La rédaction
Démocratie Participative
15 décembre 2022
Un proverbe.
Boomers, bretons et chrétiens, avant de passer l’arme à gauche, ils étaient déterminés à implanter une colonie entière de Noirs angolais à Lannion.
Le miracle républicain a eu lieu.
Ils partiront pour le paradis de Jésus le coeur léger, laissant aux derniers petits Bretons le soin d’éviter les coups de surin aléatoires et les viols collectifs de Blanche.
Ces Angolais, en France depuis 2017 et dont les enfants sont scolarisés à Lannion, étaient visés par une obligation de quitter le territoire.
En France depuis cinq ans, la famille angolaise Tombo Matondo a obtenu récemment une carte de séjour « vie privée et familiale » de la part de la préfecture des Côtes-d’Armor. C’est le Collectif de soutien aux sans-papiers du Trégor-Goëlo (CSSP) qui l’a annoncé lundi 12 décembre au soir, en marge d’une conférence de presse sur la journée internationale des migrants.
Cette famille, que notre rédaction avait rencontrée pour la première fois fin 2021, était installée à Lannion depuis plusieurs années. Elle a trois enfants. Le dernier, né en France, est suivi par la Maison départementale pour les personnes handicapées. Outre le CSSP, la famille était accompagnée par l’association Jamais sans toit Trégor et la communauté évangélique.
Cette famille, entrée irrégulièrement en France selon la préfecture, était visée par une obligation de quitter le territoire français, toujours selon les autorités de l’État en Côtes-d’Armor.
Alléluia !
Le bonus, c’est que le futur Français né en France est un handicapé. Cela fera quelques millions d’euros investis cette impasse biologique qui ne seront pas consacrés à des gamins blancs. Techniquement, les Noirs devraient tous être classés dans la catégorie handicap mental, comme tous les individus souffrant d’un QI inférieur à 70 points.
Cette bordée angolaise ne va pas chômer. Encore quelques négrillons supplémentaires avant les rejetons commencent à faire souche eux-mêmes.
Préparez votre plus beau stylo, car vous avez une feuille d’impôts à remplir et la République doit nourrir ses enfants – qui ne sont pas les vôtres.