Captain Harlock
Démocratie Participative
20 juin 2019
Aujourd’hui, je vous emmène en Bretagne, pays connu pour ses Boomers gauchistes aimant faire baiser leurs femmes par des nègres au nom de la fraternité universelle.
A Douarnenez plus précisément, repaire de fossiles marxistes, où les vieilles biques ménopausées font la queue pour se ravitailler en bite gabonaise.
Dessin et voix au programme, dimanche 30 juin, à Douarnenez, en soutien aux mineurs isolés. Ces stages programmés par Le Temps Partagé contribueront à financer des actions et démarches entreprises pour le mieux-être de ces jeunes en escale cornouaillaise. La 2e rando vélo-plage organisée, dimanche 16 juin, en fut une !
Effectivement, 50,000 euros par tête et par an pour chaque migrant clandestin « mineur » de 25 ans ne suffisent pas.
Il faut, en plus, des collectes de fonds pour assurer leurs besoins les plus urgents. Des randonnées à vélo donc.
Une parenthèse de légèreté, parmi quelques autres, dans le parcours chaotique souvent douloureux mais parfois porteur d’espoir de jeunes migrants. Une vingtaine d’entre eux ont participé, dimanche, entre Quimper et Plonévez-Porzay, à la deuxième édition de la randonnée vélo-plageorganisée conjointement par Le Temps Partagé et Kernavélo. Une cinquantaine de personnes au total, d’ici et d’ailleurs, embarquées dans une sortie d’une quarantaine de kilomètres destinée à créer ou conforter des liens.
Formulé autrement, c’est l’occasion pour des Boomeuses de chercher du nègre pour les sauter devant leurs maris cocus et contents.
Puisque je vous dis que Fodé à 15 ans
Avec votre pognon, évidemment.
14 h sur la plage de Kervel. Le soleil brille, le vent souffle et, le pique-nique à peine achevé, deux parties de football improvisées mêlent jeunes migrants, enfants, ados et adultes cornouaillais sur le sable. Ça joue, ça rigole, ça marque… Simple échauffement avant des jeux et activités physiques de plage et d’eau encadrées par Marine, Yohann et Sylvie, trois éducateurs sportifs du Campus Sport Bretagne. Éclats de rire et accolades. La session s’achève par une séance de relaxation.
Un bémol : aucune session de manucure.
Désolé les ouvriers, c’est complet
Il faudra corriger ça.
Il est temps d’enfourcher les bicyclettes pour reprendre la direction de Quimper. Raidillon d’entrée, route départementale passante, voie communale sinueuse et champêtre. Quelques kilomètres plus loin, le cortège fraternel retrouve la voie verte au Juch. Direction Ty Planche dans des conditions météorologiques bien plus favorables que les trombes d’eau essuyées au départ de Quimper quelques heures plus tôt.
Cette belle débauche d’énergie, cette croisée de chemins de vie pourraient paraître dérisoires au regard des traumatismes vécus par ces jeunes migrants d’Afrique et d’Asie, ces dernières années, loin des leurs, des contretemps récurrents rencontrés depuis leur arrivée en France, entre longues démarches administratives, minorité contestée, tests osseux, rendez-vous judiciaires, scolarisation aléatoire, mises à la rue, errements psychiques voire psychiatriques pour certains…
Vous n’avez pas honte ?
Les affamer à 50,000 euros par an contre leur volonté ?
Bande d’ordures, ce pays n’a pas besoin de vous. Barrez-vous, on échange 10 millions de migrants contre 10 millions d’électeurs lepénistes haineux quand vous voulez.
D’ailleurs c’est ce qu’on fait.
La parenthèse constitue, en réalité, une petite fenêtre ouverte sur un espoir de reconstruction, un petit gain de confiance retrouvée, la perspective de jours meilleurs. Tout cela ne serait pas possible sans l’incroyable énergie déployée par des bénévoles associatifs, ceux du Temps Partagé en première ligne, et les solidarités humaines et humanistes de familles cornouaillaises. Leur tâche, ponctuée de tensions réelles, se confirme de plus en plus ardue.
Alors, mine de rien, la deuxième édition de cette escapade à vélo – préparée au fil de séances de vélo-école guidées par Jean-Luc B. avec l’appui de Kernavélo et doublée de sorties VTT dans le Cap-Sizun – ainsi que le lien de confiance recréé avec la mer, pour certains de ces naufragés, ont bel et bien constitué une respiration bénéfique.
Oui, nous avons appris à faire du vélo à ces nègres.
En attendant le permis bateau avec concession plaisance gratuite à Bénodet pour 10 ans grâce à la générosité humaniste du Conseil Département socialiste du Finistère.
« Ca y en a bon mémés blanches »
L’humanisme des Boomers.
Importer le tiers-monde pour tuer le temps en retraite et laisser les futures générations blanches affronter les conséquences pour les 200 prochaines années.
Merci.
J’ai même un peu honte de ne pas être à la hauteur de ces soixante-huitards.
Vous pouvez immédiatement féliciter les cougars amatrices de cafres aux coordonnées détaillées dans l’article.
Anne-Marie L’Haridon animera le stage dessin et Marie-Anne Le Bars le stage voix, le 30 juin, à la MJC de Douarnenez. De 10 h à 15 h. Pique-nique partagé. Tarifs : 30 € minimum entièrement consacrés aux exilés mineurs pris en charge par l’association Le Temps Partagé. Inscription obligatoire :
Tél. 06 04 19 95 54
mail : [email protected]
On pourra remercier le journaliste Bruno Salaün pour ce publi-reportage en faveur des associations de Boomers communistes qui bouffent un maximum d’argent public pour se divertir en retraite en sortant leurs nègres de compagnie.
Dents dégueulasses, mal rasé, pâle comme un cul, dégarni, corps rachitique, lunette de trotskiste teigneux , prétention de sale prof : un vrai journaliste
C’est chez lui une vraie passion.
Mineurs isolés – Le foot comme soupapehttps://t.co/V8BMxUn8vf
— Bruno Salaün (@bsalaun) 6 mai 2019