Capitaine Harlock
Démocratie Participative
24 janvier 2018
D’une manière générale, je considère le Brésil comme l’exemple à peu près complet de ce que je veux conjurer pour l’Europe. Même si, dans l’absolu, je pourrais étendre ça à cette création baroque et sordide qu’est l’Amérique du Sud latino-nègre.
Mais comme pour toute chose, le Diable est dans les détails.
On trouve paradoxalement des choses assez édifiantes dans ces pays complètement désarticulés par l’anarchie raciale qui y prévaut.
Ils sont brésiliens, et ils sont morts parce qu’ils étaient gays, lesbiennes, bis ou trans.
Un rapport de l’ONG Grupo Gay de Bahia, repéré par le Guardian, révèle que 387 meurtres LGBTphobes ont eu lieu pour l’année 2017 au Brésil. Un chiffre accablant auquel s’ajoute 58 suicides recensés à cause des violences que subissent les personnes gays, lesbiennes, trans et bi, partout dans le pays, soit 30% de plus par rapport à l’année 2016.
Comme le souligne Amnesty International, ces meurtres sont en partie dus à l’absence de loi sur les propos homophobes au Brésil, laissant place à une libre expression de la haine envers les personnes LGBT, dans sa plus extrême violence.
Parce que bien sûr, des gens qui sont déterminés à dessouder de la fiotte à coup de calibre 12 se calmeront une fois que l’expression « sale fiotte » sera punie de 30 euros d’amende ou d’un mois de taule.
Je pense que si quelqu’un veut abattre une fiotte, il est disposé à aller en taule quoiqu’il arrive. Moyennant quoi, la criminalisation de mots rigolos tenus à l’égard de ces déchets biologiques n’a aucune espèce d’effet dissuasif. Mais bon, je ne suis pas un expert en criminologie.
Ensuite, compte tenu de l’état de sauvagerie qui règne dans cet enfer ethnique qu’est le Brésil, il y a 99% de chances que les tarlouzes et travelots abattus le soient par effets collatéraux, à l’occasion de règlements de comptes, de fusillades gratuites, de coups de folie de la part de mulâtres camés à la colle, etc. Mais bien sûr, les sales pédales d’Occident adorent se poser en victimes quand, vraiment, elles ne subissent absolument aucune espèce de tourments ou de persécutions. Hélas.
Si des pédales sont abattues, c’est à cause des psychopathes basanés et de rien d’autre.
A la lumière de ces faits au Brésil, il est évident que la fiottophobie n’y disparaîtra jamais. La seule option qui reste pour les pédales consiste, à l’évidence, à vivre cachées et à espérer que jamais les fiottophobes ne les démasquent.
Nous en revenons au point de départ : pas de nègres, pas de pédales exhibitionnistes et tout va bien.
Le gros plus de la société brésilienne, c’est que la violence et le chaos racial y sont tellement présents, que le fascisme y a un véritable potentiel.
Y compris, et c’est le plus étonnant pour nous, vu d’Europe, chez les métis d’Améridiens, etc. Ceux-là sont vraiment assoiffés de sang. Au surplus, les flingues y circulent en quantités énormes.