Bretagne : une coalition de boomers en retraite se cotise pour offrir une maison aux migrants

Captain Harlock
Démocratie Participative
13 mai 2022

 

Cette génération de vieux enculés mérite les pires tourments de l’Enfer.

Pascal Renaud, président de la toute nouvelle SAS La Grande Maison ; David Laurent, accompagnateur ; Françoise Plissonneau, présidente de Soutien migrants Redon ; Fabienne Mainguy et Anne-Marie Lambert membres ont lancé avec une soixantaine d’actionnaires la société visant à acquérir une grande maison à Redon pour du logement mixte et notamment des hébergements pour des migrants.

Ouest-France :

​La société La Grande Maison vient de voir le jour. Avec Soutien migrants Redon et La Mutuelle des pays de Vilaine, 64 particuliers, prêts à être rejoints, sont sur le point d’acheter une grande bâtisse à Redon. Sa destination sera mixte : hébergement de migrants, logement solidaire et bail classique privé.

Et si on achetait une maison pour héberger des migrants ? C’est l’idée qui a germé et mûri en à peine un an dans le pays de Redon.

David Laurent, gestionnaire de métier qui s’apprêtait à investir dans un projet solidaire le reçoit et lance l’idée d’une acquisition. « On savait que ça existait, des sociétés montées pour ce type de projet notamment par Habitat et humanisme mais ici ça ne s’était jamais fait, on ne savait pas si on aurait pu collecter une somme conséquente​ », explique Françoise Plissonneau.

Habitat et islam.

« En juin 2021, une première rencontre a réuni une vingtaine de personnes afin de jauger la faisabilité du projet. Au tour de table, rien qu’avec les participants on a vu que l’on pouvait réunir 150 000 €.« 

Dès qu’il est question de se divertir en retraite avec des animaux de compagnie du tiers-monde, les poches soudées de ces ordures de vieux s’ouvrent miraculeusement et l’argent coule à flots.

Demandez leur dix euros dans la rue avec vote visage pâle. Vous ne serez pas déçu du voyage.

Ces chiens de boomers ont ruiné le pays. Pour les sauver du Rhume19, Macron, leur champion, a achevé de détruire l’économie et ajouté une montagne de dettes gigantesque à la dette gigantesque déjà existante que les travailleurs blancs submergés par l’Afrique devront rembourser éternellement à la banque juive.

Tout ça pour leur payer lunettes, thalasso et croisières, entre deux balades au marché solidaire pour échanger entre profs en retraite sur le péril nazi.

Les sales fachos veulent empêcher Mamadou et Karim de payer nos retraites !

Pendant que Macron empruntait des montagnes d’argent pour les entretenir, tous ces vieux en retraite ont continué d’accumuler le fric de leurs pensions sur leurs comptes déjà saturés de blé, après 50 ans à bénéficier de l’inflation – en plus de l’héritage de leurs parents.

Et sur la ville de Redon, ces vieux enculés ont décidé d’utiliser une partie de cet argent magique pour s’assurer que le Califat dispose d’une tête de pont pour dealer de la dope et violer des gamines blanches.

Pour ne rien gâcher, grâce au lois marxistes en vigueur après un demi-siècle de socialo-communisme soixante-huitard, ils pourront défiscaliser une partie de ce pognon au titre du soutien à l’invasion solidaire, laïque et obligatoire.

Dans cette société, tout tourne autour des boomers, des femmes blanches et des métèques.

Pour l’homme blanc, c’est le bagne à perpétuité.

Mais pour que tout tourne pour eux, il faut que l’esclave blanc hétérosexuel en âge de travailler continue précisément de travailler gratuitement, tout en se faisant cracher dessus par la totalité des médias, partis, stars du showbiz et autres associations antifas locales composées de tous les profs en retraite de la commune.

Essayez de créer une maison solidaire pour les jeunes Blancs et vous verrez comment ces mêmes hyènes réagissent.

Dès que l’homme blanc s’autonomise, le système esclavagiste le rattrape pour le ramener dans son champ de coton.

Ce système dysgénique intégral qu’est la démocratie juive ne peut pas se passer de sa force de travail. L’homme blanc travaille, le juif et ses clientèles parasitaires, boomers et métèques en tête, engraissent. Tous ces gens entendent bien que cela dure aussi longtemps que l’on pourra sucer le sang d’un seul homme blanc.

Les élections récentes ont encore prouvé qu’une démocratie n’est que la somme de sa composition raciale, sexuelle et générationnelle et que cette composition est soigneusement définie par l’ingénierie sociale juive. Avec un bloc de 17 millions de boomers et 17 millions de métèques de toutes les races, le système démocratique est irréversiblement truqué pour le travailleur aryen.

Les jeunes Blancs ne peuvent pas gagner dans un tel dispositif. Ils ne peuvent que souffrir en silence avec pour seul remerciement les insultes des médias du système.

Même en URSS, le système d’exploitation n’était pas aussi performant. Le vampire retraité a ses médias pour célébrer sa généreuse politique de repeuplement destinée à fournir aux caisses de retraite des larbins marron. En parallèle, les miradors médiatiques veillent à ce que l’actif blanc masculin ne franchisse aucun barbelé.

Plus le boomer importe le tiers-monde aux frais des générations futures pour se gaver, plus il est applaudi par la presse rouge pour sa générosité. Pendant ce temps-là, les Blancs envahis comptent leurs euros pour faire un plein d’essence, sous les accusations de féministes blanches millénaristes qui croient que le Ciel va nous tomber sur la tête à cause de la température.

Je rêve, moi aussi, d’un Holodomor.

Un Holodomor pour les boomers que l’on ferait crever de faim dans les rues, les maisons de retraite, partout. Une authentique liquidation des koulaks du 21e siècle. Saisie des propriétés et des comptes, tout cela dans la meilleur tradition collectiviste.

En toute vérité, ces 17 millions de panses trop pleines ne servent à rien, encore moins à quelque chose que les noirs et les arabes.

Je veux bien ravaler mon racisme, mais à une condition : que l’on mette au point une solution finale à la question de ces vieux qui ont détruit notre civilisation.

Ils ne doivent pas pouvoir partir tranquillement.

Je veux voir ces vieux pleurer comme des enfants alors qu’ils agonisent au coin des rues, dévorés par des pitbulls de racailles algériennes.

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