Captain Harlock
Démocratie Participative
25 janvier 2019
Un homme qui hait fanatiquement les fiottes ne peut pas être fondamentalement mauvais
Premier effet vertueux de la victoire de Bolsonaro au Brésil : les fiottes s’enfuient du pays en courant.
RTL :
Le député gay Jean Wyllys, qui représente les personnes LGBT au Parlement brésilien, a annoncé jeudi 24 janvier qu’il renonçait à son troisième mandat. En cause, des nombreuses menaces qu’il aurait reçues depuis l’élection le 28 octobre du président d’extrême droite, et ancien militaire, Jair Bolsonaro.
J’ignorais totalement que le Brésil placé sous la botte des marxistes disposait de députés spécifiquement chargés de représenter le lobby homo-sidaïque.
Ce concept m’était totalement inconnu.
Ce Wyllys a pour sa part une tête de nègre sous crack caractéristique.
C’est ce que la presse juive appelle un héros des droits de l’homme.
« Préserver une vie menacée est aussi une stratégie de lutte pour des jours meilleurs. Nous avons fait beaucoup pour le bien commun. Et nous ferons beaucoup plus quand viendront des temps nouveaux, peu importe que nous agissions par d’autres moyens », a écrit sur Twitter le député du Parti Socialisme et liberté (PSOL).
Selon le service de communication du Parlement, Jean Wyllys, 44 ans, n’a pas encore officialisé sa décision. Mais selon son assistante contactée par l’AFP, le Parlementaire a déjà quitté le Brésil avec l’intention de vivre provisoirement « hors du pays », sans préciser sa destination. Son mandat devait débuter le 1er février.
Les dissidents de la démocratie judéo-trotskiste seront glorieusement représentés par cette fiotte.
Si d’aventure il ne préfère pas se faire discret et disparaître sans faire d’histoires.
Dans un entretien accordé au quotidien Folha de S. Paulo, Jean Wyllys a expliqué que ce n’était « pas l’élection de Bolsonaro en elle-même » qui l’avait poussé à renoncer à son troisième mandat consécutif.
Néanmoins, depuis son accession à la présidence, c’est le « niveau de violence qui a augmenté », affirme-t-il. Le député prend notamment pour exemple la multiplication des agressions et des meurtres de membres de la communauté LGBT.
En novembre, après la victoire de Jair Bolsonaro, qui a bénéficié d’un large soutien de la part des églises évangéliques ultra-conservatrices, la Commission interaméricaine des droits humaines (CIDH) avait demandé au Brésil qu’il prenne les « mesures nécessaires pour protéger les droits, la vie et l’intégrité personnelle » de Jean Wyllys et de sa famille.
En avril 2016, pendant les débats au Parlement sur la destitution de l’ancienne présidente de gauche Dilma Rousseff, Jean Wyllys avait craché au visage de Jair Bolsonaro, à l’époque député, qui venait de faire l’éloge d’un tortionnaire notoire de l’époque de la dictature militaire brésilienne.
Ce Wyllys a semble-t-il compris que ce crachat allait bientôt lui être lourdement facturé.
Probablement en publiant son dossier qui doit comporter une épaisse partie sur ses pratiques pédophiles. Pour ne pas parler du pognon qu’il a dû voler en quantités astronomiques sous le régime trotskiste.
En tout cas, cette chasse générale aux sodomites me met du baume au coeur.