Bordeaux : Pascale accueille un « migrant mineur » chez elle sous les acclamations de la presse !

Captain Harlock
Démocratie Participative
26 février 2021

 

Le conte de fée du jour !

Je vous l’ai dit, la presse régionale est saturée de belles histoires à cafres – réellement saturée.

Les journalistes sont unanimes : pas un plumard de France qui ne doive recevoir son nègre.

Avec l’affaire des « mineurs isolés étrangers », les plumitifs de la presse rouge ont trouvé un filon qu’ils ne sont pas prêts d’abandonner.

Sud Ouest :

Militants ou non, ils ont décidé d’héberger de jeunes migrants pour quelques semaines ou quelques mois, afin de leur éviter la rue. En Gironde, des familles racontent leur expérience

« Il y avait un besoin, alors on l’a fait. » Hébergeuse depuis deux ans, Marie-Christine résume en une phrase ce que tous diront avec leurs mots. Retraités, célibataires, parents, en maison ou dans un deux-pièces : ils ont accueilli gratuitement un jeune migrant, dans un élan d’humanisme plus que politique.

Comme je vous le disais hier, depuis l’effondrement de l’URSS les marxistes ont changé d’emballage. Maintenant ils essaient de refourguer leur communisme sous la marque de « l’humanisme ». Mais il s’agit bien la même came empoisonnée.

A l’avant-garde, les Boomeuses déterminées à se faire sauter par toute l’Afrique.

Visez le « mineur » en question :

Le nègre est presque grisonnant.

C’est du Faudé au cube.

Je vous laisse imaginer le degré d’incompétence et de complicité qui règne dans les préfectures du pays pour en arriver à un tel point d’absurdité.

D’autant que toute cette faune ne se planque pas, bien au contraire : ses exploits sont narrés sur des pages entières dans les journaux au point qu’on pourrait en faire des affiches.

À Bordeaux comme ailleurs, des centaines de jeunes venus en majorité d’Afrique de l’Ouest arrivent chaque année après avoir migré seuls. En attendant d’être reconnus mineurs par un juge et pris en charge par l’aide sociale à l’enfance, ils n’existent pas pour l’État français. C’est pendant cette période qu’interviennent les familles, épaulées par des associations comme les Hébergeurs solidaires de Bordeaux. Depuis sa création en 2017, 26 jeunes ont pu être hébergés.

À Bègles, Pascale et André, 54 et 53 ans, accueillent des mineurs depuis septembre 2018. « Ça faisait un moment qu’on voulait aider, mais on ne savait pas comment », se souvient Pascale. Le couple s’est décidé après avoir découvert le concept dans la presse. « Nos enfants ont 19 et 26 ans. Les ados, ça nous parle. » Les chambres étaient libres et la maison grande, ils ont franchi le pas en accueillant Soumaïla, un jeune Guinéen. Depuis, Pascale et André ont hébergé trois autres jeunes, par période de trois semaines en alternance avec d’autres foyers. « Chez nous, c’est comme un enfant de la famille, poursuit Pascale. On mange ensemble, on l’aide pour ses devoirs et on l’emmène avec nous en vacances. » Cette année, le couple a d’ailleurs fêté Noël avec ses enfants, et les jeunes qu’ils ont hébergé.

Mais bordel, le nègre a au minimum la quarantaine.

Regardez comment cette grosse salope ménopausée dévore des yeux le dos argenté.

Et l’autre grand con qui sourit comme un demeuré.

Si l’accueil d’un mineur isolé demande du temps et de l’organisation, Pascale et André n’y voient que des avantages, grâce notamment à l’encadrement fourni par les Hébergeurs solidaires. « Avec l’association, il y a un mode d’emploi. On ne nous laisse pas nous débrouiller seuls », explique André. Les questions d’ordre juridique sont gérées par un référent, lui aussi bénévole, qui organise les séjours et met en relation les hébergeurs entre eux.

Depuis la fermeture des frontières liée à la pandémie, les migrants se font moins nombreux et Pascale et André n’accueillent en ce moment aucun mineur. Ils continuent toutefois de recevoir la visite d’Alexandre, hébergé chez eux pendant près de quatre mois avant d’être pris en charge par le Département. Originaire du Mali, Alexandre vient d’avoir 18 ans et est orphelin. Il a tenté trois fois la traversée du détroit de Gibraltar en Zodiac : les deux premières, il a été battu par des passeurs et a failli couler avec le canot pneumatique. « Vivre dans des familles, ça aide beaucoup moralement. En squat, il n’y a personne pour nous consoler. » Arrivé en France, il voulait devenir pompier, pour à son tour « sauver des gens ». Il en sauvera différemment : Alexandre suit un CAP d’aide à la personne et travaille en alternance dans un Ehpad.

C’est une escroquerie.

Les Boomeuses recrutent des mâles africains à grande échelle et à bas coût pour les servir jusqu’à la tombe.

Germaine, elle, rêve d’être médecin. À 17 ans, elle voudrait bien aider davantage ceux qui l’hébergent en faisant le ménage ou la vaisselle, « mais ils préfèrent que je me concentre sur l’école », sourit-elle. À Gradignan, quatre foyers hébergent la jeune Guinéenne à tour de rôle : Monique et Joseph, Marie-Christine et Jean-Claude, Marianne, et Raymond, tous retraités.

« Ce qui est extraordinaire, c’est de voir leur évolution. Quand ils arrivent à Bordeaux, certains ne parlent même pas français. Aujourd’hui, tous sont en apprentissage », se réjouit Marie-Christine. Militants de longue date, son mari Jean-Claude et elle se sont connus à une section CFDT et œuvrent au sein de la Ligue des droits de l’homme. Héberger un migrant leur semblait tout naturel, même si un mineur paraissait « plus délicat » que des familles. « C’est une responsabilité en plus », relève Jean-Claude.

Il ne manquait plus qu’un couple de Boomeurs socialistes endurcis.

Les mêmes vieux possédants qui regarderaient des jeunes Blancs crever dans le fossé en les traitant de fascistes s’ils en avaient l’occasion.

Mais attendez, le clou du spectacle : une vieille gouine.

Une vieille gouine !

Marianne, qui vit seule, n’a jamais milité. Pour elle, accueillir un migrant, c’est d’abord s’ouvrir l’esprit tout en ayant de la compagnie : avec Germaine, elles regardent le JT, discutent de sujets comme la laïcité ou l’homosexualité. « J’ai le sentiment d’offrir et de recevoir en même temps. » Ensemble, elles font aussi de la course à pied, quand Jean-Claude et Joseph n’emmènent pas Germaine faire du vélo.

Raymond, lui, dit qu’il a passé l’âge. À 87 ans, il est le doyen de la bande, et a déjà accueilli une dizaine de jeunes en moins de quatre ans. Il garde contact avec chacun d’eux. « Certains m’envoient même leur bulletin scolaire pour me montrer qu’ils ont de bonnes notes. » Mais il insiste : « Je ne suis surtout pas un père pour eux. » Raymond a simplement la sensation de « faire sa part ». Ni plus, ni moins.

À l’instar de Raymond, les hébergeurs de Gradignan ne cherchent pas à devenir une famille de substitution. Ils ne connaissent pas toujours les raisons qui ont poussé le jeune à quitter son pays, et ne cherchent pas à les connaître. « On ne les force pas à nous raconter leur périple. Mais s’ils veulent le faire, on est là pour écouter », résume Monique. Parfois, les histoires refont surface par hasard. « Un jour, on avait emmené Abdoulaye à la dune du Pilat. Mais il est resté dos à l’océan, il ne pouvait pas le regarder. Son frère s’était noyé dedans. »

C’est toujours ça de pris.

Aujourd’hui, Alpha fête ses 17 ans. Il en avait 15 lorsqu’il est arrivé chez Guillaume, à Bordeaux. Après l’avoir accueilli dans le cadre de l’association, Guillaume a choisi de continuer d’héberger le jeune Guinéen après sa reconnaissance de minorité, par le biais d’un parrainage rémunéré par le Département.

Et en plus ils sont payés.

Je vous fais un dessin ?

Je n’en peux plus.

À 43 ans, Guillaume mène une vie libre et ne compte pas en changer. « Notre relation s’apparente parfois plus à une colocation qu’à une tutelle. Il a les clés, je l’emmène en concert avec moi, on est partis en vacances ensemble. » Alpha connaît aussi sa famille, ses amis, et a travaillé dans la fromagerie de son frère dans les Pyrénées cet hiver. Pour Guillaume, rien de plus normal. « Ça fait partie de l’apprentissage et de l’accompagnement. » Un soutien qui va loin, car si le Département est responsable d’Alpha, c’est Guillaume qui l’emmène chez le médecin et se rend aux réunions parents profs. « J’ai même ressenti de la fierté quand ses professeurs ne tarissaient pas d’éloges sur lui ! » Il peut. Deux ans après avoir quitté son pays, Alpha fait partie des meilleurs de sa classe et a décroché son brevet : mention très bien.

Bravo, un brevet des collèges à 28 ans obtenu grâce à des profs mélenchonistes qui triplent les notes.

Balancez-moi le feu nucléaire sur ces villes où vivent ces bourgeois de gauche.

*Merci à Racisme Positif

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