Capitaine Harlock
Démocratie Participative
06 février 2018
« Adama, ce soir, je vais monter sur ton baobab, c’est notre petit secret »
Parmi les putes à nègres, le fléau des sexagénaires ménopausées est particulièrement sous-estimé. Notamment en raison du patrimoine financier que ces soixante-huitardes ont pu accumuler pendant 40 ans d’endettement maximal et qui leur offre une certaine logistique pour soutenir l’invasion.
Cette fois-ci, la presse rouge du Berry se déchaîne aux côtés de l’une d’entre elles pour retenir à toute force un nègre qui, comble de l’ironie, s’appelle Adama Traoré.
Le Berry :
Adama Traoré est un jeune Guinéen de 24 ans. Il a rejoint l’Europe fin 2016. Quelques mois après, il est arrivé en France illégalement. Depuis la fin de l’année, il vit, caché, sous la menace d’une expulsion.
À 24 ans, Adama Traoré vit à l’abri des regards dans une maison de Bourges. Sans papier, ni statut de réfugié, il est hébergé par une famille berruyère.
Le jeune homme d’origine guinéenne est arrivé en France illégalement au début de l’année 2017. À la fin de l’année dernière, le jeune homme et les associations qui le soutiennent ont épuisé tous les recours visant à obtenir son statut de réfugié en France.
Le dernier Adama Traoré que la France a eu le privilège d’accueillir nous convainc tous de l’urgence d’en recevoir d’autres.
Beaucoup d’autres.
Désormais, il vit sous la menace d’être interpellé, retenu en rétention administrative et renvoyé en Italie. C’est l’application même de la circulaire dite de Dublin. Comme Adama Traoré est arrivé en Europe par l’Italie, seul le pays transalpin est en mesure de lui attribuer, ou non, son statut de réfugié.
Sauf qu’Adama Traoré a un problème : « il a un handicap lourd, il est bègue », affirme Françoise, sa logeuse aujourd’hui. « Il a du mal a se faire comprendre en français. S’il est renvoyé en Italie, il ne pourra pas expliquer avec clarté sa situation. Et je ne suis pas sûre que les autorités italiennes lui laissent le temps de s’expliquer », regrette la mère de famille.
En attendant, Françoise vit dans l’illégalité totale. En hébergeant à son domicile une personne sans papier, elle risque 30.000 euros d’amende et jusqu’à cinq ans d’emprisonnement. « Mais ce n’est rien ça, martèle-t-elle. Le souci c’est que la France, mon pays, celui que j’aime par-dessus tout, est en passe d’exclure une personne fragile », s’indigne Françoise.
La mission civilisatrice de la France : importer des nègres bègues grâce à l’arbre à billets magique du socialisme. Une expérience déjà fort concluante jusqu’à présent.
Cette vieille dinde se fait sauter par ce nègre.
Je veux dire, c’est l’évidence. Elle veut garder le bamboula qui la baise. C’est limpide.
Celle qui refuse d’être cataloguée comme une militante se dit « juste émue par le parcours d’Adama. Ce n’est pas un touriste en France », lâche-t-elle presque dépitée. « Le président de la République ne veut plus de SDF dans la rue. Mais en même temps, il fabrique des sans-papiers. Il faut arrêter cette hypocrisie. »
« Il ne faut pas avoir peur des étrangers. Adama, comme d’autres, est un homme soucieux des autres, curieux et qui peut être une chance pour notre pays. »
Une chance bègue nègre pour la France.
Au-delà du risque, Françoise espère une évolution de la loi. « Je suis volontaire pour l’accueillir parce que j’en ai les moyens. Cela ne regarde que moi. » Pour cela, elle veut contacter le député du Cher, François Cormier-Bouligeon (LREM), pour qu’il puisse faire des propositions à l’Assemblée nationale. « Il ne faut pas avoir peur des étrangers, explique Françoise.
« Je négrifie ton pays si je veux, ça ne te regarde pas. »
« Je ne reconnais plus mon pays » s’insurge-t-elle. « Nous sommes face à un problème humanitaire puisqu’il est malade. Il doit être soigné. Et c’est en France, en français, sa langue maternelle, qu’il peut être accompagné. J’ai cherché des médecins spécialisés dans l’orthophonie en Guinée. J’en suis navré, mais je n’ai trouvé personne. Alors ce n’est pas une amende qui m’effraie ou qui risque de me faire baisser les bras. »
Ouai, moi non plus je ne reconnais plus mon pays depuis que des vieilles peaux ménopausées en manque de bite se rabattent sur du nègre, quitte à détruire l’avenir des futures générations.
La lope de journaliste qui a écrit cet article a soigneusement caché le nom de cette vieille pute à migrants.
Mais en creusant un peu, on trouve vite de qui il s’agit.
C’est Françoise Palicot, orthophoniste, résidant à Bourges au 6 rue Guillaume de Varye. Voilà son téléphone pro :
Tél : 02 48 57 33 93
Et son tel perso :
Mobile : 06 64 43 15 07
Son email :
[email protected]
Avant de téléphoner sur un fixe, taper 3651 devant le numéro de téléphone pour que le correspondant ne voit pas le vôtre.
Voici la page Facebook de cette passeuse :
https://www.facebook.com/frfrancoise.palicot
Et qui peut-elle bien soutenir politiquement ?
Une coco, comme c’est étonnant.
Et comme vous l’avez lu, elle est en pleine illégalité même si, visiblement, elle ne craint pas les flics dont elle pense qu’ils ne bougeront pas.
Je suppose que s’ils ne bougent pas, des gens vont méditer là dessus.