« Build Back Better » (« Mieux Reconstruire ») : le nouveau slogan de la mise en place du communisme 2.0

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 novembre 2020

L’Etat-Parti a un slogan pour promouvoir l’édification du communisme 2.0 : « Reconstruire mieux » (« Build Back Better »).

C’est un effort global qui n’est pas le fruit du (((hasard))).

Cet après-midi, @KamalaHarris et moi avons rencontré @SpeakerPelosi et @SenSchumer pour discuter de la manière dont nous allons maîtriser ce virus, apporter le soulagement nécessaire et reconstruire mieux qu’avant.

Nous nous mettons directement au travail pour le peuple américain.

En ce moment, nous avons la possibilité de contenir la pandémie de COVID-19 et de mieux reconstruire. En ce qui concerne notre santé, l’économie, l’emploi, l’égalité et l’environnement, nous devons prendre des mesures audacieuses. Voici notre plan pour relever les défis auxquels nous sommes confrontés

« Build Back Better »

L’UE au sommet du G20 : Travailler ensemble pour faire face à la crise, reconstruire mieux et régler les défis globaux grâce à un multilatéralisme efficace

Qu’est-ce que c’est ?

C’est simplement le copié/collé des consignes du Forum Economique Mondial de Davos dirigé par le savant-fou Karl Schwab : « Pour reconstruire mieux, nous devons réinventer le capitalisme. Voici comment. »

Quand des marxistes vous parlent de « réinventer le capitalisme », vous savez d’avance que vous finirez dans un camp de travail sous la surveillance permanente de la police politique.

Le manifeste du Forum Economique Mondial intitulé « Reconstruire Mieux » est parfaitement clair mais peu de gens l’ont lu, du moins en dehors du Forum lui-même. Le virus, probablement diffusé intentionnellement par le tandem Thierry Lévy / Agnès Buzyn impliqué dans la construction du laboratoire de Wuhan, n’a jamais été qu’un prétexte de l’hyperclasse pour basculer dans un système néo-communiste vert visant à contrôler l’inévitable grande dépression que devait déclencher la crise des dettes souveraines.

World Economic Forum :

Grâce à la pandémie actuelle, le monde est déséquilibré et il le restera dans les années à venir. Loin de s’installer dans une « nouvelle normalité », il faut s’attendre à un effet domino du COVID-19, déclenchant de nouvelles perturbations – positives comme négatives – au cours de la décennie à venir.

La vague de troubles civils qui s’est récemment propagée à travers l’Amérique et au-delà en est peut-être un exemple ; il semble probable que la pandémie ait contribué au contexte dans lequel la colère et le désespoir ont basculé dans l’indignation et l’agitation après la mort de George Floyd. D’autres ruptures possibles induites par COVID sont à prévoir, allant d’une crise financière à grande échelle à un changement radical du rythme de la transition énergétique mondiale : certains analystes estiment maintenant que la demande de combustibles fossiles pourrait avoir atteint son maximum en 2019 – pour de bon.

Le virus a mis en évidence de nombreuses vulnérabilités – au sein des entreprises, des chaînes d’approvisionnement, des économies, des systèmes de santé et des institutions politiques – qui devront être traitées dans le monde de l’après-crise. Il a mis en évidence l’interconnexion de nos systèmes naturels, sociaux et économiques, et nous a rappelé brutalement l’ampleur des risques systémiques qui peuvent s’accumuler lorsque nous laissons les faiblesses et les effets négatifs s’accumuler au fil du temps.

Une reprise verte et inclusive est essentielle si nous voulons créer des économies plus résistantes et un monde dans lequel les entreprises peuvent prospérer, non seulement maintenant mais aussi à long terme. Des signes positifs montrent que, dans certains pays, les plans de sauvetage et de relance ont été conçus en tenant compte de ces critères, mais cela n’est en aucun cas universel. Il semble inévitable que certains gouvernements répètent les erreurs commises au lendemain de la crise financière de 2007-2008, lorsque, dans de nombreux cas, les politiques adoptées après la crise ont exacerbé les inégalités et ont abouti à des résultats non durables.

Une véritable reprise après la COVID-19 ne consistera pas à remettre les choses comme elles étaient : nous devons « reconstruire en mieux », « réinitialiser », si nous voulons remédier aux profondes vulnérabilités systémiques que la pandémie a révélées. Pour les entreprises, reconstruire en mieux va bien au-delà de la responsabilité sociale des entreprises : il s’agit d’aligner véritablement les marchés sur les systèmes naturels, sociaux et économiques dont ils dépendent. Il s’agit de construire une véritable résilience, de favoriser une croissance équitable et durable, et de réinventer le capitalisme lui-même.

Les arguments en faveur des mesures de relance « vertes » sont clairs : elles sont susceptibles de créer davantage d’emplois et d’assurer une croissance plus forte (équitable) à court terme, tout en réduisant les risques à long terme liés au changement climatique et à la perte de biodiversité – des crises qui, si elles ne sont pas traitées, provoqueront un niveau de perturbation de nos économies et de nos sociétés d’un ordre de grandeur supérieur à celui de COVID-19.

Après la Seconde Guerre mondiale, la nécessité de reconstruire physiquement les villes et l’industrie européennes a entraîné une forte demande pour les capitaux fournis par le plan Marshall, qui ont été utilisés à des fins productives. COVID-19 n’a pas provoqué de destruction physique, aussi une question vitale pour la reprise économique est de savoir d’où viendra la demande – d’autant plus qu’il faudra probablement des années pour que la confiance et les dépenses des consommateurs retrouvent leur niveau d’avant la crise.

Le défi de la décarbonisation d’économies entières peut être la source de la demande nécessaire pour relancer la reprise économique et créer de bons emplois. Aujourd’hui plus que jamais, l’intégration des objectifs climatiques dans la stratégie des entreprises peut être un moteur essentiel de la réussite à long terme.

Si nous ne saisissons pas cette occasion de reconstruire en mieux, de réinventer et de réinitialiser plutôt que de « revenir à la normale », les risques et les vulnérabilités systémiques continueront de s’accumuler, rendant les chocs futurs à la fois plus probables et plus dangereux. Malgré la tragédie, nous devons tirer parti de la pandémie COVID-19 et faire en sorte qu’elle devienne le catalyseur d’une transformation profondément positive de l’économie mondiale, nous rapprochant d’un monde dans lequel chacun peut bien vivre, à l’intérieur de frontières planétaires.

D’ici à 2022, le PIB de l’Europe chutera de 50% par rapport à 2019. Cette grande dépression programmée – parce que devenue inévitable en raison de l’endettement incontrôlable des états – permettra d’organiser le rationnement et la collectivisation au nom du « changement climatique ». « L’austérité éco-responsable » du cartel globaliste de Davos.

Les mesures de « distanciation sociale » et de contrôle des mouvements de population seront maintenues indéfiniment pour prévenir toute insurrection. Vous ne pourrez plus sortir de l’UE.

L’Euro numérique remplacera progressivement les espèces et les autres devises, il vous sera impossible d’acheter ou de vendre quoi que ce soit sans votre portefeuille en euros numériques fourni par la BCE.

La censure sera totale et vous serez surveillé en permanence grâce à la vidéosurveillance globale.

Vous devrez dire merci au Grand Leader qui sera dématérialisé et vous verra partout, tout le temps. Si vous vous opposez, vous serez soudainement interpellé à votre domicile, décrété « infecté » et euthanasié par une unité sanitaire spéciale.

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