Captain Harlock
Démocratie Participative
23 décembre 2019
Le Premier ministre britannique Boris Johnson s’est livré à un obscène numéro de cirque en faveur des juifs.
« La Grande-Bretagne ne serait pas la Grande-Bretagne sans sa communauté juive. Et nous serons à vos côtés pour célébrer avec vous – à Hanoukka et tout au long de l’année ».
Britain would not be Britain without its Jewish community. And we will stand with you and celebrate with you – at Chanukah and all year round. pic.twitter.com/S5ClRprCuL
— Boris Johnson (@BorisJohnson) December 22, 2019
Quelle personnage repoussant.
La Grande-Bretagne est envahie de pakistanais, mais ce type préfère pousser une complainte à propos des quelques 250,000 juifs actuellement installés au Royaume-Uni.
Que veut-il dire, que cette île disparaîtrait au fond de l’Océan Atlantique en cas de pénurie de juifs ?
Si demain la juiverie de Grande-Bretagne s’évapore, le pays continuera sa routine à ceci près que la population se découvrirait libérée de la cinquième colonne qui sème le chaos dans sa vie politique.
Ces déclarations de Boris Johnson – qui s’honore d’être de sang juif lui-même – ressemblent très étrangement à celles que l’on peut entendre dans d’autres pays au niveau gouvernemental.
Tout particulièrement en France.
Là aussi, le gouvernement cosmopolite explique en creux aux Français de souche que si la France peut se passer d’eux, elle ne peut certainement pas se dispenser des juifs.
1) 4 ans après, je pense aux victimes de l’ hypercacher de la Porte de Vincennes tués par le terrorisme islamiste car..ils étaient tout simplement juifs. Ne les oublions jamais. La France sans les juifs de France ne serait plus la France . #hyperCacher pic.twitter.com/7WLrvKRd3i
— Manuel Valls (@manuelvalls) January 9, 2019
« La France, sans les juifs de France, ne serait pas la France, il faut le dire et le répéter », @JY_LeDrian dans #RTLMatin avec @EliMartichoux pic.twitter.com/JrrbGYGSwg
— RTL France (@RTLFrance) March 29, 2018
Les Juifs sont et font la France. Ceux qui s’attaquent à eux, jusque dans leurs tombes, ne sont pas dignes de l’idée que nous avons de la France. L’antisémitisme est un crime et nous le combattrons, à Westhoffen comme partout, jusqu’à ce que nos morts puissent dormir en paix.
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) December 3, 2019
En réalité, ce sont les juifs qui s’adressent aux juifs.
Ces politiciens enjuivés ne parlent pas de leur pays ni de leur peuple mais du régime juif qui les contrôle.
Effectivement, sans le juif, la démocratie financière ne serait plus la démocratie financière. Ce qui vaut tout aussi bien dans une « monarchie » ou une « république ».
Ce type de déclarations est d’ailleurs le meilleur aveu que ces dirigeants puissent faire sur l’identité de ceux qui sont vraiment indispensables dans une (((démocratie))).
C’est aussi la plus flagrante contre-vérité de toute l’histoire : c’est lorsqu’une nation se débarrasse des juifs qu’elle retrouve soudainement toute sa force.
Quand une nation a voulu se libérer de la misère, elle a toujours fini par chasserla vermine juive. Ce que les juifs savent mieux que personne.
Ces déclarations de plus en plus nombreuses dans le monde occidental permettent de voir que la juiverie internationale est actuellement en état d’alerte maximum. Elle mobilise tous ses gouvernements contre la résistance blanche qui monte en puissance face à son programme de remplacement racial.
Angela Merkel en déplacement à Auschwitz, une première https://t.co/IgasDFi8mm
— Le Monde (@lemondefr) December 6, 2019
Ces gens savent que sans l’ordre démocratique et l’empoisonnement démoniaque des masses blanches par les médias juifs, leur chute est inévitable.
C’est aussi une question cyclique : après 75 ans de terreur juive, la plus grande opération de sidération sémitique de l’histoire s’essouffle dramatiquement.
Les provocations juives comme les profanations de cimetières montées de toutes pièces ne produisent plus les effets escomptés. La population reste indifférente. C’est le signe que le moment venu, les juifs ne pourront compter sur aucun soutien, bien au contraire.