculture qui l’a aidée à enfiler sa robe. « C’est grâce à l’équipe de la maternité si tout cela est possible », insiste Stéphane après l’échange des alliances.
Une première aussi pour Patricia Basset, adjointe à la vie civile et infirmière de métier. « Je n’aurais jamais pensé qu’un jour, je viendrais avec l’écharpe tricolore à la maternité pour célébrer un mariage. C’est exceptionnel », confie-t-elle. Dans sa longue robe blanche qui laisse suggérer son ventre rond, Jorina est un peu stressée, « comme toutes les futures mariées » mais aussi parce que « le bébé peut arriver à tout moment ». Elle reste assise pendant toute la cérémonie, suivie par les proches du couple, mais aussi les blouses blanches, discrètes. « Ils s’en souviendront de leur mariage », assure Frédéric Flahaut, ami des mariés. La « vraie » fête, elle, viendra plus tard. « Pour le baptême du bébé ». Ce sera une petite fille et elle se prénommera « Aprille Hope ».
Les forges de l’enfer ethnique que sont les maternités de l’Hexagone n’en finissent pas de dégueuler leur négraille, surboostées par une débauche de moyens mis à disposition par le ministère de la Santé.
Au rythme où vont les choses, la France aura achevé de se transformer en une gigantesque Haïti, l’islam radical en plus.
Quelle ignoble perversion sémitique : ponctionner le fruit du travail du Français de souche pour alimenter l’armée débordante des futurs violeurs de ses filles.
« Et puis, pour être colonisés, pour vous dire bien franchement la chose, on peut pas l’être davantage que nous le sommes aujourd’hui par les Juifs, par les nègres, par la plus immonde alluvion qui soit jamais suintée d’Orient. Par des métis, des mâtinés, le plus bas « conglomérat » de toutes les ordures de l’Égypte… ordures multipliées par merde… Salut ! Votre bonne santé ! Colonisés de l’intérieur, par les métèques judéo-russes c’est la suprême infamie… Fientes on peut pas tomber plus bas ! »
Louis Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre