Bretagne : une gonzesse en bleu et ses betas verbalisent un cavalier professionnel qui amenait son cheval à l’écurie

Leutnant
Démocratie Participative
25 Avril 2020

 

Les gonzesses en bleus se rendent utiles pendant que les arabes brûlent tout.

Grand Prix :

Côme Couturier fait le buzz sur les réseaux sociaux. Sacré champion de Bretagne en 2019, et donc, Covid-19 oblige, tenant du titre pour une année supplémentaire comme il le rappelait non sans humour sur les réseaux sociaux, le cavalier a été arrêté, à cheval, par trois gendarmes en patrouille et s’est vu infliger une amende de 135 euros. Il a filmé la scène, apparemment amusé par la situation et l’a postée sur les réseaux sociaux.

“Je suis en train de filmer mon cheval. Première fois que je prends une amende à cheval, ça se fête, non?”, plaisante-t-il dans sa vidéo, qui a atteint près de 300.000 vues en quelques jours seulement. Parti faire brouter son cheval, Dégourdy de Trého à quelques mètres des écuries de La Vayrie, à Bourgbarré, le Breton a croisé trois gendarmes. Malgré ses explications, rien n’y a fait, comme le rapportent nos confrères d’Ouest-France. “En fait, l’étang communal de Bourgbarré est interdit au public. […] Cependant, nous disposons d’un chemin qui mène des écuries vers une partie de l’étang. Nous l’avons toujours emprunté, c’est le chemin des chevaux”, explique Côme Couturier au quotidien du Grand Ouest. Jusqu’à ce que la Gendarmerie nationale s’en mêle. “Ils m’ont demandé si je savais que l’étang était interdit. J’ai dit oui. Je leur ai expliqué que c’était mon métier, que c’était pour le cheval, que nous empruntions toujours ce chemin, etc. C’était la première fois que je me faisais contrôler à cheval. Ils m’ont dit qu’ils allaient me verbaliser. C’est un peu aberrant, cela fait vingt ans que je fais ce circuit-là, je ne croise personne, j’étais sur un cheval de sport. Je ne conteste pas l’amende car l’étang est techniquement interdit, mais c’est quand même un peu risible…”, précise-t-il.

Sur Facebook, le cavalier a poussé la blague encore plus loin, demandant à sa propriétaire, Dominique Mauny, s’ils devaient partager les frais liés à cette infraction car leur contrat ne stipulait rien vis-à-vis des amendes.

Ces gonzesses pensent pouvoir disposer de vos vies parce que les juifs leur ont collé un flingue à la cuisse.

Commentez l’article sur EELB