La rédaction
Démocratie Participative
09 juin 2023
Goy, tu n’es pas censé voir ce que tu vois.
Il va falloir corriger ça.
Le @gouvernementFR est en lien avec les équipes de @TwitterFrance pour assurer le retrait de toute image choquante.
Je rappelle que leur diffusion est punie par la loi.
Une seule chose à faire lorsqu’on en identifie une : la signaler à Pharos ↓ https://t.co/Ck3UheDVMU
— Jean-Noël Barrot (@jnbarrot) June 8, 2023
Twitter censurera en France, à terme dans toute l’UE.
Si vous voulez contribuer à une alternative, c’est ici.
« Nous avons vu aujourd’hui des vidéos de passage à l’acte extrêmement violentes. Relayer cela c’est un délit puni de 5 ans de prison et 75 000 euros d’amende. »
Sonia Fibleuil, @PorteParolePN
La suite :
➡️https://t.co/Fw0SbILN5Z
🎧en podcast https://t.co/iA4QuHBys9 pic.twitter.com/VjOWtuKHo0— C ce soir (@Ccesoir) June 8, 2023
Les paysans découvrent que la seule priorité pour la classe dirigeante, c’est de continuer de diriger. Pas de veiller à sa sécurité.
Croyez vous, Madame, que le plus important aujourd’hui soit de censurer ces images et d’empêcher les Français de voir ce qui se passe précisément dans notre pays ?
— Yann Bizien (@YannBizien2) June 9, 2023
Le régime sait parfaitement qu’importer 400,000 voire 500,000 créatures du tiers-monde en France chaque année entraîne mécaniquement des morts chez les indigènes.
C’est purement mathématique.
Si le régime le fait, c’est parce que la décision stratégique de repeupler les pays blancs est un ordre formel des financiers juifs internationaux qui maintiennent à flots ces états en achetant leur dette.
Le régime d’occupation doit donc gérer au mieux cette importation massive et ses conséquences en veillant à ce que la confiance de la population indigène ne s’effondre pas. Toute activité humaine repose primairement sur la confiance. Un état, un gouvernement, une monnaie ou une entreprise s’effondre quand la confiance du public disparaît.
Censurer les résultats tangibles du remplacement démographique est donc une priorité du régime. Contrairement à l’idée que se fait la plèbe sous l’influence de la propagande démocratique, l’État n’est pas son état. C’est un état au service d’une classe limitée de gens qui est parfaitement à l’aise avec l’idée de faire tuer les enfants des paysans qu’ils exploitent.
Les comptes qui diffusent la vidéo des faits à Annecy
On vous voit https://t.co/n8DIK19CVD
— Matthieu Audibert (@MattAudibert) June 8, 2023
Tant que la plèbe croit que l’État est celui de tous, impartial et « national », elle lui fait confiance et il tient debout. Quand elle réalise qu’il n’est plus que celui de quelques uns et que cette minorité pousse la prédation aux niveaux que nous voyons, c’est-à-dire au génocide pur et simple des indigènes, la confiance dans l’État s’effondre car il n’est plus perçu que comme le bras armé d’une clique ennemie. Un état national ne peut à l’évidence pas se maintenir dans ces circonstances, encore moins lorsque le territoire de cet état est aussi racialement balkanisé que celui de la France.
Cet état hostile doit de plus en plus recourir à la coercition pour combler le déficit d’autorité naturelle dans la plèbe. Ce qui accélère davantage la chute de la confiance sans laquelle aucune organisation humaine n’est possible.
L’extrême-droite démocratique – RN, Zemmour, souverainistes de toutes les couleurs – va encore insister pour vendre l’illusion d’une « réforme » de cette bureaucratie étatique ennemie. Dans la réalité cependant, la plèbe va devoir organiquement se structurer à un niveau infra-étatique pour faire face aux conséquences des agissements de l’État ennemi. Que ce soit territorialement, professionnellement, ces silos d’autodéfense raciaux se formeront.
Vous devez former vos cellules locales autonomes sans attendre. Ces cellules doivent être qualitatives et non quantitatives, ne pas chercher à se fédérer au delà de la ville ou de l’entreprise où elles sont créées.