Leutnant
Démocratie Participative
30 janvier 2019
Des putes à métèques bretonnes ménopausées en manque de chibre islamique.
Les cours d’arabe, proposés par L’Ivraie, ont fait se déplacer les Douarnenistes. Une quarantaine de personnes se sont présentées à la librairie, samedi, pour assister à la réunion d’information.
« Wouah ! » Une future élève ne peut réprimer un cri enthousiaste devant la salle pleine à craquer. C’est là que se déroule la réunion d’information sur le cours d’arabe proposé par la librairie L’Ivraie.
Même réaction de surprise, quelques minutes plus tôt, pour le libraire Ali Saad à l’initiative de ce cours de langue arabe. « On ne s’attendait pas à ça, il y a déjà une quarantaine d’inscrits. On va être obligé de faire trois groupes », précise-t-il. Dans sa librairie L’Ivraie, on vient encore s’inscrire, juste avant que le professeur ne présente sa méthode pédagogique. Ali Saad se dit « ému et heureux » de voir que la langue de son pays d’origine suscite autant d’intérêt.
Chacun a une bonne raison de vouloir s’inscrire. Corinne Le Lepvrier « parle un peu le darija, langue dialectale employée dans la rue, un mélange d’amazigh et d’arabe ». Elle souhaite maintenant se perfectionner en langue arabe. « J’ai toujours aimé cette langue », dit-elle.
D’autres viennent en prévision de futurs voyages, comme Martine qui veut apprendre à parler la langue, avant d’aller en Algérie. « Pas à cause du festival de cinéma, non. Le Maghreb, cela m’intéresse, de par l’histoire commune, l’histoire douloureuse que nous avons. C’est un rêve et j’aime bien réaliser mes rêves ». Anne, pour sa part, veut reprendre l’arabe littéral qu’elle a déjà commencé à étudier après avoir « voyagé en Tunisie ». « J’étais énervée de ne pas comprendre », dit-elle. Et puis, « apprendre différents langages structure l’esprit, cela permet de voir comment fonctionnent les gens. L’arrangement des phrases structure le raisonnement et une façon de voir la vie ».
Ne cherchez pas les hommes, à part deux communistes finis à la pisse, vous n’en trouverez pas.
Ce n’est pas une histoire de « langue » mais de femelles voulant à tout prix se faire baiser par l’envahisseur mahométan. Quitte à aller le chercher sur place.