Capitaine Harlock
Démocratie Participative
25 avril 2017
Une fois les Blancs intégralement remplacés, il n’y aura plus de racisme.
Un homme de 28 ans a été condamné lundi 24 avril 2017 par le tribunal de grande instance de Caen (Calvados) pour violence aggravée et outrage. Il avait agressé la directrice d’un centre d’accueil et d’orientation pour migrants.
Vendredi 21 avril 2017, à Caen (Calvados), un homme de 28 ans, Soudanais, s’alcoolise. Une discussion avec un Libyen commence puis, le ton monte. Pour clore le débat qui s’envenime, le Libyen le toise et lui lance un: « Espèce d’esclave! ». Le Soudanais est prêt à en venir aux mains mais les cris et hurlements attirent la directrice du Centre d’Accueil et d’Orientation (CAO) qui assiste aussi des étrangers demandeurs d’asile.
Cette dernière, bilingue arabe, arrive avec deux travailleurs sociaux, dont l’un aussi comprend cette langue. Ils n’arrivent pas à le calmer. Le Soudanais insulte la directrice en arabe et lui assène un coup de poing au visage. Interpellé, il est tellement énervé qu’il est conduit au CHU pour y recevoir une injection de sédatifs.
Lundi 24 avril 2017, en comparution immédiate, au tribunal correctionnel de Caen, l’homme répond de violence aggravée et d’outrage. Par interprète interposé, il nie les injures. Il en voulait aux Libyens car, dans leur pays, ils exploitent les Soudanais avant la traversée de la Méditerranée.
Le président objecte que les Libyens migrants ne doivent sûrement pas être des passeurs. « Vous frappez quelqu’un qui vous aide à rester dans notre pays », reproche-t-il au prévenu. Le procureur lance: « Il est interdit de CAO et n’a plus de domicile, je requiers six mois de prison ferme. »
Le tribunal suit la demande du procureur et maintient Anas Adem en détention.
Le nègre ne sera naturellement pas expulsé.