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La rédaction
Démocratie Participative
19 novembre 2023
Jean Quatremer est un journaliste issu de la gauche libérale, un boomer éternel perdu dans ses illusions moralistes. C’est typiquement le bourgeois dépourvu de testostérone qui croit au premier degré à la démocratie.
Avec une grande candeur, il a dit donc dit quelques vérités sur la colonie juive de Palestine.
🚨 » C’est un apartheid, cela peut exploser à chaque instant(….) Personne, je dis bien personne ne doit soutenir Israël » Ce témoignage de Jean Quatremer sur la situation en #Cisjordanie est à la fois intéressant et très effrayant👇Écoutez pic.twitter.com/2gQOjhpImj
— lili_Perles (@LiliPerles) November 18, 2023
Quatremer est factuellement un antisémite, selon la définition opérationnelle de l’antisémitisme de l’Alliance Internationale pour le Souvenir de l’Holocauste.
Non seulement en qualifiant Israël d’état « raciste » pratiquant une forme d’apartheid, mais encore comparant ses agissements à ceux de l’armée allemande.
IHRA :
- le refus du droit à l’autodétermination des Juifs, en affirmant par exemple que l’existence de l’État d’Israël est le fruit d’une entreprise raciste;
-
l’établissement de comparaisons entre la politique israélienne contemporaine et celle des Nazis;
Pour les juifs, parler ainsi après le 7 octobre, c’est vouloir mener des pogroms à grande échelle.
Cette définition, rappelons-le, a été adoptée par le parlement français après que Macron a servilement annoncé la chose à Netanyahou.
« Le président Macron a informé le Premier ministre qu’il allait adopter la définition de l’antisémitisme de l’Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste (IHRA), qui a fixé que l’antisionisme est une forme d’antisémitisme », a affirmé un communiqué du bureau de Benjamin Netanyahou. Celui-ci a exprimé son « estime » pour cette décision, selon le communiqué.
Quelques minutes avant le discours d’Emmanuel Macron, le président du Crif, Francis Kalifat, en avait fait la demande. « À l’unisson des autres pays européens, la France a voté en faveur de cette définition lors de son adoption par l’IHRA en 2016 et encore tout récemment fin 2018 dans la résolution du Conseil européen sur la lutte contre l’antisémitisme. Conformément aux recommandations du Parlement européen et du Conseil européen, plusieurs États membres l’ont déjà intégrée dans leurs propres textes de référence », avait-il dit.
Ces escrocs en sont pour leurs frais.
Tout le monde se fout de leur « définition », concoctée par des juifs, pour des juifs.
En tout cas, ce mème chinois est efficace dans 100% des cas.
Il y a les pacifistes dogmatiques, les adeptes de la loi du plus fort dogmatiques, les chiens de l’empire US et enfin ceux qui comprennent que la juiverie est le noyau dur des relations internationales.
Ces derniers sont pro-russes et pro-palestiniens.
Inversement, toute la bande des « influenceurs de droite », peu importe ce que ça peut bien vouloir dire, s’est retrouvée à faire du Conspiracy Watch durant le bouclage covidiste, à jouer les rabatteurs pour le juif Zelensky en 2022 et, depuis le 7 octobre, à avaler goulument des pénis circoncis au petit-déjeuner.
Plus que des chiens de l’empire US, ce sont les chiens des juifs.
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