Captain Harlock
Démocratie Participative
23 juin 2021
Les femmes blanches veulent importer un maximum de jeunes mâles du tiers-monde pour se faire sauvagement violer
En ce 21e siècle, les femmes blanches sont déterminées à importer des pénis marron en Europe en quantités illimitées depuis l’Afrique.
Et quand cela se termine en catastrophe, elles s’insurgent contre les autorités qui interviennent.
Actu.fr :
Le prévenu a 30 ans. Mardi 22 juin 2021, il a été jugé en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Quimper pour des violences conjugales.
La victime est sa femme, âgée de 48 ans. Elle était présente à l’audience. Le couple vit à Concarneau.
Leur rencontre remonte à 2018.La femme passe alors des vacances avec ses quatre enfants dans un hôtel en Tunisie. Son futur mari fait partie du personnel de l’établissement.
Leur relation débute par des coups de fil. L’homme arrive en France, début 2019. D’abord pour travailler à Montpellier puis il s’installe à Concarneau.
Leur mariage a lieu en mai 2019. Les violences commencent assez rapidement.
Le 19 juin dernier, en début de soirée, une dispute éclate dans le couple. Le ton monte. L’homme a bu trois bières. Il reçoit un glaçon en plastique dans l’œil. Enervé, il répond en assénant une gifle à sa femme.
La fille de cette dernière, âgée de 9 ans, prévient son père. Les deux hommes s’agrippent mais aucun coup n’est échangé. Entre eux, la relation est tendue. L’un et l’autre ont déposé des mains courantes.
Evidemment, ce maghrébin n’est un rat venu squatter le système social français tout en tabassant l’idiote de Blanche qui l’a fait venir.
Tout aussi évidemment, cette Blanche traumatise ses gosses en les exposant à ce manège à bites multiracial.
Et fatalement, c’est à un homme d’intervenir pour empêcher que cette traînée ne ruine définitivement la vie de ses gosses en les exposant aux conséquences de sa soif destructrive de bites basanées.
Le prévenu était aussi jugé pour un autre épisode de violences, en mars dernier. Face au tribunal, il a reconnu avoir donné une claque. La victime a eu un tympan en partie perforé.
L’intéressé a cherché à minimiser les faits et s’est défendu : « C’était une énième dispute. Cette claque, c’était un réflexe de défense. On essaie de se contrôler mais on n’y arrive pas. »
La procureure n’a pas cru à cette version. « Dans cette affaire, il ne faudrait pas inverser les rôles. C’est bien Monsieur qui est poursuivi pour des violences conjugales. » L’intéressé n’a pas de casier judiciaire.
De nationalité tunisienne, il assure avoir engagé des démarches pour régulariser sa situation. Il dit travailler dans plusieurs entreprises locales de nettoyage. Son avocate, Me Jennifer de Kerkhove, a plaidé la légitime défense.
Après sa plaidoirie, la victime a repris la parole. « J’aime mon mari. Ne nous séparez pas », a-t-elle imploré. Le tribunal n’a pas accédé à sa demande ni à celle de l’avocate de la défense.
Le parquet avait requis 10 mois de prison, entièrement assortis d’un sursis probatoire pendant deux ans. Le tribunal est allé au-delà en poussant la peine à 12 mois.
L’homme a par ailleurs interdiction d’entrer en contact avec sa femme pendant deux ans, et d’aller à son domicile. Il a interdiction de séjourner dans le Finistère et le Morbihan pendant cinq ans, et de détenir une arme pendant la même durée.
Il a aussi l’obligation de se soigner et d’effectuer un stage de prévention des violences au sein du couple et sexistes.
Ouais, je suis convaincu que Moktar changera du tout au tout une fois qu’une animatrice sociale obèse lui aura expliquer les valeurs de la républicaine.
Et comme vous le voyez, contrairement à tout ce que disent les white knights, ces femmes blanches redemandent de l’ultra-violence et feront tout pour en obtenir, à la condition que ce soit par des mâles agressifs du tiers-monde de 20 ans de moins qu’elles.
Dans cette affaire, quand la justice tente de protéger cette Blanche et ses gosses d’elle-même, les juges se voient entendre en plein tribunal qu’il est hors de question de la séparer de l’arabe venu parasiter le système social en France et qui lui éclate la gueule.
Le seul truc qui l’intéresse, peu importe les conséquences, c’est de se faire sauvagement sauter par un arabe.
Non seulement ce tunisien n’est pas expulsé, mais il sera dès la semaine prochaine de retour chez cette pute pour la cogner et probablement tabasser ses gosses.
Ces femmes blanches veulent indexer la délivrance de visas sur leurs matchs Tinder.
C’est d’ailleurs ce qui se produit.
Cette convergence entre les grandes orientations du patronat pour de la main d’œuvre bon marché, les impératifs de la finance internationale pour compenser le vieillissement de la masse contribuable, les appels incessants des médias juifs à détruire la race blanche et la soif de bites marron des femmes blanches est sur le point de se convertir en cataclysme.
Rien ni personne ne veut mettre ces traînées au pas, si ce ne sont ces fameux arabes ultra-violents qu’elles vont chercher en Afrique. Pourquoi croyez-vous qu’elles ne soutiennent pas la jeune lesbienne Mila face aux arabes ? Parce qu’elles veulent la charia sexuelle.
Dans les médias, elles ne parlent que de la violence imaginaire des hommes blancs qu’elles assassinent de sang froid.
Procès de Valérie Bacot: sa mère témoigne à la barre pic.twitter.com/6V4dMxi3AB
— BFMTV (@BFMTV) June 23, 2021
Il est grand temps de méditer là-dessus parce que quelqu’un va brutalement les recadrer et au rythme où vont les choses, ce ne seront pas les hommes blancs qui le feront.
A la vitesse de l’invasion migratoire, de la dénatalité blanche de masse, de l’ampleur de l’avortement, de l’abolition de la famille comme structure de base de l’ordre social, cette société vaginocratique va tout droit à l’abîme.
Les femmes blanches veulent tout détruire et elles sont en passe d’y arriver.
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