Captain Harlock
Démocratie Participative
09 juin 2018
Il n’y a eu, pour ainsi dire, qu’un seul homme politique belge d’envergure de toute l’histoire du pays : Degrelle. Curieusement, c’est le seul homme que cet état condamne avec une unanimité jamais démentie.
StatBel a dévoilé la liste des noms de famille les plus répandus en Belgique et dans ses différentes régions. En haut de la liste, on retrouve le patronyme « Peeters ».
Avec 31 816 personnes portant ce nom de famille au premier janvier 2017, dont 28 446 rien qu’en Flandre, les « Peeters » devancent les « Janssens » (29 309), les « Maes » (25 025) et les « Jacobs » (19 508). A noter que les dix premiers noms de ce classement national occupent également les dix premières places en région flamande.
Côté wallon, c’est « Dubois » qui revient le plus souvent avec un total de 9 421 personnes (12 683 sur l’ensemble de la Belgique). C’est plus que les « Lambert » (8 579), les « Martin » (6 809) ou encore les « Dupont » (6 375).
Enfin, Bruxelles-Capitale comptabilise 3 446 « Diallo », 1 951 « Bah » et 1376 « Barry ».
Entre la corruption généralisée sur laquelle trône le parti communiste local appelé « Parti Socialiste » et les réseaux pédophiles, avouons que la démocratie a opéré des miracles dans ce pays.
Mais je suppose que Degrelle et le rexisme étaient ce qu’il y avait de pire.
Mieux vaut, à tout prendre, emmurer des gamines pour le compte de la politico-finance plutôt que d’admettre que le national-socialisme allait sauver le peuple belge.
Car c’est bien dans le paradis démocratique que cela advient.
Pour les plus jeunes qui veulent comprendre comment un pays est noyauté puis détruit par la démocratie juive, rien ne vaut le témoignage de Léon Degrelle, héros du national-socialisme.
Vous comprendrez vite que l’escroquerie démocratique n’a jamais été créée que par les juifs, pour les juifs.